Mépris et haine envers les gentils
Les événements qui se déroulent tous les jours (en Palestine) dans les territoires occupés, démontrent incontestablement que ce qu'on appelle "racisme sioniste" n'est rien d'autre que le prolongement et le développement de l'enseignement du Talmud. [...]
En plus des lois générales contre les gentils (non-juifs), la Halakhah a des lois spéciales contre les gentils qui vivent dans la Terre d'Israël (Eretz Yisra'el), ou, dans certains cas, qui ne font que la traverser. Ces lois sont destinées à favoriser la suprématie juive dans ce pays. [...]
Je vais maintenant énumérer quelques unes de ces lois spéciales concernant les gentils dans la Terre d'Israël. Leur rapport avec la pratique sioniste actuelle sera tout-à-fait claire.
La Halakhah interdit aux juifs de vendre des biens immobiliers - maisons et champs - dans la Terre d'Israël, à des gentils. En Syrie, la vente des maisons est permise, mais pas celle des champs.
Il est permis de louer une maison à un gentil dans la Terre d'Israël, à deux conditions. D'abord, la maison ne sera pas utilisée comme habitation, mais pour d'autres buts, tels que un entrepôt. Ensuite, que trois maisons voisines ou davantage ne soient pas louées ainsi.
Ces règles, et plusieurs autres sont expliquées comme suit : "de sorte que vous ne leur permettrez pas de camper sur le terrain, car s'ils ne possèdent pas de terre, leur séjour à cet endroit ne sera temporaire". Même la présence temporaire de gentils ne peut être tolérée que "quand les juifs sont en exil, ou quand les gentils sont plus puissants que les juifs", mais "quand les juifs sont plus puissants que les gentils, il nous est interdit de garder un idolâtre parmi nous ; même un résident temporaire ou un commerçant itinérant ne devront pas traverser notre terre, à moins qu'il n'accepte les sept préceptes noachides, car il est écrit : "Ils n'habiteront pas ton pays", c'est-à-dire, même temporairement. S'il accepte les sept préceptes noachides, il devient un étranger résident (ger toshav), mais il est interdit d'accorder le statut de résident, excepté aux époques où les Jubilés sont célébrés (quand le Temple est debout et que les sacrifices sont offerts). Dans les périodes où les Jubilés ne sont pas célébrés, il est interdit d'accepter comme résident quiconque n'est pas converti pleinement au judaïsme ("ger tzedeq")".
Il est clair que, suivant la Halakhah, toute la question de savoir comment les Palestiniens doivent être traités n'est qu'une question de pouvoir juif : si les juifs en ont le pouvoir, c'est leur devoir religieux de chasser les Palestiniens, comme disent les leaders et les partisans du "Goush Emounim". [...]
En plus des lois telles que celles mentionnées ci-dessus, qui sont dirigées contre tous les gentils dans la Terre d'Israël, des lois spéciales contre les anciens Cananéens et autres nations qui vivaient en Palestine avant la conquête de Josué (aussi bien que contre les Amalécites) ont une mauvaise influence encore plus grande. Toutes ces nations devaient être complètement exterminées, et le Talmud, ainsi que la littérature talmudique, réitèrent les exhortations bibliques à l'extermination, avec encore davantage de véhémence. Les rabbins influents, qui ont un nombre considérable de partisans parmi les officiers de l'armée israélienne, identifient les Palestiniens (ou même tous les Arabes) à ces anciennes nations, de sorte que des commandements tels que : "Tu n'en laisseras rien subsister de vivant" acquièrent une valeur d'actualité. En fait, il n'est pas rare que des réservistes, rappelés afin de faire une période militaire dans la Bande de Gaza, reçoivent un "cours éducatif" dans lequel on leur dit que les Palestiniens de Gaza sont "comme les Amalécites". Les versets bibliques exhortant au massacre des Madianites furent solennellement cités par un important rabbin en justification du massacre de Qibbiya, et cette déclaration eut une large diffusion dans l'armée israélienne. Il existe beaucoup d'exemples similaires de déclarations rabbiniques assoiffées de sang, prononcées contre les Palestiniens et fondées sur ces lois.
