Les Loubavitch
Par Samuel James
Si les témoignages de personnes endoctrinées par des sectes toxiques peuvent être niés, mon témoignage est documenté par des références aux textes et aux livres de la secte (les Loubavitch). Une bibliographie est disponible dans mon livre, "A Thunderous Elephant" (Un éléphant tonitruant). De cette façon, aucun démenti de leur part n'est possible. Ce que je dis, je le prouve.
J'avais 18 ans quand tout a commencé. Comme les années précédentes, je m'étais rendu à la synagogue pour prier le jour du nouvel an juif. Sur le chemin du retour, un homme habillé en noir avec une barbe et un chapeau noir s'approcha de moi. J'avais tout de suite reconnu qu'il appartenait au mouvement Loubavitch (juifs orthodoxes). Nous échangeâmes quelques mots amicaux. Quelques jours plus tard, il vint chez moi et convainquit ma mère de me laisser partir à New York au siège de la communauté Loubavitch pour une dizaine de jours. On s'occupera de moi, elle n'avait qu'à payer mon billet d'avion. Sur son insistance et la mienne, elle accepta. Comment refuser de quitter ma banlieue parisienne grise et terne pour la ville de tous les possibles, de tous les rêves, New York City ?
A mon arrivée, je fus impressionné par une marée noire, une masse d'hommes habillés de la même façon que leur maître. Il était mort dix ans plus tôt, mais tous parlaient de lui et agissaient comme s'il était vivant, présent et omniscient, une sorte de dieu. Ils m'apprirent rapidement que le Dieu d'Abraham était loin et inaccessible, et que le seul moyen de l'atteindre, de lui parler, de lui demander quelque chose, c'était par l'intermédiaire du "tunnel", le rabbin des Loubavitch, son nom : Menachem Mendel Schneerson.
Toutes les habitudes du maître - ses vêtements, ses goûts, ses coutumes, ses goûts, ses écrits - sont observées avec soin, étudiées et diffusées non seulement dans les synagogues Loubavitch, implantées dans plus de 100 pays à travers le monde (dont les 50 états des USA) mais bien plus largement dans toutes les synagogues du monde, grâce aux émissaires du rabbin.
Dans la grande majorité des synagogues modernes, il y a un représentant des Loubavitch dont le but est de diffuser les enseignements toxiques et dangereux du gourou (le rabbin Menachem Mendel Schneerson).
Autour de moi, les photos du rabbin étaient absolument partout : sur les murs de leurs maisons, dans leurs restaurants, leurs voitures, leurs livres de prières, leurs poches, leurs portefeuilles, etc... le seul endroit où je n'en avais pas vu était dans la salle de bain et les toilettes. Ils étaient tous joyeusement obsédés par lui.
De retour chez moi, j'avais une Kippa noire sur la tête, sur laquelle était inscrit leur mantra, leur phrase préférée, leur leitmotiv : "Longue vie à notre maître, notre professeur, notre rabbin, le roi messie, pour toujours et à jamais". Pendant plusieurs années à Paris, j'ai continué à étudier avec eux et à apprendre leurs enseignements, leurs croyances et leurs objectifs, qui sont :
1) Les juifs émanent d'une essence divine, « de la pensée de Dieu ». Ils sont infiniment supérieurs aux non-juifs, il est presque difficile, incorrect ou étrange de les comparer. Pour prendre un exemple simple, si Dieu était un fruit, disons une orange, les juifs en seraient les pépins car les pépins sont au cœur de l'orange et concentrent toutes les potentialités, ils peuvent faire pousser, à leur tour, une orange. Par contre, les non-juifs en seraient les épluchures qui ne peuvent que reproduire ce qu'elle sont.
Les non-juifs sont égoïstes par nature, et tout le bien qu'ils font n'est que le résultat des avantages qu'ils espèrent en tirer plus tard, à l'exception de quelques justes.
