lundi 27 janvier 2025

Faux acte antisémite - La fabulation hystérique



(6:40)

Debunker NEWS :

Paris : une femme se disant victime de menaces antisémites aurait tout inventé La mère de famille se disait victime de tags et menaces antisémites dans son immeuble. Elle doit désormais répondre de ses actes devant la justice.

L'histoire aurait été inventée de toutes pièces. À l'automne dernier, Nancy S. s'exposait à visage découvert, déclarant être victime de menaces antisémites anonymes dans l'immeuble où elle réside, avenue Philippe Auguste dans le XIe arrondissement de Paris. Seulement voilà, si les croix gammées sur son paillasson, les tags antisémites sur sa porte ou les étoiles de David sur sa boîte aux lettres ont bien existé, l'histoire, elle, aurait été inventée de A à Z et l'auteure des dégradations ne serait autre que la victime présumée elle-même, rapporte Le Parisien.

Employée de la brigade régionale de sécurité des lycées d'Île-de-France, Nancy S. avait expliqué devant les médias vivre dans la peur depuis l'apparition de ces menaces, suscitant ainsi un vif émoi. Un émoi d'autant plus grand que cet immeuble n'est autre que celui dans lequel résidait Mireille Knoll, une retraitée de confession juive tuée lors d'un crime antisémite par le fils d'un de ses voisins en mars 2018.

De victime à accusée

« Si je m'en vais, c'est pour protéger mes enfants », avait expliqué dans les colonnes du Parisien celle qui envisageait de déménager. Alors qu'une recrudescence des actes à caractère antisémite avait été observée, le maire du XIe arrondissement de la capitale, François Vauglin, avait même décidé de s'emparer personnellement du dossier afin d'accélérer la procédure de relogement de la mère de famille.

Si un temps, les menaces avaient cessé, ces dernières ont finalement repris par voie postale. C'est finalement grâce à une caméra de vidéosurveillance installée dans l'ascenseur de l'immeuble que les enquêteurs ont découvert le pot aux roses. Sur les images, Nancy S. y apparaît aux côtés de sa fille mineure en train de réaliser des tags antisémites. Quant à la lettre de menace envoyée par courrier, l'enquête a révélé que le timbre utilisé pour son envoi avait été acheté avec la carte bancaire de la victime présumée.

Interpellée par les forces de l'ordre mercredi 22 janvier, Nancy S. a depuis été placée sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès qui se tiendra en mars. Poursuivie pour dégradations à caractère antisémite et dénonciation mensongère ayant entraîné des recherches inutiles, la mère de famille encourt une peine de quatre ans de prison et 30 000 euros d'amende à laquelle pourraient s'ajouter une peine de six mois de prison et 7 500 euros d'amende pour dénonciation mensongère.

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La fabulation hystérique

Par Hervé Ryssen


La fabulation est l’un des nombreux symptômes de la pathologie hystérique. Dans "Psychanalyse du judaïsme", nous en avions recensé une bonne vingtaine, à travers l’étude des ouvrages spécialisés, et en notant les extraordinaires similitudes avec le judaïsme intellectuel.

L’hystérie, on le sait, est très présente dans le judaïsme, pour la simple et bonne raison que l’inceste qui en est à la source, paraît beaucoup plus répandu dans cette communauté que partout ailleurs.

Cette pathologie qui avait tant retenu l’attention de Sigmund Freud présente aussi cette particularité d’être extrêmement contagieuse, et l’on note ici que les juifs, justement, sont les grands spécialistes de ces délires politico-religieux qui embrasent l’humanité. La prosternation devant l’holocauste n’est qu’un nouvel avatar de cette hystérie spécifique au judaïsme.

La personnalité hystérique, en effet, exprime toujours ses angoisses avec beaucoup d’émotions, tant et si bien qu’elle parvient à les communiquer rapidement à son entourage. Dans un premier temps, sa fragilité émotionnelle et ses crises existentielles inspirent la pitié et empêchent les proches de prendre conscience de son extraordinaire capacité de manipulation. C’est seulement après un certain laps de temps que l’entourage, épuisé, préfère s’éloigner de la malade ou bien décide de la maintenir à l’écart. Nous avons ici tout le drame de l’histoire de la communauté juive.

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Bonus :
La machine médiatique et judiciaire*

Les manifestations d'indignation contre le racisme, et surtout « contre l'antisémitisme » se succèdent à intervalle régulier, suscitées par une agitation entretenue soigneusement par le système médiatique. Il nous faut bien en effet constater que quand une vieille dame est torturée dans son pavillon de banlieue ou quand un goy quelconque est assassiné sauvagement dans la rue, l'information est traitée dans la rubrique des faits divers. Mais quand il s'agit d'un juif, nous avons forcément affaire à un odieux acte antisémite. Les ministres descendent alors dans la rue rejoindre la manifestation afin de montrer leur solidarité avec la communauté « en émoi ». Il y a là une certaine injustice, puisque les Français de souche ne bénéficient jamais de pareille couverture médiatique dans leur malheur, et encore moins de cette touchante sollicitude ministérielle.

