dimanche 10 novembre 2024

L’OR JUIF, MAÎTRE DU MONDE



Roger Dommergue Polacco de Menasce, professeur français juif, philosophe, essayiste, issu d’une famille qui fut multimilliardaire au début du 20ième siècle



L’OR JUIF, MAÎTRE DU MONDE

par Roger Dommergue


Les Juifs contrôlent tous les médias : Éditions, presse, radio, télévision... Ils sont donc des instruments de propagandes pseudo-démocratiques, car c’est le seul régime qui assure leur hégémonie, qu’aucun régime traditionnel ne leur accorderait. 

Ils contrôlent donc les masses et les politiciens qui en font partie (aucune élite véritable n’accepterait le diktat du bulletin de vote ou de participer à des concours aussi stupides que l’agrégation ou l’ENA). 

Ils contrôlent entièrement le cinéma : propagande, violence, sexe, dénaturation de toutes les valeurs fondamentales qui sont l’essence de l’Homme. 

Ils contrôlent la mode : les homosexuels y sont incités à pervertir tout sens esthétique, même à ce niveau élémentaire qu’est l’habillement. Les jeunes aujourd’hui sont des vachers blue jeaneux, patateux et bariolés. Les femmes s’hommassisent vestimentairement et psychologiquement. 

Les Juifs contrôlent l’or et sa manipulation qui fixent le cours et la valeur des monnaies nationales. Citons : Rothschild, Bleichroeder, Kuhn, Loeb & Cie, Japhet, Seligmann, Lazard et consorts. Au cours de ce siècle, les Sasoon contrôlaient l’opium dans le monde entier. Aujourd’hui la Haute finance juive gère la drogue. Alfred Mond (Lord Melchett) contrôle le nickel. Louis-Louis Dreyfus contrôle le blé. 

Les Juifs contrôlent les trois internationales prolétariennes fondées par eux. 

Les Juifs contrôlent les sociétés secrètes : Franc-maçonnerie, Bilderberger, CFR, Trilatérale, dans lesquelles sont asservis tous les politiciens, qui en sont le plus souvent membres. 

Les Juifs contrôlent l’ONU comme ils contrôlaient la SDN. 

Les Juifs exercent une formidable influence, directe ou indirecte, sur les gouvernements des nations occidentales. (directe : Angleterre : Hore-Belisha, Sassoon, etc. France : Léon Blum, Jean Zay, Georges Mandel-Rothschild, Pierre Mendès-France, Michel Debré, Laurent Fabius, etc.) Etats-Unis : Morgenthau, Perkins, Baruch, colonel House, etc. En 1999, dix des conseillers du président des Etats-Unis sont Juifs. Belgique : Vandervelde, Hymans, etc. Russie : Kaganovitch et pratiquement tous ceux qui ont fait et administré la révolution avec ses goulags et ses exécutions. Quant à l’influence indirecte, elle est idéologique et financière. 

La Jewish Encyclopedia, rédigée par un comité de Juifs, nous donne des précisions flagrantes sur la vie économique de ce siècle et leur puissance. Dès le début de l’ère industrielle, les emprunts nationaux et les emprunts des grandes entreprises, les chemins de fer par exemple, furent financés par les Juifs. 

Depuis le début du XIXè siècle, ils ont la prépondérance dans le domaine de la finance internationale. Nous apprenons là aussi que les Stern et les Goldsmid ont financé presque exclusivement le Portugal.

Le baron Hirsh a financé les chemins de fer de Turquie. Les Rothschild ceux de France. Strousberg, ceux de Roumanie. Poliakov, Speyer & Cie ceux de Russie. Kuhn Loeb & Cie, sans oublier une partie importante du réseau ferroviaire américain. Peut-être la plus grande entreprise contemporaine financée par les Juifs, nous dit l’Encyclopédia, fut la grande digue du Nil, financée par Sir Ernest Cassel. 

Dès 1902, de l’aveu des Juifs, leur tribu contrôlait la prépondérance du marché international dans les pays importants. «L’activité des Juifs sur le marché international est directement lié à leur travail comme courtiers en valeurs étrangères, au mouvement mondial des métaux précieux qui sont en majeure partie entre leurs mains».

