Le timing ne trompe personne : alors que le procureur s’apprêtait à délivrer de nouveaux mandats d’arrêt contre les responsables israéliens du génocide à Gaza, la machine impérialiste s’est aussitôt emballée.
Sanctions, blocages, diffamation… la tactique est rodée. Toucher à l’entité sioniste, c’est provoquer la colère de l’Empire.
Les États-Unis, qui foulent aux pieds toute idée de justice dès qu’elle concerne leurs alliés criminels, passent à l’offensive : comptes gelés, outils de travail bloqués, 900 agents de la CPI interdits d’entrée sur leur sol. Et maintenant, le discrédit par la calomnie.
L’objectif est simple : abattre l’homme pour enterrer l’enquête. L’indépendance judiciaire est un mythe, la CPI vacille, et le message est brutal : aucune justice ne sera tolérée contre l’impunité sioniste.
Le vrai crime de Khan ? Vouloir que la loi s’applique à ceux qui, jusqu’ici, s’en croyaient au-dessus. Résultat : le bourreau reste libre, et c’est le juge qu’on punit.
Encore une fois, Gaza saigne, pendant que l’Occident protège ses monstres.
Tomy le Magnifique.