2) L'annihilation du moi est l'un de leurs piliers fondamentaux. Le moi, la volonté de la personne, ses désirs, ses attentes, ses rêves et ses souhaits, doivent reculer au fur et à mesure que ceux du maître avancent. C'est l'une des premières exigences que tous devraient accepter, des gens du mouvement à ceux qui, comme moi, n'étaient pas habillés comme eux mais avaient une longue expérience du mouvement et avaient accepté leurs croyances, leurs pratiques et la volonté du maître, refusant ainsi de faire mes propres choix et niant mon libre arbitre. J'étais à deux doigts de porter le chapeau, pour ainsi dire, pendant de nombreuses années.
3) La divination. Le gourou des Loubavitch entretenait des milliers de correspondances épistolaires avec des juifs du monde entier, qui le consultaient au cours de sa vie. Ces lettres ont été compilées dans des livres appelés les "Lettres Saintes" ou "Igueroth Kodesh" en hébreu, bien qu'elles servent généralement à réaffirmer les enseignements du maître, une pratique divinatoire a été introduite par cette secte dans les communautés juives et au-delà. Pour consulter l'esprit du maître, il faut penser à sa question, penser au maître et ouvrir une page dans l'un de ces livres au hasard. La réponse à votre question doit se trouver sur l'une des pages. La pratique s'est répandue comme une traînée de poudre dans les cercles juifs, au point qu'aujourd'hui, une application et des sites Web sont disponibles en ligne, où les gens peuvent cliquer sur un bouton pour « demander une bénédiction » ou « recevoir une réponse », ce qui signifie tirer une lettre au hasard.
[Cette application recense 9000 lettres du Rabbi de Loubavitch qu'on appelle Iguerot Kodech (lettres saintes), ce qui représente environ 33 volumes papiers. Ces lettres sont traduites en français et éditées par le Beth Loubavitch.]
[Le 28 juin 1995, la médaille d'or du Congrès américain a été attribuée au Rabbi de Loubavitch, Rabbi Menachem M. Schneerson, lors d'une cérémonie exceptionnelle.]
Je ne peux pas résumer en quelques lignes l'emprise psychologique que j'ai subie de 18 à 28 ans, l'impact sur ma vie et comment j'en suis sorti. Je vous invite à lire mon livre, "A Thunderous Elephant" et à creuser les références que j'y donne. Il y en a bien plus que vous ne pouvez l'imaginer.
Depuis plusieurs années, je suis harcelé par des organisations gouvernementales, dont la DGSI (à Paris) et le Mossad. J'ai récemment renoncé à ma citoyenneté israélienne pour les repousser. Malgré cela, le harcèlement continue partout où je vais. Je suis actuellement au Sri Lanka et j'espère trouver un jour un pays où je pourrai vivre en paix.
Dans "Un éléphant tonitruant" (A Thunderous Elephant), l'auteur emmène les lecteurs dans un voyage courageux pour faire tomber les "idoles" qui dominent et manipulent nos vies, qu'elles soient enracinées dans la religion, la société ou la culture. À travers une série de chapitres incisifs, le livre remet en question les systèmes et les croyances que les gens suivent aveuglément, exhortant à une réévaluation critique des vérités qui nous sont chères.
Le premier chapitre examine la secte Chabad Lubavitch, exposant les dangers du lavage de cerveau religieux et du culte des idoles, quelque chose que l'auteur a personnellement enduré pendant plus d'une décennie.
Le deuxième chapitre se concentre sur le lieu de travail moderne, où les « pharaons » d'aujourd'hui exploitent leurs employés, les transformant en esclaves des temps modernes dans une quête incessante de profit et de contrôle.
Le troisième chapitre, "Les malédictions", présente une prière de l'auteur à son Soi suprême, implorant des forces supérieures d'apporter la justice au monde.
Dans le quatrième chapitre, l'auteur remet en question la pertinence et la validité de la religion comme force directrice dans la vie, affirmant qu'elle conduit systématiquement à l'immobilité et à la régression.
Le cinquième chapitre, "Sexualités", démantèle avec audace les préjugés et les diktats sociétaux entourant la sexualité tout en exposant les mythes et les idées fausses perpétués par la culture moderne. L'auteur réfléchit également sur "le plus vieux métier du monde".
