La treizième tribu d’Arthur Koestler
Arthur Koestler, écrivain juif bien connu, sentit vraiment toute la pression des Juifs en 1976 lorsqu’il publia ce qui allait devenir un bouquin sensationnel à propos des Khazars et des Juifs. Son livre, "The Thirteenth Tribe" (La treizième tribu), apparut en hébreu et en anglais ; or, même s’il fut mis sur la Liste des best-sellers du New York Times, les librairies juives le bannirent.
On peut comprendre pourquoi la nation juive eut peur de la recherche explosive de Koestler quand on lit le livre. C’est un survol détaillé de l’histoire khazare et Koestler y démontre comment cette histoire se raccorde avec celle des Juifs. Koestler écrit ceci :
« La grande majorité des Juifs survivants dans le monde est d’origine européenne de l’est — et donc sans doute principalement des Khazars. S’il en est ainsi, cela voudrait dire que leurs ancêtres ne vinrent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, considéré jadis comme le berceau de la race aryenne ; et que, génétiquement, ils sont plus étroitement reliés aux tribus des Huns, des Ulgurs et des Magyars qu’à la semence d’Abraham, Isaac et Jacob. Si cela s’avère le cas, alors le terme « antisémite » perd toute signification si l’on se fonde sur la mauvaise interprétation que partagent à la fois les tueurs et les victimes. L’histoire de l’Empire khazar, à mesure qu’il émerge du passé, commence à ressembler au canular le plus cruel que l’histoire ait jamais perpétré. »
Koestler était un Juif sioniste et il ne pensait pas que son livre bien documenté allait faire des dommages à la capacité des Juifs — qu’il savait être, par ses recherches, de descendance khazare turco-mongole — à continuer leur domination sur la nation d’Israël. Il était incorrect à cet égard. La science de l’ADN a validé l’œuvre de Koestler et maintenant la nation juive est nue devant le monde entier, monde qui voit de plus en plus la nation d’Israël comme une aberration de l’histoire, un exemple premier de peuple brutal manipulant l’opinion publique et utilisant la violence et les mensonges pour s’accaparer un territoire qui ne lui a jamais appartenu.
Les Khazars : les calottes, Magog et l’étoile à six pointes
Dans le livre de Koestler, nous découvrons que les Khazars furent des experts en gestion de monnaie et de finance. Nous voyons qu’ils unirent leur marque du judaïsme à leurs coutumes païennes. L’adoption de la calotte (yarmulke) par les Juifs vient des Khazars de Pologne, comme d’ailleurs l’utilisation par cette nation d’autres atours, particulièrement le chapeau en fourrure de renard, le shtreimel. La passion des Khazars pour les boulettes de poisson est également mentionnée.
Koestler explique que les Khazars se déclaraient descendants de Magog, et nous avons ainsi un lien avec les références à Gog et Magog dans la Bible.
D’autres sources parlent de l’adoption par les Khazars de l’étoile à six pointes en tant que leur écusson et symbole national.
Neturei Karta, groupe de Juifs opposé au sionisme, rapporta, dans son bulletin de nouvelles, l’utilisation par les Khazars de l’étoile à six pointes que les Juifs appelent faussement aujourd’hui « l’étoile juive de David ».
« Des gravures ressemblant à l’Étoile juive de David furent déterrées dans deux sites khazars, l’une le long de la rivière Donets dans l’est de l’Ukraine, et l’autre le long de la rivière Don dans le sud de la Russie. Celle-ci est un disque circulaire en métal que le professeur Bozena Werbart, de l’Université Umea, interpréta comme étant juive, mais d’autres le considèrent comme shamanique ou païen. La nature circulaire du disque pourrait représenter le soleil. Des érudits tendent à attribuer le disque au shamanisme tengri dû au fait qu’il y a des exemples connus de disques solaires khazars avec 5 ou 7 pointes plutôt qu’invariablement 6. Certains des tombeaux turco-juifs à Chelarevo, dans ce qui était d’habitude la Hongrie, contient des gravures d’Étoile qui appartiennent aux migrateurs khazars kabars. » [...]
