ISRAËL A FAIT TRANSPORTER 153 PALESTINIENS DE GAZA EN AFRIQUE DU SUD
Un vol charter a transporté plus de 150 Palestiniens de Gaza vers l’Afrique du Sud via une agence collaborant avec les forces israéliennes. Après avoir franchi la « Ligne jaune » à Gaza, ils ont été acheminés par Kerem Shalom jusqu’à l’aéroport de Ramon.
L’Afrique du Sud leur a finalement accordé un séjour de 90 jours, tandis que les autorités palestiniennes ont averti que de tels programmes de relocalisation pourraient constituer un trafic d’êtres humains.
Un programme israélien de nettoyage ethnique masqué
Les médias israéliens et leurs relais internationaux ont tenté de faire circuler un récit simple : des Palestiniens auraient été “refusés” par l’Afrique du Sud.
Mais dès que les faits émergent, une toute autre histoire apparaît, et elle pointe directement vers un dispositif israélien de déplacement forcé, soigneusement camouflé.
Israël a fait sortir des Palestiniens de Gaza à travers un réseau organisé, opaque et parfaitement structuré :
- faux bureaux,
- fausse "association humanitaire", - vols charters facturés jusqu'à 2 700 dollars,
- et surtout pas un seul tampon de sortie israélien pour ces passagers
Un détail qui dit tout : on ne parle pas d’un voyage légal, mais d’un transfert clandestin orchestré par l’occupant lui-même. L’avion, rempli de Gazaouis sans documents valides, atterrit à Johannesburg. Les autorités sud-africaines suspendent la procédure, le temps de comprendre pourquoi un avion entier de Palestiniens “sans sortie officielle d’Israël” arrive sur leur sol. Puis Pretoria finit par leur accorder 90 jours.
Et pendant ce temps, la machine médiatique israélienne tente de retourner l’affaire, alors que ce qui apparaît au grand jour, c’est un programme israélien de nettoyage ethnique masqué, emballé en “migration volontaire”.
Une association fantôme dirigée par un Israélo-Estonien, non enregistrée nulle part, funambulant entre l’armée israélienne et un trafic d’exil.
Un influenceur palestinien utilisé pour encourager les départs.
Un “Bureau d’émigration volontaire” du ministère israélien de la Défense qui recommande ce réseau à l’armée.
Mais dès que les faits émergent, une toute autre histoire apparaît, et elle pointe directement vers un dispositif israélien de déplacement forcé, soigneusement camouflé.
Israël a fait sortir des Palestiniens de Gaza à travers un réseau organisé, opaque et parfaitement structuré :
- faux bureaux,
- fausse "association humanitaire", - vols charters facturés jusqu'à 2 700 dollars,
- et surtout pas un seul tampon de sortie israélien pour ces passagers
Un détail qui dit tout : on ne parle pas d’un voyage légal, mais d’un transfert clandestin orchestré par l’occupant lui-même. L’avion, rempli de Gazaouis sans documents valides, atterrit à Johannesburg. Les autorités sud-africaines suspendent la procédure, le temps de comprendre pourquoi un avion entier de Palestiniens “sans sortie officielle d’Israël” arrive sur leur sol. Puis Pretoria finit par leur accorder 90 jours.
Et pendant ce temps, la machine médiatique israélienne tente de retourner l’affaire, alors que ce qui apparaît au grand jour, c’est un programme israélien de nettoyage ethnique masqué, emballé en “migration volontaire”.
Une association fantôme dirigée par un Israélo-Estonien, non enregistrée nulle part, funambulant entre l’armée israélienne et un trafic d’exil.
Un influenceur palestinien utilisé pour encourager les départs.
Un “Bureau d’émigration volontaire” du ministère israélien de la Défense qui recommande ce réseau à l’armée.
Rien dans cette opération n’est improvisé. Rien n’est humanitaire. Tout est organisé pour pousser un peuple entier hors de sa terre et le faire disparaître de Gaza, sans laisser de trace administrative.
Appeler ça autrement que du déplacement forcé, c’est couvrir le mensonge. Appeler ça autrement que du nettoyage ethnique masqué, c’est fermer les yeux.