Mais il est vrai que la « fragilité émotionnelle » des juifs est sans doute aussi plus importante. On connaît en effet leur « hyperémotivité », et un certain penchant « à exploiter un grand potentiel émotif ». Le moindre incident « antisémite », le moindre graffiti sur une boîte aux lettres déclenche la mise en branle de toute la machine médiatique et judiciaire. Peut-être, certaines personnalités juives ont-elles aussi tendance à « exagérer l'expression de leurs émotions », ce qui donne à leur manière d'interpréter l'actualité « quelque chose de théâtral et d'excessif ».

Ces manifestations de souffrances et ce « lamento victimaire » ne sont pourtant pas simplement des échos amplifiés de l'actualité. Il faut bien constater qu'ils sont une permanence des systèmes médiatiques des démocraties, dans lesquelles les médiats diffusent en flot continu toute la littérature compassionnelle qui nous invite à venir en aide à ce malheureux peuple juif, persécuté en tout lieu et à toutes les époques pour on ne sait quelles raisons. Les documentaires, les films et les émissions de toutes sortes à ce sujet sont innombrables, ainsi que les livres qui traitent des malheurs du peuple juif dans l'histoire. Tous les autres êtres humains sont invités à compatir à la douleur et au drame des juifs, pauvres, faibles et vulnérables, toujours persécutés pour des raisons que personne ne parvient à expliquer. Il est possible, dans ces conditions, que les 50 (cinquante) millions de morts non-juifs de la Seconde Guerre mondiale soient trop souvent relégués à l'arrière-plan, voire même totalement occultés au profit des seules victimes juives. C'est sans doute un « détail » que l'on oublie trop facilement.

L'explication, ici encore, est médicale : ces « appels à l'aide dramatisés » sont destinés à « vous attendrir et réveiller en vous un sentiment protecteur ». Cette « présentation dramatisée et théâtrale des émotions » fait partie du «jeu très étendu pour capter l'attention de l'autre ». Tout cela est un jeu dont l'objectif est la « recherche constante de l'attention d'autrui ».


*) Hervé Ryssen, "Psychanalyse du judaïsme".


Psychanalyse du judaïsme

Présentation :

Le peuple juif est le peuple militant par excellence. C’est un peuple de propagandistes, un peuple de « prêtres » qui a un message à délivrer au reste de l’humanité. En effet, le judaïsme n’est pas seulement une religion. C’est également un projet politique dont l’objectif est la suppression des frontières, la disparition des nations, et la mise en place d’un nouvel ordre mondial dirigé par un gouvernement mondial qui pourrait siéger à Jérusalem. « Un joli endroit », dixit Jacques Attali. Cette espérance devrait hâter la venue d’un Messie attendu depuis déjà trois mille ans. C’est la raison pour laquelle les élites juives travaillent sans relâche à la constitution de cet empire globalisant.

Critique de CCRIDER :

"Psychanalyse du judaïsme" est un essai socio-politique dans la droite ligne des "Espérances planétariennes". Le lecteur a même l’impression d’être en présence d’une suite surtout dans les deux premiers tiers du livre. Seul la dernière partie est consacrée à la psychanalyse proprement dite. On y nage dans les complexes, maladies psychiques, déviances et autres inversions accusatoires. À noter au passage, un chapitre intéressant sur « l’histrionisme » qui explique beaucoup de comportements et une brève déconstruction du freudisme. Sans doute plus intéressante, la première partie basée sur l’histoire, la sociologie, les mœurs et les rites, apprendra au lecteur énormément de choses comme l’histoire des Dunmehs avec un certain Sabbataï Zevi, expulsé d’Espagne en 1492 et installé à Smyrne (Turquie). Il se fait passer pour le Messie, veut prendre la place du Sultan, finit par se convertir à l’Islam et par être exilé en Albanie. Ses disciples, les Dunmehs, bien que doublement apostats, refusent tout mariage avec des Turcs, présentent un nom turc officiel tout en conservant un nom juif secret. Ils firent partie du gouvernement des jeunes Turcs de Mustapha Kemal. Celle des Frankistes est assez étrange. Dans cette secte fondée par Jacob Frank en Podolie à partir de 1755, on pensait que le salut venait du péché et que de l’excès de péchés devait advenir un monde meilleur. Ils se convertirent en apparence au catholicisme, prirent de nouveaux noms et ainsi certains purent accéder à la noblesse polonaise. Tout l’ouvrage repose sur des citations d’auteurs connus comme Elie Wiesel, Marek Halter, Edgar Morin, Jacques Attali, Minc, Derrida, Sorman, Kouchner, André Glucksmann, Norman Mailer, etc. Cela donne une impression de compilation assez peu discutable, mais quand même un brin indigeste.