Et pendant ce temps, juste à côté, à quelques centaines de mètres à peine, des Israéliens rient autour de barbecues, dansent, boivent, chantent. Parfois en hauteur, avec vue directe sur les décombres. Ils mangent à satiété, en musique, en famille. Pas en cachette — ostentatoirement. Comme un rituel d’humiliation.
Il ne s’agit plus seulement d’indifférence. C’est un message. Un mépris volontaire. Une jouissance obscène de leur domination. Ils savent que des enfants meurent en bas, et ils ajoutent du charbon sur le feu.
Cette juxtaposition est insoutenable. Elle n’est pas un hasard : elle incarne le projet israélien. Affamer, épuiser, écraser un peuple jusqu’à l’effondrement. Et pendant ce temps, revendiquer la normalité, la supériorité, la légitimité d’un État qui mange pendant que d’autres meurent.
Il ne s’agit plus seulement d’indifférence. C’est un message. Un mépris volontaire. Une jouissance obscène de leur domination. Ils savent que des enfants meurent en bas, et ils ajoutent du charbon sur le feu.
Cette juxtaposition est insoutenable. Elle n’est pas un hasard : elle incarne le projet israélien. Affamer, épuiser, écraser un peuple jusqu’à l’effondrement. Et pendant ce temps, revendiquer la normalité, la supériorité, la légitimité d’un État qui mange pendant que d’autres meurent.
C’est ça, leur humanité. Une humanité qui festoie au bord du gouffre.
Tomy le Magnifique sur X.