J'aimerais exposer sous cette rubrique des exemples de lois halakhiques dont les effets les plus importants ne sont pas tant de prescrire une discrimination spécifique contre les gentils que d'inculquer une attitude de mépris et de haine envers les gentils. En conséquence, je ne me bornerai pas à citer les sources halakhiques les plus importantes, mais je mentionnerai des travaux moins fondamentaux, qui sont cependant largement utilisés dans l'instruction religieuse.
Commençons par quelques prières courantes. Dans l'une des premières parties de la prière du matin quotidienne, chaque juif pieux bénit Dieu de ne pas avoir fait de lui un gentil. La conclusion de la prière quotidienne (récitée également au moment le plus solennel de la célébration du Jour de l'An et du Yom Kippour) commence par ces mots : "Nous devons louer le Seigneur de tout... de ne pas nous avoir traité comme les nations... car elles se prosternent devant ce qui n'est que vanité et néant, et elles prient un dieu qui ne les secourt pas". Le dernier membre de phrase était omis dans les livres de prières, mais, en Europe orientale, ceci était ajouté oralement, et a été maintenant rétabli dans beaucoup de livres de prières imprimés en Israël. Dans la section la plus importante de la prière des jours de semaine - les "dix-huit bénédictions" - il y a une malédiction spéciale, originellement dirigée contre les Chrétiens, les juifs convertis au Christianisme et autres juifs hérétiques : "Puissent les apostats n'avoir pas d'espoir, et que tous les Chrétiens périssent instantanément". Cette formule date de la fin du Ier siècle, quand le Christianisme était encore une petite église persécutée.
Quelques temps avant le XIVe siècle, la formule fut adoucie en: "Puissent les apostats ne pas avoir d'espoir, et tous les hérétiques périr instantanément", et, après d'autres pressions, en : "Puissent les dénonciateurs n'avoir pas d'espoir, et tous les hérétiques périr instantanément." Après l'établissement de l'Etat d'Israël, le processus fut inversé, et beaucoup de livres de prières récemment édités reprirent la seconde formule, qui fut également prescrite par nombre d'enseignants dans les écoles religieuses israéliennes. Après 1967, plusieurs congrégations proches du "Goush Emounim" ont restauré la première version (mais seulement oralement, pas dans les imprimés), et ils prient maintenant quotidiennement que les Chrétiens "puissent périr instantanément". Ce processus de réversion eut lieu à l'époque où l'Église catholique (sous le pontificat de Jean XXIII) retirait des cérémonies du Vendredi Saint une prière qui demandait à Dieu d'avoir pitié des juifs, des hérétiques, etc. Cette prière était considérée par beaucoup de leaders juifs comme choquante, et même antisémite.
En plus des prières quotidiennes, un juif pieux doit prononcer de courtes formules de bénédictions en diverses occasions, bonnes et mauvaises (par exemple : en mettant un nouveau vêtement, en mangeant un fruit saisonnier pour la première fois de l'année, en voyant un éclair très lumineux, en apprenant de mauvaises nouvelles). Certaines de ces prières occasionnelles servent à inculquer le mépris et la haine contre tous les gentils. Un juif dévot doit émettre une malédiction en passant près d'un cimetière gentil, tandis qu'il doit bénir Dieu en passant près d'un cimetière juif. Une règle similaire s'applique aux vivants ; ainsi, en voyant un grand nombre de juifs, un juif pieux doit louer Dieu, tandis qu'en voyant un grand nombre de gentils, il doit émettre une malédiction. Même les bâtiments ne sont pas épargnés : le Talmud institue qu'un juif qui passe près d'une demeure non-juive inhabitée doit demander à Dieu de la détruire, tandis que si l'immeuble est en ruine, il doit remercier le Seigneur de la Vengeance. (Naturellement, les règles sont inversées pour les maisons juives). Cette règle était facile à observer pour des paysans juifs qui vivaient dans leurs propres villages, ou pour de petites communautés urbaines composant des quartiers ou des communes entièrement juives. Dans la situation du judaïsme classique, cette règle devint impraticable, et fut limitée aux églises et lieux de culte des autres religions (excepté ceux de l'islam). A cet égard, la règle fut en outre "enjolivée" par la coutume: il devint coutumier de cracher (habituellement trois fois) en voyant une église ou un crucifix, en tant qu'ornement de la formule obligatoire de regret. Quelquefois, des versets bibliques injurieux furent également ajoutés. [...]
