Y a t-il une relation entre leur réussite spectaculaire et les réseaux fraternels juifs à travers le monde ? Leur influence fut-elle fortuite ou programmée ?
On découvre que la promotion de leurs découvertes fut assurée à l’arrière plan par un réseau de sociétés et d‘organisations plus ou moins secrètes comme le B’naï B’rith qui est un cercle para-maçonnique fermé aux non-juifs. Nombre de personnalités en vue en sont membres. On a beaucoup fantasmé sur ce qui pouvait se décider à l’intérieur de cette loge, dont les membres juifs peuvent également être admis dans les loges maçonniques ordinaires. Par contre, les francs-maçons des diverses obédiences ne sont pas admis dans la loge réservée aux israélites. Il y a donc un système de clapet anti-retour qui éveille méfiance et suspicion. De là est né la théorie du « complot judéo-maçonnique » que nul n’ose évoquer publiquement sans crainte alors qu’elle est fondée sur un fait.
Quelle est l’importance de ce réseau fraternel dans la diffusion des idées modernes ? C’est fort simple, sans réseau, l’électricité ne circule pas. C’est pourquoi depuis plus d’un siècle, nombre de découvertes scientifiques ou de réformes politiques ont été couvées dans le nid du B’naï B’rith, depuis Ben Gourion et la fondation de l’Etat d’Israël jusqu’à la loi sur l’avortement de la députée française Simone Weil.
Lors de la réception en loge du « frère » Sigmund Freud, le B’naï B’rith lui déroula un tapis rouge pour qu’il aille répandre ses théories en Amérique.
Sans ce coup de pouce, les théories de Freud seraient restées dans un tiroir comme des milliers d’autres « découvertes géniales ». Il désirait tellement le succès qu’il suppliait le ciel devant son collègue Karl Gustav Jung : « Il faut que ma théorie devienne un dogme ! » L’affaire fut entendue en haut lieu, et les loges s’en emparèrent pour diffuser mondialement la théologie de la religion psychanalytique.
Bien entendu, dès que l’on cherche à savoir qui a financé ces diverses opérations de promotion, on tombe immanquablement sur le grand argentier Rothschild ou autre Baron de Hirsch.
L’argent n’ayant pas d’odeur idéologique, il a aussi bien servi à financer la révolution russe que le mouvement national socialiste, considéré à ses débuts comme véhiculant une idéologie favorable au sionisme. Il faut rappeler ici quelques faits historiques soigneusement tenus secrets :
Sait-on que le seul drapeau étranger qui fut autorisé à flotter dans le ciel bleu aryen des années trente, était l’étoile de David portée par les phalanges paramilitaires sionistes défilant dans les rues de l’Allemagne nazifiée ?
Jusqu’à la veille de la guerre en 1938, des camps d’entraînement du Betar – milice sioniste paramilitaire – étaient ouverts à côté de Berlin. Les documents d’époque montrent les groupes en uniforme arborant la bannière ornée du chandelier à sept branches. Une banderole en hébreu annonce « Ke dam ve esch » (par le sang et le feu ) sur la photo d’un meeting du Betar qui se confond par le décorum, la fanfare, les drapeaux et les épaulettes des uniformes des officiers avec un rassemblement fasciste de cette époque.
On oublie souvent de rappeler que le Reich était pro-sioniste et qu’au début, les sionistes vantèrent le régime nazi « qui comprend comme nous la valeur sacrée du sol et du sang ». Des dignitaires nazis se rendirent en Palestine avec les responsables sionistes pour visiter les lieux pour une colonisation de masse. Les sionistes comptaient sur le Reich pour les aider à fonder leur Etat d’Israël. A l’arrière-plan, les deux camps n’avaient-ils pas les mêmes bailleurs de fonds anglo-américains ? Mais ceux-ci jouaient au chat et à la souris, en attendant de voir…tout en installant leurs usines où une main-d’œuvre juive peu coûteuse irait bientôt trimer dans les conditions que l’on connaît. On feint d’oublier que les doctrines nazie et sioniste sont de même essence, c’est à dire intrinsèquement racistes. Les premiers écrits élaborant l’idéologie de la « race supérieure » - et qui servirent de modèle aux fascismes du XXe siècle - furent l’œuvre de juifs extrémistes.
La doctrine internationale-socialiste et l’idéologie raciste dont se sont inspirés les nazis furent l’œuvre d’idéologues de l’extrême-droite juive.
Nous en trouvons la source dans les écrits datant de 1900 de Zeev Jabotinsky (né à Odessa en 1880) : « la source du sentiment national se trouve dans le sang de l’homme… dans son type physico-racial et là seulement… la vision spirituelle d’un homme est fondamentalement déterminée par sa structure physique. C’est pour cette raison que nous ne croyons pas à l’assimilation spirituelle. Il est inconcevable, d’un point de vue physique, qu’un juif né dans une famille de pur sang juif puisse s’adapter à la vison spirituelle d’un allemand ou d’un français. Il peut être entièrement imprégné du fluide germanique, mais le noyau de sa structure spirituelle restera toujours juif. »
Le terme « national-socialiste » d’où est tirée l’abréviation « nazi » a été emprunté à un groupe sioniste qui combinait le programme socialiste du « parti révolutionnaire social russe » et le programme des « sionistes socialistes ».
Pour Jabotinsky, toute assimilation aux goyim – les « étrangers » non juifs - est non seulement néfaste, mais impossible. « Il est impossible à un homme de s’assimiler à un peuple dont le sang est différent du sien. Pour être assimilé, il faudrait qu’on change son corps, il doit devenir leur par le sang. Il ne peut y avoir d’assimilation. Nous n’autoriserons pas des choses du genre des mariages mixtes parce que la préservation de notre intégrité nationale est impossible autrement que par le maintien de la pureté de la race et pour ce faire nous aurons ce territoire dont notre peuple constituera la population racialement pure ».
L’interdiction des mariages mixtes pour les juifs n’est-elle pas la doctrine officielle du Judaïsme orthodoxe ? Les nazis n’ont donc rien inventé, mais ils se sont réappropriés jusqu’au délire cette idéologie antérieure à la leur.
Bien entendu ces aspects politiquement incorrects de l’idéologie sioniste ont été gommés après la guerre, et seuls les nazis endossèrent la malédiction du culte de la race supérieure, alors que concrètement, le Judaïsme perpétue une discrimination raciale sévère en son sein, tout en criant à l’antisémitisme lorsqu’on évoque ce racisme, facteur de cohésion. C’est ainsi que la société moderne est devenue schizo. Toutes les ethnies et les minorités sont dénoncées comme racistes si elles refusent de se mélanger, saut une, le Judaïsme, dont la doctrine prône un protectionnisme génétique.
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