Toujours dans l’Encyclopédia : Les Rothschild contrôlent le mercure, Barnato Frères et Werner, Bett & Cie contrôlent le diamant. (Postérieurement à cette période, nous savons que Oppenheimer contrôlait le diamant en Afrique du Sud). Lewisohn et Guggenheim contrôlent le cuivre et dans une mesure importante le marché de l’argent. On peut ajouter que les intérêts Graustein et Dreyfus contrôlent le marché de la pâte de bois et du papier. 

Voici comment on peut mesurer la puissance d’un seul financier juif toujours tiré de l’Encyclopédie juive : il s’agit de l’exemple de Jacob-H. Schiff qui finança Lénine et Trotsky en 1917. Sous la direction de Schiff, sa firme opéra la reconstruction financière de l’Union Pacific Railroad vers 1897. En 1901, il engagea une bataille contre la Compagnie du Grand-Nord pour la possession de la Northern Pacific Railway. Ceci provoqua une panique à la Bourse (9 mai 1901) dans laquelle la firme Loeb, Kuhn & Cie tint le marché à sa merci. La modération et la sagesse de Schiff en cette circonstance empêchèrent un désastre et firent que sa firme eut la plus grande influence dans le monde financier des chemins de fer. Elle contrôlait plus de 22 000 miles de chemins de fer et 1.321.000.000$ de stocks pour le matériel ferroviaire. Il a financé de grandes émissions de l’Union Pacific du Pennsylvania Railroad, du Baltimore & Ohio, du Norfolk & Western, du Western Union Telegraph et plusieurs autres. Il a financé et partiellement souscrit les trois grands emprunts de guerre du Japon en 1904 et 1905. Tout le capital des banques du Canada réunies, représentant les économies de millions de Canadiens, n’arrivait pas à la moitié de la fortune de cette banque Juive, qui représentait la fortune de cinq personnes. 

Si les agitateurs Juifs exigent la destruction des banques nationales dépositaires des économies des Canadiens, ils ne parlent jamais de détruire ces monstrueuses banques internationales qui financèrent les révolutions et le communisme. 

L’Encyclopédie juive nous apprend aussi que la maison Sasoon, les Rothschild de l’Orient, possède le monopole du marché de l’opium dans le monde, contrôle en Asie de vastes monopoles de textiles, filatures, teintureries, soie, coton, etc. sans compter de puissantes organisations de banques, assurances, courtages, commerce, etc. Les succursales sont à Calcutta, Shanghai, Canton, Hong-Kong, Yokohama, Nagasaki, Bagdad, etc. 

La famille juive Pereire, de France, toujours d’après l’Encyclopédie juive, est ramifiée en Espagne et a de puissants intérêts dans de nombreux pays. Voici quelques entreprises qu’elle a fondées ou dont elle a le monopole ou dont elle détient des participations : 

- Crédit Foncier de France, 
- Société Générale du Crédit Mobilier, 
- Chemin de Fer du Midi, Chemin de Fer du Nord de l’Espagne, 
- Gaz de Paris, 
- Omnibus de Paris, 
- Compagnie Générale Transatlantique, 
- Eclairage de Paris, 
- Assurances Union et Assurances Phénix d’Espagne, 
- Chantiers navals de Saint-Nazaire, 
- Crédit Mobilier d’Espagne, 
- Banque de Tunis, 
- Banque Transatlantique, 
- Chemin de fer Paris-Argenteuil-Auteuil, 
- Cie des Quais de Marseille, 
- Gaz de Madrid, 
- Banque Ottomane Impériale, 
- des compagnies ferroviaires en Suisse, Russie, Autriche, Portugal, etc. 

La famille Bischoffsheim de Paris et Bruxelles possède : 

- la Société Générale, 
- la Banque des Pays Bas, 
- le Crédit foncier colonial, 
- la Société du Prince Impérial, 
- la Banque Franco-Egyptienne, 
- l’Union du Crédit (Bruxelles), 
- le Comptoir des prêts sur marchandises (Anvers), 
- l’Union du Crédit (Liège), 
- la Banque Nationale, etc. 

La famille Strauss de New York contrôle plusieurs banques et institutions financières, les magasins R.H. Macy, la poterie, la verroterie. (Source : Encyclopédie Juive). 

