Floride : Un homme arrêté après avoir tiré sur deux Israéliens – qu’il pensait être des Palestiniens.
Mordechai Brafman a dit à la police qu'il avait tué les deux hommes - même si les victimes, un père et son fils, s'en sont tirés avec seulement une blessure à l'épaule et une éraflure
Un homme juif originaire de Miami Beach a été arrêté dimanche et mis en examen sur la base de deux chefs d’accusation de tentative de meurtre, vingt-quatre heures après avoir ouvert le feu en direction d’une voiture dans laquelle il a dit avoir aperçu « deux Palestiniens ».
La police a toutefois fait savoir que les victimes étaient en fait deux Juifs israéliens en voyage aux États-Unis. Les victimes, Ari Rabey et son père, ont d’abord pensé qu’ils étaient la cible d’une attaque antisémite.
L’une des victimes a été touchée à l’épaule gauche, l’autre a été effleurée par une balle.
Commentaire de Tomy le Magnifique sur X :
"L’ironie du sort a laissé place à l’effroi face à la dégénérescence collective de ce peuple. Conditionné par une haine devenue réflexe, un Israélien a tiré sur deux de ses compatriotes à Miami, persuadé qu’ils étaient Palestiniens. Mais la scène prend une tournure encore plus grotesque : alors qu’ils se sont fait tirer dessus, les deux blessés ont eux-mêmes crié « mort aux Arabes », croyant être attaqués par des Palestiniens.
Un pays gangrené par une haine si viscérale qu’elle consume même ceux qui l’entretiennent. Un État où l’endoctrinement a atteint un point de non-retour, où la terreur et la paranoïa ont transformé chaque israélien en bourreau potentiel, prêt à tuer sur un simple soupçon. Une société malade, rongée par sa propre propagande, où l’obsession de l’ennemi imaginaire pousse à l’auto-destruction. Ici, on ne distingue plus la cible, on tire d’abord et on réfléchit après – et parfois, trop tard.
S’ils sont capables d’ouvrir le feu sur leurs propres compatriotes en pleine rue à Miami, persuadés qu’ils étaient Palestiniens, imaginez ce qu’ils font à Gaza ou en Palestine occupée, où chaque Palestinien est d’office un ennemi à abattre. Là-bas, ils ne se posent même pas la question : ils tirent, bombardent, anéantissent, convaincus que chaque victime est un terroriste en puissance. Une armée de fanatiques sous uniforme, conditionnés à tuer sans réfléchir, sans distinction, sans remords."
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