mardi 17 décembre 2024

Folie et paranoïa en Israël



Claude El Khal :

"Un soldat israélien affirme avoir décapité un bébé palestinien. Il mime et décrit son crime, s’en vante face caméra, et n’exprime aucune émotion ou remords. Le parfait psychopathe."




Sylvaine Bulle, sociologue :

"Il y a en Israël un effondrement de l'empathie, un sentiment politique unique qui est celui de la cruauté, avec une sémantique de l’État qui entretient cette culture de l'ennemi."


Emission en accès libre sur le site de Mediapart.


Itsvan Bakony, écrivain :

"Si le peuple juif a une telle propension à se montrer impérialiste et dominateur, c'est en partie parce qu'il est plus porté que les autres peuples à la paranoïa, qui prend souvent chez lui une tournure morbide. Cette tendance peut se reconnaître à certains traits de caractère, grâce auxquels les Juifs sont certes capables des réussites les plus grandes et les plus difficiles, mais qui leur occasionnent en revanche une sorte de déséquilibre mental les conduisant à poursuivre des activités dont le but est de venger des violations imaginaires de leurs droits avec une opiniâtreté et un fanatisme confinant à l'obsession. En outre, ces activités vindicatives exhalent invariablement une haine féroce, que l'on peut qualifier de paranoïaque. La haine en question peut bien être cachée, selon les ordres donnés par la hiérarchie juive ; ce n'est pas moins de la haine que les israélites nourrissent envers tous les « porcs gentils », à des degrés variables selon le tempérament de chaque Juif. [...]

On trouve parmi eux, davantage que chez les autres peuples, beaucoup d'individus dominateurs ou vindicatifs, en proie au complexe de persécution ou enclins à la mégalomanie. C'est même si vrai que, comme on peut s'en rendre compte, les Juifs ont souvent entretenu ces illusions collectivement, en tant que peuple. Il suffit du reste de lire les histoires et les livres ésotériques des Juifs pour constater combien ils ont exagéré les persécutions que leurs coreligionnaires ont subies dans le passé, au point même de créer une idéologie confinant au délire de persécution collectif. Et le complexe de persécution est précisément l'une des caractéristiques de cette forme de démence ou de maladie mentale que la science appelle paranoïa ou schizophrénie paranoïaque. 

Par ailleurs, l'idéal absolu de la religion juive actuelle, l'idéal suprême de tout Juif religieux, est de rétablir Israël dans les droits que Dieu lui a donnés sur tout ce qui existe dans le monde : les biens matériels, le gouvernement des nations et les idées qui guident l'humanité, toutes choses que les Juifs croient usurpées par les gentils. Car aux yeux des Juifs, quand nous autres gentils sommes propriétaires d'usines, de petits ateliers ou de commerces, de bien immobiliers ruraux ou urbains, nous possédons là en toute illégalité ce qui n'appartient légitimement qu'à eux. Selon les Juifs religieux, il en va ainsi parce que Dieu a fait don de toutes choses au peuple d'Israël ; quant aux Juifs qui ont perdu leurs croyances religieuses, il en va ainsi à leurs yeux parce qu'ils ont appris dans leur secte que les Juifs, du fait de leur supériorité raciale, sont destinés à régner politiquement et économiquement sur toute l'humanité."