- Dans les églises des chrétiens, il ne se dit et ne se fait que ce qui est contraire à la vérité. Du reste, elle ne diffère pas de celle de païens. Le devoir d'un juif est de travailler au renversement de ces églises.
- L'Evangile des chrétiens n'est qu'une doctrine de péché déclarée ouvertement. Le devoir d'un juif est de le brûler quoiqu'il s'y trouve le nom de Dieu.
Chapitre I, paragraphe IV
- Le devoir des juifs est de maudire les chrétiens trois fois par jour et de demander à Dieu de les anéantir tous, spécialement leurs rois et leurs gouvernements. C'est un précepte dont l'observance concerne particulièrement les chefs de la doctrine. Ils doivent aussi exciter à la haine contre les chrétiens.
- Dieu a ordonné au peuple juif de s'emparer de l'argent des chrétiens par tous les moyens possibles, soit par trafic, soit par finesse, soit par fourberie, soit même par vol.
Chapitre II, paragraphe IV
- Les pays où les chrétiens commandent sont moins agréables à Dieu que les autres pays.
- Si un israélite sert un chef des idolâtres, il pèche. Mais s'il sert un chef des chrétiens, il commet un péché énorme.
Chapitre IV, paragraphe II
- Le juif doit être persuadé que le chrétien est un animal sauvage et il doit le traiter en conséquence. Quant aux idolâtres, le juif ne doit leur faire ni bien ni mal. Mais il doit employer tous efforts pour détruire les chrétiens.
- Si un israélite voit un chrétien sur le bord d'un précipice, il doit le pousser dedans jusqu'à ce que le chrétien soit au fond de l'abîme.
- Les passages de ce Talmud concernant l'Islam sont encore plus hostiles que ceux-ci ne le sont au christianisme. Le gouvernement (syrien) n'a pas voulu en laisser publier la traduction, pour ne pas augmenter l'exaspération des musulmans.
Moustapha Tlass, auteur du livre "L'Azyme de Sion".
Note :
La délégation diplomatique américaine à Damas avait protesté contre l'ouvrage qu'avait fait paraître le général Moustapha Tlass, ministre syrien de la Défense, sous le titre "L'Azyme de Sion". Cet ouvrage rapporte l'histoire réelle pour laquelle a témoigné le consul de France en Syrie en 1840, de juifs ayant assassiné deux chrétiens pour se servir de leur sang dans la préparation de l'azyme qu'ils consomment à la Pâque...
Je vais maintenant énumérer quelques unes de ces lois spéciales concernant les gentils dans la Terre d'Israël. Leur rapport avec la pratique sioniste actuelle sera tout-à-fait claire.
La Halakhah interdit aux juifs de vendre des biens immobiliers - maisons et champs - dans la Terre d'Israël, à des gentils. En Syrie, la vente des maisons est permise, mais pas celle des champs.
Il est permis de louer une maison à un gentil dans la Terre d'Israël, à deux conditions. D'abord, la maison ne sera pas utilisée comme habitation, mais pour d'autres buts, tels que un entrepôt. Ensuite, que trois maisons voisines ou davantage ne soient pas louées ainsi.
Ces règles, et plusieurs autres sont expliquées comme suit : "de sorte que vous ne leur permettrez pas de camper sur le terrain, car s'ils ne possèdent pas de terre, leur séjour à cet endroit ne sera temporaire". Même la présence temporaire de gentils ne peut être tolérée que "quand les juifs sont en exil, ou quand les gentils sont plus puissants que les juifs", mais "quand les juifs sont plus puissants que les gentils, il nous est interdit de garder un idolâtre parmi nous ; même un résident temporaire ou un commerçant itinérant ne devront pas traverser notre terre, à moins qu'il n'accepte les sept préceptes noachides, car il est écrit : "Ils n'habiteront pas ton pays", c'est-à-dire, même temporairement. S'il accepte les sept préceptes noachides, il devient un étranger résident (ger toshav), mais il est interdit d'accorder le statut de résident, excepté aux époques où les Jubilés sont célébrés (quand le Temple est debout et que les sacrifices sont offerts). Dans les périodes où les Jubilés ne sont pas célébrés, il est interdit d'accepter comme résident quiconque n'est pas converti pleinement au judaïsme ("ger tzedeq")".
