Hossam Shaba, Reporting from north Gaza :
"De nombreuses scènes que nous documentons ne peuvent pas être publiées sur les réseaux sociaux, en raison de l'horreur des images et du souci des sentiments des familles. En effet, ce que nous publions ne dépasse pas 30 % de ce que nous documentons. Nous nous contentons de ce ratio car le reste des images porte une cruauté au-delà de toute description. Nous avons vu des corps sans tête et nous avons vu des scènes très difficiles à décrire ou à vous transmettre.
Ce que nous ne pouvons pas publier dépasse de loin ce qu'il voit, et la réalité de ces scènes dépasse les limites de l'imagination."
Traduit de l'arabe par la journaliste Meriem Laribi.