Seligman Brothers de New York, agent financier du Secrétariat d’Etat de la marine de guerre des Etats-Unis depuis 1876, ont été intéressés à tous les emprunts d’Etat américains. Ils dirigèrent le syndicat qui distribua les bons du canal de Panama en Amérique. 

En 1879, les Rothschild et Jesse Seligman absorbèrent à eux seuls l’emprunt de 150.000.000 $ du gouvernement américain. Ils ont géré dans une large mesure les finances de la guerre civile américaine, entre le Nord et le Sud. 

En 1877, le Juge Hilton refusa de recevoir Seligman et sa famille pour raison raciale, dans son hôtel Grand Union de Saratoga. On estime que cet incident causa la ruine du magasin A.T. Stewart, alors géré par Hilton, et qui par la suite devint la propriété de John Wanamaker de Philadelphie. (Source : Encyclopédie juive) 

Il en est ainsi pour tous les pays, qu’il s’agisse des Rothschild, fabuleusement riches, capables de détruire n’importe quel gouvernement anglais qui oserait les défier, ou qu’il s’agisse de richissimes banquiers internationaux tels que : Camondo - Fould - Montagu - Stern - Bleichroeder - Warschauer - Mendelssohn - Gunzbourg - Japhet - Lazard, etc. Auprès d’eux, les Ford, les Mellon, les Carnégie, sont des nains financiers. 

La presse juive ne nous parle que des financiers chrétiens, mais occulte avec le plus grand soin les noms et la puissance inouïe de ces maîtres-chanteurs internationaux. Leur puissance est hors de proportion avec la population juive et avec la production juive. 

La culbute de quelques petits Juifs, dans la catastrophe financière française de Panama, entre autres escroqueries fameuses, met en évidence la taille des plus grands requins : Les frères Insull (55 millions) Staviski (450 millions) Lévy (120 millions) 

Les Juifs sont donc les maîtres incontestés de la Haute finance mondiale. Cela leur permet d’affermir leur contrôle sur les prix des denrées, les organismes internationaux de toutes sortes, la propagande mondiale et les gouvernements. 

Il est immoral qu’une seule "race" (Le mot "secte" conviendrait mieux) détienne ainsi tant de puissance sur toutes les ethnies de la terre. 

Les temps sont révolus. De deux choses l’une : ou bien cette pieuvre colossale sera anéantie ou l’humanité disparaîtra avec la pieuvre. Elle se nourrit de tous les peuples au travail. Les contrôles locaux de la Juiverie (alcool, fourrures, viande, abattoirs, meubles, confection, restauration, or, nickel, papier, etc.) ne représentent qu’une infime partie de sa puissance. La plus grande puissance est celle que la masse ne voit pas, mais dont la triste efficacité éclate chaque jour sous nos yeux, comme les deux guerres mondiales dont la responsabilité leur incombe entièrement. (Traité de Versailles, négocié par les frères Warburg qui ont financé simultanément les belligérants et la révolution bolchevique, déclaration de guerre à Hitler en 1933 par la Juiverie américaine.)

Extrait de "Vérité et Synthèse", PDF gratuit ICI.

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BONUS


Dans son numéro du 1er juillet 1880, "Le Contemporain", une importante revue parisienne, publiait un long article sous le titre «Compte rendu de sir John Readcliff sur les événements politico-historiques survenus dans les dix dernières années». Il s’agissait d’un discours prononcé à Prague par le rabbin Reichhorn en 1869 sur la tombe du grand rabbin Siméon Ben Jéhouda. Ce document a été reproduit dans le livre "La Russie juive", de Calixte de Volsky, puis dans "The Britons" de Londres, puis dans "La Vieille France" (N° 214), et d’autres journaux. On apprit dans "La Vieille France" que Readcliff avait été tué peu avant la publication de ce document et que le Juif qui le lui avait procuré (un certain Lassalle) avait été tué en duel.


Tel fut le texte prononcé par le rabbin Reichorn :

«Tous les cent ans, nous les Sages d’Israël, avons coutume de nous réunir en Sanhédrin, afin d’examiner nos progrès vers la domination que nous a promise Jéhovah, et nos conquêtes sur la Chrétienté ennemie.

