vendredi 14 février 2025

L'exultation de la désolation ou la Schadenfreude israélienne



Un soldat de Tsahal autoproclamé pédophile dit tout : 

« Le 11 septembre ? C'est le meilleur ! » 
Bien sûr, nous avons provoqué une migration massive vers l’Europe.
Les Européens ne valent rien. 
Les Juifs dirigent le monde. C'est dans les coulisses. 
Vous ne savez pas ce qui se passe... parce que vous êtes un goy. »



(Source : Street Media)

La Schadenfreude : expression allemande signifiant la « joie malsaine » ou la « joie maligne » que l'on éprouve en observant le malheur d'autrui.


11 Septembre, des Israéliens sautent de joie

Un incident survenu le 11 septembre en marge des attentats permet de relier de manière certaine les services secrets israéliens aux explosions des Tours jumelles. Il a été rapporté dès le lendemain par le journaliste Paulo Lima dans The Record, quotidien du comté de Bergen dans le New Jersey, d’après des « sources proches de l’enquête ». Immédiatement après le premier impact sur la Tour Nord, trois individus furent aperçus par divers témoins sur le toit d’un van stationné à Liberty State Park dans Jersey City, « en train d’exulter » (celebrating), « sauter de joie » (jumping up and down), et se photographier avec les Tours jumelles en arrière-plan. Ils déplacèrent ensuite leur van sur un autre parking de Jersey City, où d’autres témoins les virent se livrer aux mêmes réjouissances ostentatoires. La police émit aussitôt une alerte BOLO (be-on-the-look-out) : « Véhicule possiblement lié à l’attaque terroriste de New York. Van blanc Chevrolet 2 000 avec une plaque du New Jersey et un signe “Urban Moving Systems” à l’arrière, a été vu au Liberty State Park, Jersey City, NJ, au moment du premier impact d’avion de ligne dans le World Trade Center. Trois individus avec le van ont été vus se réjouissant après l’impact initial et l’explosion qui s’en suivit. »

Le van fut intercepté par la police vers 16 heures, avec à son bord cinq jeunes gens. La nouvelle atteignit rapidement les téléspectateurs, qu’ils étaient « moyen-orientaux » (Middle-Eastern). Ils l’étaient en effet, mais seulement au sens précis de « israéliens ». Leurs noms : Sivan et Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari. Contraint physiquement de sortir du véhicule et plaqué à terre, le conducteur, Sivan Kurzberg, lança cette phrase étrange : « On est israéliens. On n’est pas votre problème. Vos problèmes sont nos problèmes. Les Palestiniens sont le problème. »

Les sources policières qui informèrent Paulo Lima se dirent convaincues de l’implication de ces Israéliens dans les attentats de la matinée : « Il y avait des cartes de la ville dans le van avec certains points surlignés. On aurait dit qu’ils étaient au courant, […] qu’ils savaient ce qui allait se passer lorsqu’ils étaient à Liberty State Park. » On trouva également sur eux des passeports de nationalités diverses, près de 6 000 dollars en espèces et des billets d’avion open pour l’étranger. Les frères Kurzberg furent formellement identifiés comme agents du Mossad. Les cinq Israéliens travaillaient officiellement pour une compagnie de déménagement nommée Urban Moving Systems, dont les employés étaient majoritairement israéliens. « J’étais en pleurs. Ces types blaguaient et ça me perturbait », confia un des rares employés non israéliens à propos de ses collègues. Le 14 septembre, après avoir reçu une simple visite de la police, le propriétaire de l’entreprise, Dominik Otto Suter, quittait le pays pour Tel Aviv.