Il est clair que, suivant la Halakhah, toute la question de savoir comment les Palestiniens doivent être traités n'est qu'une question de pouvoir juif : si les juifs en ont le pouvoir, c'est leur devoir religieux de chasser les Palestiniens, comme disent les leaders et les partisans du "Goush Emounim". [...]
En plus des lois telles que celles mentionnées ci-dessus, qui sont dirigées contre tous les gentils dans la Terre d'Israël, des lois spéciales contre les anciens Cananéens et autres nations qui vivaient en Palestine avant la conquête de Josué (aussi bien que contre les Amalécites) ont une mauvaise influence encore plus grande. Toutes ces nations devaient être complètement exterminées, et le Talmud, ainsi que la littérature talmudique, réitèrent les exhortations bibliques à l'extermination, avec encore davantage de véhémence. Les rabbins influents, qui ont un nombre considérable de partisans parmi les officiers de l'armée israélienne, identifient les Palestiniens (ou même tous les Arabes) à ces anciennes nations, de sorte que des commandements tels que : "Tu n'en laisseras rien subsister de vivant" acquièrent une valeur d'actualité. En fait, il n'est pas rare que des réservistes, rappelés afin de faire une période militaire dans la Bande de Gaza, reçoivent un "cours éducatif" dans lequel on leur dit que les Palestiniens de Gaza sont "comme les Amalécites". Les versets bibliques exhortant au massacre des Madianites furent solennellement cités par un important rabbin en justification du massacre de Qibbiya, et cette déclaration eut une large diffusion dans l'armée israélienne. Il existe beaucoup d'exemples similaires de déclarations rabbiniques assoiffées de sang, prononcées contre les Palestiniens et fondées sur ces lois.
J'aimerais exposer sous cette rubrique des exemples de lois halakhiques dont les effets les plus importants ne sont pas tant de prescrire une discrimination spécifique contre les gentils que d'inculquer une attitude de mépris et de haine envers les gentils. En conséquence, je ne me bornerai pas à citer les sources halakhiques les plus importantes, mais je mentionnerai des travaux moins fondamentaux, qui sont cependant largement utilisés dans l'instruction religieuse.
Commençons par quelques prières courantes. Dans l'une des premières parties de la prière du matin quotidienne, chaque juif pieux bénit Dieu de ne pas avoir fait de lui un gentil. La conclusion de la prière quotidienne (récitée également au moment le plus solennel de la célébration du Jour de l'An et du Yom Kippour) commence par ces mots : "Nous devons louer le Seigneur de tout... de ne pas nous avoir traité comme les nations... car elles se prosternent devant ce qui n'est que vanité et néant, et elles prient un dieu qui ne les secourt pas". Le dernier membre de phrase était omis dans les livres de prières, mais, en Europe orientale, ceci était ajouté oralement, et a été maintenant rétabli dans beaucoup de livres de prières imprimés en Israël. Dans la section la plus importante de la prière des jours de semaine - les "dix-huit bénédictions" - il y a une malédiction spéciale, originellement dirigée contre les Chrétiens, les juifs convertis au Christianisme et autres juifs hérétiques : "Puissent les apostats n'avoir pas d'espoir, et que tous les Chrétiens périssent instantanément". Cette formule date de la fin du Ier siècle, quand le Christianisme était encore une petite église persécutée.
Quelques temps avant le XIVe siècle, la formule fut adoucie en: "Puissent les apostats ne pas avoir d'espoir, et tous les hérétiques périr instantanément", et, après d'autres pressions, en : "Puissent les dénonciateurs n'avoir pas d'espoir, et tous les hérétiques périr instantanément." Après l'établissement de l'Etat d'Israël, le processus fut inversé, et beaucoup de livres de prières récemment édités reprirent la seconde formule, qui fut également prescrite par nombre d'enseignants dans les écoles religieuses israéliennes. Après 1967, plusieurs congrégations proches du "Goush Emounim" ont restauré la première version (mais seulement oralement, pas dans les imprimés), et ils prient maintenant quotidiennement que les Chrétiens "puissent périr instantanément". Ce processus de réversion eut lieu à l'époque où l'Église catholique (sous le pontificat de Jean XXIII) retirait des cérémonies du Vendredi Saint une prière qui demandait à Dieu d'avoir pitié des juifs, des hérétiques, etc. Cette prière était considérée par beaucoup de leaders juifs comme choquante, et même antisémite.
