Roger Dommergue Polacco de Menasce, professeur français juif, philosophe, essayiste.
Cette chirurgie hormonale est une chirurgie de l’âme. Perturbant les 21 jours de la première puberté qui commence au 8ème jour, elle va leur constituer une mentalité spéculativo-parasitaire, incoercible. Nous aurons d’un côté les scientistes et les financiers hypophysaires et de l’autre les exécutants virtuoses et les acteurs, romanciers thyroïdiens. La génitale interne étant lésée, nous aurons une moralité de clan mais une carence en synthèse et en sens moral. Telle est la réalité incontournable qui exclut l’anti-juivisme.
Victimes d’eux-mêmes, hypnotisés par un rite à caractère religieux dont ils ne soupçonnent pas la malfaisance, ils sont tout entier incrustés dans la malédiction.
Roger Dommergue Polacco de Menasce est un professeur français juif, philosophe, essayiste. Il chercha à trouver l’origine de cette mentalité radicalement spécifique aux Juifs et jamais aux Goyim. Il ne trouva que la circoncision au 8ième jour.
Victimes d’eux-mêmes, hypnotisés par un rite à caractère religieux dont ils ne soupçonnent pas la malfaisance, ils sont tout entier incrustés dans la malédiction.
Les Juifs se considèrent donc différents des autres, et ils le sont. De ce fait il est fatal qu’ils soient toujours et aujourd’hui plus qu’hier, un corps étranger parmi les nations.
Ils pénétrèrent les nations comme des étrangers Ils formaient donc un peuple parmi les peuples conservant ses caractères grâce à la circoncision premier-pubertaire et à des rites stricts et précis, grâce également à des lois qui les tenaient à l’écart et les perpétuaient. Ils entrèrent dans les sociétés non pas comme des hôtes modestes mais comme des conquérants. Ils s’emparent alors du commerce et de la finance, mais pas de façon aussi radicale et absolue qu’en l’an 2000. Ils ont un esprit de supériorité et une avidité pour l’argent qui les pousse à l’usure source épi-centrique de l’anti-juivisme de tous les temps et de tous les lieux. On les accueille d’abord sans préjugés, on leur octroie même des traitements de faveur qui consolident leur position. Leur prestige dans la richesse acquise au détriment de ceux qui les accueillent provoque une profonde aversion, le peuple s’exprime alors en pogroms et en expulsion du pays d’accueil. Telle fut partout et sans exception le cheminement de l’histoire juive. Aujourd’hui la situation est infiniment pire car leur hégémonie étant totale, les peuples sont réduits à la misère et à la dégénérescence.
Baruch Lévy dans une lettre à Karl Marx écrivait : « dans une nouvelle organisation de l’humanité les fils d’Israël disséminés de par le monde deviendront partout sans rencontrer la moindre opposition, l’élément dirigeant surtout s’ils réussissent à imposer aux masses ouvrières la direction d’un Juif ».
Avec la victoire du prolétariat, les gouvernements de la République passeront aisément dans les mains juives. La propriété privée pourra facilement être supprimée par les dirigeants juifs qui administreront la richesse publique. Ainsi s’accompliront les promesses du Talmud selon laquelle les Juifs seront possesseurs des richesses de tous les peuples du monde. Le socialisme est donc une énorme mystification juive car il ne vise pas à l’élévation du prolétariat et à l’adoucissement des injustices sociales mais à la domination juive mondiale : c’est ce qu’on appelle en l’an 2000 le mondialisme. Deux paramètres d’apparence antinomique se complètent en fait : d’une part l’argent Juif et d’autre part le socialo-communisme Juif. Les Juifs ont été les fondateurs du capitalisme industriel et financier et collaborent de façon systématique à la centralisation extrême des capitaux qui facilitera leur socialisation. D’un autre côté ils sont les plus farouches adversaires du Capital. Il y a le Juif draineur d’or et le Juif révolutionnaire. Rothschild contre Marx, Marx contre Rothschild, géniale dialectique des frères ennemis qui produit les mouvements de l’histoire. A partir de la révolution juive et non française, ils sont devenus les maîtres de l’argent et par l’argent les maîtres du monde. L’essentiel des maîtres du Bolchevisme sont Juifs y compris Lénine, de mère juive : Trotsky, Sverdloff, Zinovef, Kameneff, Ouritski, Sokolnikoff etc. En Allemagne les dirigeants du spartakisme sont Juifs : Liebknecht, Rose Luxembourg, Kurth Eisner, Eugène Lévine. En France Léon Blum est Juif. En Espagne le maître absolu de Madrid dévastée par la guerre civile est Heinz Neumann, Juif allemand. Contrairement à ce que l’on pourrait croire la mentalité super-capitaliste et la mentalité socialiste ne s’opposent aucunement dans leur essence : ils se fondent tous les deux sur une conception économico-matérialiste du monde.