"A Thunderous Elephant" est une critique convaincante de l'autorité, de la tradition et des faux récits qui maintiennent l'humanité captive. Avec une honnêteté sans faille, il appelle à la conscience de soi, à la libération et au courage de se libérer des croyances imposées, offrant aux lecteurs un chemin vers l'individualité et la vérité.
J'avais 18 ans quand tout a commencé. Comme les années précédentes, je m'étais rendu à la synagogue pour prier le jour du nouvel an juif. Sur le chemin du retour, un homme habillé en noir avec une barbe et un chapeau noir s'approcha de moi. J'avais tout de suite reconnu qu'il appartenait au mouvement Loubavitch (juifs orthodoxes). Nous échangeâmes quelques mots amicaux. Quelques jours plus tard, il vint chez moi et convainquit ma mère de me laisser partir à New York au siège de la communauté Loubavitch pour une dizaine de jours. On s'occupera de moi, elle n'avait qu'à payer mon billet d'avion. Sur son insistance et la mienne, elle accepta. Comment refuser de quitter ma banlieue parisienne grise et terne pour la ville de tous les possibles, de tous les rêves, New York City ?
A mon arrivée, je fus impressionné par une marée noire, une masse d'hommes habillés de la même façon que leur maître. Il était mort dix ans plus tôt, mais tous parlaient de lui et agissaient comme s'il était vivant, présent et omniscient, une sorte de dieu. Ils m'apprirent rapidement que le Dieu d'Abraham était loin et inaccessible, et que le seul moyen de l'atteindre, de lui parler, de lui demander quelque chose, c'était par l'intermédiaire du "tunnel", le rabbin des Loubavitch, son nom : Menachem Mendel Schneerson.
Toutes les habitudes du maître - ses vêtements, ses goûts, ses coutumes, ses goûts, ses écrits - sont observées avec soin, étudiées et diffusées non seulement dans les synagogues Loubavitch, implantées dans plus de 100 pays à travers le monde (dont les 50 états des USA) mais bien plus largement dans toutes les synagogues du monde, grâce aux émissaires du rabbin.
Dans la grande majorité des synagogues modernes, il y a un représentant des Loubavitch dont le but est de diffuser les enseignements toxiques et dangereux du gourou (le rabbin Menachem Mendel Schneerson).
Autour de moi, les photos du rabbin étaient absolument partout : sur les murs de leurs maisons, dans leurs restaurants, leurs voitures, leurs livres de prières, leurs poches, leurs portefeuilles, etc... le seul endroit où je n'en avais pas vu était dans la salle de bain et les toilettes. Ils étaient tous joyeusement obsédés par lui.
De retour chez moi, j'avais une Kippa noire sur la tête, sur laquelle était inscrit leur mantra, leur phrase préférée, leur leitmotiv : "Longue vie à notre maître, notre professeur, notre rabbin, le roi messie, pour toujours et à jamais". Pendant plusieurs années à Paris, j'ai continué à étudier avec eux et à apprendre leurs enseignements, leurs croyances et leurs objectifs, qui sont :
1) Les juifs émanent d'une essence divine, « de la pensée de Dieu ». Ils sont infiniment supérieurs aux non-juifs, il est presque difficile, incorrect ou étrange de les comparer. Pour prendre un exemple simple, si Dieu était un fruit, disons une orange, les juifs en seraient les pépins car les pépins sont au cœur de l'orange et concentrent toutes les potentialités, ils peuvent faire pousser, à leur tour, une orange. Par contre, les non-juifs en seraient les épluchures qui ne peuvent que reproduire ce qu'elle sont.
Les non-juifs sont égoïstes par nature, et tout le bien qu'ils font n'est que le résultat des avantages qu'ils espèrent en tirer plus tard, à l'exception de quelques justes.
2) L'annihilation du moi est l'un de leurs piliers fondamentaux. Le moi, la volonté de la personne, ses désirs, ses attentes, ses rêves et ses souhaits, doivent reculer au fur et à mesure que ceux du maître avancent. C'est l'une des premières exigences que tous devraient accepter, des gens du mouvement à ceux qui, comme moi, n'étaient pas habillés comme eux mais avaient une longue expérience du mouvement et avaient accepté leurs croyances, leurs pratiques et la volonté du maître, refusant ainsi de faire mes propres choix et niant mon libre arbitre. J'étais à deux doigts de porter le chapeau, pour ainsi dire, pendant de nombreuses années.