En plus des prières quotidiennes, un juif pieux doit prononcer de courtes formules de bénédictions en diverses occasions, bonnes et mauvaises (par exemple : en mettant un nouveau vêtement, en mangeant un fruit saisonnier pour la première fois de l'année, en voyant un éclair très lumineux, en apprenant de mauvaises nouvelles). Certaines de ces prières occasionnelles servent à inculquer le mépris et la haine contre tous les gentils. Un juif dévot doit émettre une malédiction en passant près d'un cimetière gentil, tandis qu'il doit bénir Dieu en passant près d'un cimetière juif. Une règle similaire s'applique aux vivants ; ainsi, en voyant un grand nombre de juifs, un juif pieux doit louer Dieu, tandis qu'en voyant un grand nombre de gentils, il doit émettre une malédiction. Même les bâtiments ne sont pas épargnés : le Talmud institue qu'un juif qui passe près d'une demeure non-juive inhabitée doit demander à Dieu de la détruire, tandis que si l'immeuble est en ruine, il doit remercier le Seigneur de la Vengeance. (Naturellement, les règles sont inversées pour les maisons juives). Cette règle était facile à observer pour des paysans juifs qui vivaient dans leurs propres villages, ou pour de petites communautés urbaines composant des quartiers ou des communes entièrement juives. Dans la situation du judaïsme classique, cette règle devint impraticable, et fut limitée aux églises et lieux de culte des autres religions (excepté ceux de l'islam). A cet égard, la règle fut en outre "enjolivée" par la coutume: il devint coutumier de cracher (habituellement trois fois) en voyant une église ou un crucifix, en tant qu'ornement de la formule obligatoire de regret. Quelquefois, des versets bibliques injurieux furent également ajoutés. [...]
Traduction du Talmud adopté en Syrie.
Passages concernant les chrétiens
- L'Evangile des chrétiens n'est qu'une doctrine de péché déclarée ouvertement. Le devoir d'un juif est de le brûler quoiqu'il s'y trouve le nom de Dieu.
Chapitre I, paragraphe IV
- Le devoir des juifs est de maudire les chrétiens trois fois par jour et de demander à Dieu de les anéantir tous, spécialement leurs rois et leurs gouvernements. C'est un précepte dont l'observance concerne particulièrement les chefs de la doctrine. Ils doivent aussi exciter à la haine contre les chrétiens.
- Dieu a ordonné au peuple juif de s'emparer de l'argent des chrétiens par tous les moyens possibles, soit par trafic, soit par finesse, soit par fourberie, soit même par vol.
Chapitre II, paragraphe IV
- Les pays où les chrétiens commandent sont moins agréables à Dieu que les autres pays.
- Si un israélite sert un chef des idolâtres, il pèche. Mais s'il sert un chef des chrétiens, il commet un péché énorme.
Chapitre IV, paragraphe II
- Le juif doit être persuadé que le chrétien est un animal sauvage et il doit le traiter en conséquence. Quant aux idolâtres, le juif ne doit leur faire ni bien ni mal. Mais il doit employer tous efforts pour détruire les chrétiens.
- Si un israélite voit un chrétien sur le bord d'un précipice, il doit le pousser dedans jusqu'à ce que le chrétien soit au fond de l'abîme.
- Les passages de ce Talmud concernant l'Islam sont encore plus hostiles que ceux-ci ne le sont au christianisme. Le gouvernement (syrien) n'a pas voulu en laisser publier la traduction, pour ne pas augmenter l'exaspération des musulmans.
Moustapha Tlass, auteur du livre "L'Azyme de Sion".
Note :
La délégation diplomatique américaine à Damas avait protesté contre l'ouvrage qu'avait fait paraître le général Moustapha Tlass, ministre syrien de la Défense, sous le titre "L'Azyme de Sion". Cet ouvrage rapporte l'histoire réelle pour laquelle a témoigné le consul de France en Syrie en 1840, de juifs ayant assassiné deux chrétiens pour se servir de leur sang dans la préparation de l'azyme qu'ils consomment à la Pâque...