L’information divulguée par le Record, confirmée par le rapport de police, a été reprise par des sites d’investigation comme le Wayne Madsen Report (14 septembre 2005) et Counterpunch (7 février 2007). Elle fut aussi rapportée dans quelques grands médias mais d’une façon qui minimisait sa portée : le New York Times (21 novembre 2001) omettait de préciser la nationalité des individus, tout comme Fox News et l’agence Associated Press. Le Washington Post (23 novembre 2001) disait bien qu’ils étaient israéliens, mais passa sous silence leur apparente préconnaissance de l’événement. En revanche, le journal de la communauté juive américaine The Forward (15 mars 2002) révéla, d’après une source anonyme du renseignement américain, qu’Urban Moving Systems était une couverture du Mossad (ce qui n’empêcha pas l’entreprise de bénéficier d’un prêt fédéral de 498 750 dollars, selon les archives du fisc). On note que les locaux d’Urban Moving se trouvaient à moins de dix kilomètres d’une autre société écran du Mossad, SCP Partner, spécialisée en sécurité. Quelques mois avant le 11-Septembre, cette société s’était adjoint comme « conseiller » une recrue de choix : Ehud Barak, ancien chef du Renseignement militaire israélien (Salerait Makal) et premier ministre de juillet 1999 jusqu’à son remplacement par Ariel Sharon en mars 2001. Une heure après la désintégration de la Tour Nord, Ehud Barak était sur le plateau de BBC World pour désigner Ben Laden comme principal suspect.

Le FBI diligenta sur l’affaire des « Israéliens dansants » une enquête consignée dans un rapport de 579 pages, partiellement déclassifié en 2005 (il le sera totalement en 2035). Hicham Hamza a analysé ce rapport en détail dans Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou. Il en ressort plusieurs éléments accablants. Tout d’abord, les photos prises par ces jeunes Israéliens les montrent effectivement dans des attitudes de célébration devant la Tour Nord en feu : « Ils souriaient, ils s’embrassaient et ils se tapaient mutuellement dans les mains (highfiving). » Pour s’expliquer, les intéressés dirent qu’ils s’étaient simplement réjouis « que les États-Unis auraient maintenant à prendre des mesures pour arrêter le terrorisme dans le monde » (alors qu’à ce point, une majorité de gens pensait à un accident plutôt qu’à un acte terroriste). Plus grave, un témoin au moins les a vus positionnés dès 8 heures, soit avant qu’un avion ne percute la première tour, tandis que d’autres certifient qu’ils prenaient déjà des photos cinq minutes après. Un ancien salarié de l’entreprise témoigna au FBI de l’antiaméricanisme virulent que partageaient Suter et ses employés israéliens, l’un d’entre eux adressant un jour cette phrase à des collègues américains : « Donnez-nous vingt ans et nous nous emparerons de vos médias et détruirons votre pays. » Les cinq Israéliens arrêtés étaient en contact avec une autre entreprise de déménagement dénommée Classic International Movers, dont quatre employés avaient été interrogés indépendamment pour leurs liens avec les dix-neuf pirates de l’air présumés. L’un d’eux avait téléphoné à « un individu en Amérique du Sud possédant des liens authentiques avec les militants islamiques au Moyen-Orient », précise le rapport FBI. Enfin, « un chien renifleur donna un résultat positif pour la présence de traces d’explosifs dans le véhicule ».

Comme le remarque Hamza, la conclusion du rapport laisse songeur : le FBI informe la police locale qui détient les suspects « que le FBI n’a plus aucun intérêt à enquêter sur les détenus et qu’il convient d’entamer les procédures d’immigration appropriées ». En fait, le 25 septembre au plus tard, la direction fédérale du FBI avait déjà pris cette décision et en avait averti le Service de l’immigration et de la naturalisation afin qu’il « applique la procédure d’immigration appropriée ». Avant d’être rapatriés sous la simple charge de « violation de visa », les cinq Israéliens passèrent néanmoins 71 jours dans une prison de Brooklyn, au cours desquels ils refusèrent puis échouèrent plusieurs fois au détecteur de mensonges. Dès leur retour en Israël, ils furent invités à témoigner dans une émission télévisée de leur détention « abusive », Oded Ellner déclarant candidement : « Notre but était d’enregistrer (document) l’événement. » Yaron Shmuel, qui revendique sur son profil LinkedIn son expertise et son expérience en matière d’« explosifs », se mariera le 11 septembre 2002 (premier anniversaire du « Grande Mariage », selon le nom de code du 11-Septembre dans une fausse communication d’Al-Qaïda de fabrication israélienne interceptée durant l’été 2001 par les services jordaniens).



Des militaires de Tsahal ont mis en ligne des vidéos montrant la Schadenfreude israélienne durant le génocide des Palestiniens.