3) La divination. Le gourou des Loubavitch entretenait des milliers de correspondances épistolaires avec des juifs du monde entier, qui le consultaient au cours de sa vie. Ces lettres ont été compilées dans des livres appelés les "Lettres Saintes" ou "Igueroth Kodesh" en hébreu, bien qu'elles servent généralement à réaffirmer les enseignements du maître, une pratique divinatoire a été introduite par cette secte dans les communautés juives et au-delà. Pour consulter l'esprit du maître, il faut penser à sa question, penser au maître et ouvrir une page dans l'un de ces livres au hasard. La réponse à votre question doit se trouver sur l'une des pages. La pratique s'est répandue comme une traînée de poudre dans les cercles juifs, au point qu'aujourd'hui, une application et des sites Web sont disponibles en ligne, où les gens peuvent cliquer sur un bouton pour « demander une bénédiction » ou « recevoir une réponse », ce qui signifie tirer une lettre au hasard.
Je ne pense pas que l'idole des Loubavitch ainsi que sa secte, qui ont fait un lavage de cerveau à tant de personnes et qui, à ce jour, ne sont toujours pas tenus responsables de quoi que ce soit, méritaient de recevoir la médaille d'or du Congrès américain.
[Le 28 juin 1995, la médaille d'or du Congrès américain a été attribuée au Rabbi de Loubavitch, Rabbi Menachem M. Schneerson, lors d'une cérémonie exceptionnelle.]
Je ne peux pas résumer en quelques lignes l'emprise psychologique que j'ai subie de 18 à 28 ans, l'impact sur ma vie et comment j'en suis sorti. Je vous invite à lire mon livre, "A Thunderous Elephant" et à creuser les références que j'y donne. Il y en a bien plus que vous ne pouvez l'imaginer.
Depuis plusieurs années, je suis harcelé par des organisations gouvernementales, dont la DGSI (à Paris) et le Mossad. J'ai récemment renoncé à ma citoyenneté israélienne pour les repousser. Malgré cela, le harcèlement continue partout où je vais. Je suis actuellement au Sri Lanka et j'espère trouver un jour un pays où je pourrai vivre en paix.
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Dans "Un éléphant tonitruant" (A Thunderous Elephant), l'auteur emmène les lecteurs dans un voyage courageux pour faire tomber les "idoles" qui dominent et manipulent nos vies, qu'elles soient enracinées dans la religion, la société ou la culture. À travers une série de chapitres incisifs, le livre remet en question les systèmes et les croyances que les gens suivent aveuglément, exhortant à une réévaluation critique des vérités qui nous sont chères.
Le premier chapitre examine la secte Chabad Lubavitch, exposant les dangers du lavage de cerveau religieux et du culte des idoles, quelque chose que l'auteur a personnellement enduré pendant plus d'une décennie.
Le deuxième chapitre se concentre sur le lieu de travail moderne, où les « pharaons » d'aujourd'hui exploitent leurs employés, les transformant en esclaves des temps modernes dans une quête incessante de profit et de contrôle.
Le troisième chapitre, "Les malédictions", présente une prière de l'auteur à son Soi suprême, implorant des forces supérieures d'apporter la justice au monde.
Dans le quatrième chapitre, l'auteur remet en question la pertinence et la validité de la religion comme force directrice dans la vie, affirmant qu'elle conduit systématiquement à l'immobilité et à la régression.
Le cinquième chapitre, "Sexualités", démantèle avec audace les préjugés et les diktats sociétaux entourant la sexualité tout en exposant les mythes et les idées fausses perpétués par la culture moderne. L'auteur réfléchit également sur "le plus vieux métier du monde".
"A Thunderous Elephant" est une critique convaincante de l'autorité, de la tradition et des faux récits qui maintiennent l'humanité captive. Avec une honnêteté sans faille, il appelle à la conscience de soi, à la libération et au courage de se libérer des croyances imposées, offrant aux lecteurs un chemin vers l'individualité et la vérité.