Il faut en effet distinguer le propriétaire de la terre ou de l’industrie et le financier qui vit de spéculation. La révolution a été fatale pour les premiers d’où la désintégration rapide de l’humanité, mais a fait la fortune colossale des seconds, fortune artificielle, gigantesque et nécrosante. Le socialisme n’est pas la finalité de la révolution mais un moyen de destruction qui favorise la finance juive internationale. Les Juifs ont une fortune différente de celle des Goyim. Ils ne craignent pas le communisme mais en tirent profit. Ils sont capitalistes modernes c’est-à-dire spéculateurs et trafiquants d’argent.
Le prototype est donc le banquier avec son coffre et son portefeuille. Pour le Judaïsme le moyen le plus sûr de parvenir à la domination du monde est le socialo-communisme qui, en enlevant la propriété aux Goyim et en la centralisant dans les mains du parti dirigé par les Juifs, réalisera le projet Talmudique de rendre le Juif roi et prêtre du monde. Les gouvernements passeront donc aux mains juives par le moyen de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle pourra être supprimée par des gouvernants Juifs qui administreront partout la fortune publique. Les ouvriers sont donc l’instrument qui sert les Juifs, potentiels maîtres du monde. La révolution socialiste ou communiste est la voie la plus courte et la plus sure pour la totale concentration des capitaux entre les mains juives : il s’agira d’un super capitalisme d’Etat.
La prophétie du Talmud sera alors réalisée :
« Tous les peuples de la terre seront enchaînés au trône d’Israël à la suite d’une guerre mondiale atroce où les trois quarts des populations seront décimés. Il faudra trois cents ânesses pour porter les clefs du trésor ».
Roger Dommergue, "J'ai mal de la terre".
Roger Dommergue, "J'ai mal de la terre".
Roger Dommergue Polacco de Menasce est un professeur français juif, philosophe, essayiste. Il chercha à trouver l’origine de cette mentalité radicalement spécifique aux Juifs et jamais aux Goyim. Il ne trouva que la circoncision au 8ième jour.
Roger Dommergue découvrit alors l’œuvre du Docteur Jean Gautier qui mit en évidence l’œuvre physiologique la plus importante du monde : l’antériorité fonctionnelle du système hormonale sur le système nerveux.
Il mit en évidence l’existence de la première puberté qui commence au 8ième jour et durera 21 jours. C’est ce jour-là que s’effectue la circoncision qui va perturber toute la première puberté. La blessure de la circoncision va déterminer une déperdition hormonale de la génitale interne, organe du sens moral, de l’altruisme, de la synthèse et celle-ci va être lésée au profit d’une sur-stimulation de l’hypophyse et de la thyroïde. D’où les possibilités fatales et déterministes de spéculations sans tenir le moindre compte de la synthèse humaine. Le résultat final sera le capitalisme, le marxisme, le nucléaire des Rothschild, Marx, Freud, Oppenheimer etc (« Le mensonge du Progrès, c’est Israël » disait la philosophe juive Simone Weil).