Cette année, réunis sur la tombe de notre vénéré Siméon Ben Jéhouda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapprochés du but et que ce but sera bientôt atteint. L’or a toujours été et sera toujours la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus utile pour ceux qui le possèdent et objet d’envie pour ceux qui ne le possèdent pas. Avec l’or on achète les consciences les plus rebelles, on fixe le taux de toutes les valeurs, le cours de tous les produits, on subvient aux emprunts des états qui sont ainsi à notre merci. Déjà les principales banques, les Bourses du monde entier, les créances sur tous les gouvernements sont entre nos mains. 

L’autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, la presse les fait admettre comme vérités. Le théâtre rend des services analogues. (le cinéma n’existait pas à cette époque et il deviendra leur monopole). 

Partout la presse et le théâtre obéissent à nos directives. Par l’éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les Chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous y sèmerons la discorde. Impuissants, ils subiront la loi de notre banque toujours unie, toujours dévouée à notre cause. Nous pousserons les Chrétiens aux guerres, en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se massacreront et déblayeront la place où nous pousserons les nôtres. La possession de la terre a toujours procuré l’influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale et de l’égalité nous morcellerons les grandes propriétés, nous en donnerons des fragments aux paysans qui les désirent de toutes leurs forces qui seront bientôt endettés par l’exploitation. Nos capitaux nous en rendrons maîtres. Nous serons à notre tour les grands propriétaires et la possession de la terre nous assurera la pouvoir.

Efforçons nous de remplacer dans la circulation l’Or par le papier-monnaie. Nos caisses absorberont l’or et nous réglerons la valeur du papier, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de feindre l’enthousiasme et de persuader les foules. Nous les répandrons parmi les peuples pour annoncer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l’Or, par la flatterie, nous gagnerons le prolétariat qui se chargera d’anéantir le capitalisme chrétien. Nous promettrons aux ouvriers des salaires qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous élèverons ensuite le prix des choses nécessaires à tel point que nos profits seront encore plus grands. Nous préparerons ainsi les révolutions que les Chrétiens feront eux-mêmes et nous en cueillerons tous les fruits. 

Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prêtres ridicules et odieux, et leur religion aussi ridicule et odieuse que leur clergé. Nous serons ainsi maîtres de leurs âmes. Car notre pieux attachement à notre religion à notre culte prouvera la supériorité de nos âmes.

Nous avons déjà placé nos hommes dans toutes les positions importantes. Efforçons-nous de fournir aux Goyim des avocats et des médecins. Les avocats sont au courant de tous les intérêts ; les médecins, une fois dans la maison, deviennent des confesseurs et des directeurs de conscience. 

Mais, avant tout, accaparons l’enseignement. Par-là, nous répandrons depuis l’enfance les idées qui nous sont utiles et nous pétrirons les cerveaux à notre gré. Si l’un des nôtres tombent par malheur dans les griffes de la justice des Chrétiens, courons à son aide. Trouvons autant de témoignages qu’il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons juges nous-mêmes. 

Les monarques de la Chrétienté, gonflés d’ambition et de vanité, s’entourent de luxe et d’armées nombreuses. Nous leur fournirons tout l’argent que réclame leur folie et nous les tiendrons en laisse. Gardons-nous d’empêcher le mariage de nos hommes avec des filles chrétiennes : car par elles nous pénétrons dans les cercles les plus fermés. Si nos filles épousent des Goyim, elles ne nous seront pas moins utiles car les enfants d’une mère juive sont à nous. Propageons l’idée de l’union libre pour détruire chez les femmes chrétiennes l’attachement aux principes et aux pratiques de leur religion.

Depuis des siècles, les fils d’Israël méprisés, persécutés, ont travaillé à se frayer un chemin vers la puissance : ils touchent au but. Ils contrôlent la vie économique des Chrétiens maudits ; leur influence est prépondérante sur la politique et les mœurs. A l’heure voulue, fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la Chrétienté, nous asservira définitivement les Chrétiens. 

Ainsi s’accomplira la promesse de Dieu faite à son peuple».

Note de Roger Dommergue : 

Les Juifs ne peuvent que nier l’authenticité de tels textes : cela ne sert à rien car ces simples lignes sont un compte rendu parfait de la politique du siècle telle que je l’ai observée et telle qu’elle s’est réalisée.