Claude El Khal :
"Un soldat israélien affirme avoir décapité un bébé palestinien. Il mime et décrit son crime, s’en vante face caméra, et n’exprime aucune émotion ou remords. Le parfait psychopathe."
Sylvaine Bulle, sociologue :
Emission en accès libre sur le site de Mediapart.
Itsvan Bakony, écrivain :
On trouve parmi eux, davantage que chez les autres peuples, beaucoup d'individus dominateurs ou vindicatifs, en proie au complexe de persécution ou enclins à la mégalomanie. C'est même si vrai que, comme on peut s'en rendre compte, les Juifs ont souvent entretenu ces illusions collectivement, en tant que peuple. Il suffit du reste de lire les histoires et les livres ésotériques des Juifs pour constater combien ils ont exagéré les persécutions que leurs coreligionnaires ont subies dans le passé, au point même de créer une idéologie confinant au délire de persécution collectif. Et le complexe de persécution est précisément l'une des caractéristiques de cette forme de démence ou de maladie mentale que la science appelle paranoïa ou schizophrénie paranoïaque.
Par ailleurs, l'idéal absolu de la religion juive actuelle, l'idéal suprême de tout Juif religieux, est de rétablir Israël dans les droits que Dieu lui a donnés sur tout ce qui existe dans le monde : les biens matériels, le gouvernement des nations et les idées qui guident l'humanité, toutes choses que les Juifs croient usurpées par les gentils. Car aux yeux des Juifs, quand nous autres gentils sommes propriétaires d'usines, de petits ateliers ou de commerces, de bien immobiliers ruraux ou urbains, nous possédons là en toute illégalité ce qui n'appartient légitimement qu'à eux. Selon les Juifs religieux, il en va ainsi parce que Dieu a fait don de toutes choses au peuple d'Israël ; quant aux Juifs qui ont perdu leurs croyances religieuses, il en va ainsi à leurs yeux parce qu'ils ont appris dans leur secte que les Juifs, du fait de leur supériorité raciale, sont destinés à régner politiquement et économiquement sur toute l'humanité."