"Les chrétiens palestiniens d'aujourd'hui sont les descendants en ligne directe des toutes premières communautés chrétiennes..."
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L'évêque de Rome Robert Francis Prevost ("pape Léon XIV") a réclamé une fin immédiate au “châtiment collectif” imposé aux Palestiniens dans la bande de Gaza, dénonçant également le déplacement forcé de populations et appelant au respect du droit international humanitaire.
Il a exigé un cessez-le-feu permanent, la libération des otages, ainsi que l’ouverture rapide de voies d’accès humanitaires sécurisées vers Gaza.
Lors de son audience générale, il a rappelé que les lois de la guerre interdisent l’usage de la force de manière indiscriminée et la mise en œuvre de politiques visant à punir toute une population.
Il a mis en lumière la tragédie humanitaire avec des témoignages poignants : “les cris des mères et des pères qui tiennent dans leurs bras le corps sans vie de leurs enfants” — rappelant que ce sont les enfants, les personnes âgées et les malades qui payent le prix le plus lourd.
Il exprime également sa profonde émotion après qu’une église, lieu d’accueil pour des civils, a été frappée à Gaza, qualifiant ces événements d’actes tragiques contre des lieux de culte et des populations vulnérables.
Paul-Eric Blanrue.
Les derniers chrétiens de Gaza ont accepté leur sort de martyrs. Ils savent que ce n'est qu'une question de temps après s'être opposés aux injonctions israéliennes de quitter leurs églises.
Les leaders chrétiens de Gaza défient les ordres d'évacuation israéliens : les prêtres et nonnes des églises catholiques et orthodoxes grecques restent sur place pour protéger des centaines de civils affaiblis par le siège. "L'évacuation est une sentence de mort" pour ces réfugiés, dont beaucoup sont malnutris. Malgré les bombardements et les frappes passées sur les églises (comme celle de Saint-Porphyrius en oct. 2023, tuant 17 chrétiens), ils citent le Pape : "Personne ne peut forcer l'exil". Une résistance symbolique face au génocide en cours.
Citizen Média.