Les Juifs viennent de la Khazarie
"The Thirteenth Tribe" d’Arthur Koestler est, en fait, l’histoire des Juifs avant qu’ils ne deviennent juifs — quand ils étaient des Khazars. Et il remarque que les preuves cumulatives disent que la contribution khazare au composé génétique de la juiverie mondiale d’aujourd’hui est substantielle, sinon dominante, assertion d’ailleurs corroborée par la science moderne de l’ADN :
« La ration numérique des Khazars à la contribution sémitique et autres est impossible à établir. Mais les preuves cumulatives nous inclinent à être d’accord avec le consensus des historiens polonais qui disent que « dans les débuts, la masse principale tira son origine du pays des Khazars, » et que, par conséquent, la contribution khazare au composé génétique des Juifs doit être substantielle et, selon toute probabilité, dominante. »
Le site DNA Consultants (Consultants en ADN), site spécialisé pour les professionnels et les recherchistes en ADN, firent récemment à Koestler le compliment ultime, quoique tardif, dans un article intitulé Khazarian Hypothesis or European Jewish Origins Vindicated (L’hypothèse khazare ou les origines juives européennes justifiées). L’article dit que les recherches génétiques définitives sur l’ADN du Dr Eran Elhaik de l’Université médicale Johns Hopkins montrent que la théorie de la « Treizième tribu » de Koestler est exacte. Puis, on poursuit en disant :
« Une nouvelle étude d’Eran Elhaik (Genome Biology and Evolution (La biologie du génome et l’évolution, vol. 5.1, pp. 61-74), confirme notre pensée avec des preuves rigoureuses qui semblent très probablement régler une fois pour toute cette question débattue avec rancœur…
« Selon le Science News (16 janvier 2013), la nouvelle étude dissipe les rapports contradictoires précédents à propos de l’ascendance juive. Les découvertes d’Elhaik supportent fortement l’Hypothèse khazare…
« C’est une version de l’histoire complètement différente, beaucoup plus proche du récit d’Arthur Koestler, une théorie pour laquelle il a été fustigé par ses frères juifs et spécialement les sionistes… »
D’après DNA Consultants et Science News, les découvertes d’Elhaik sont scientifiquement valides et fortement convaincantes à cause de sa méthodologie supérieure :
« La nouvelle étude n’était pas possible jusqu’à tout récemment quand de nombreuses brèches dans la génétique caucasienne et juive furent colmatées pour la première fois en employant des approches autosomiques plutôt que des vues d’ensemble d’haplo type relié au sexe. Le chef-d’œuvre d’Elhaik examine une série de données complète sur 1 287 individus sans lien de parenté, ce dans 8 populations juives et 74 non juives génotypiques sur un éventail d’un demi million de polymorphies nucléotides simples (PNS) ou marqueurs. Ces données furent adaptées d’une étude d’il y a trois ans de Doron Behar et ses collègues.
« Le rôle central de la Khazarie ne fut pas non plus voulu ou désiré chez les érudits eurocentristes qui avaient tendance à dénigrer les Ostjuden ou Juifs de l’Est. Peu d’historiens allèrent jusqu’à concéder le fait que la Khazarie fut un état juif ayant duré près d’un millénaire, où l’on y parlait hébreu, préférant penser qu’il s’agissait d’une sorte de fable de voyageurs ou d’un pays de fiction religieuse.
« Elhaik employa sept mesures d’ascendance, de parenté, de mélange, de distances partagées d’allèle, d’origines géographiques et de modèles de migration pour identifier les signatures ancestrales européennes et orientales près du Caucase dans le génome juif européen ainsi qu’un génome moyen-oriental plus petit mais substantiel. Les résultats dépeignirent de manière cohérente l’ascendance caucasienne (khazare) de tous les Juifs d’Europe. »
Donc, Koestler et les autres avaient raison. La vaste majorité des « Juifs » d’aujourd’hui viennent de l’émigration de la Khazarie vers l’Europe de l’Est. Ils ne sont pas la descendance d’Abraham. Il n’y eut pas de migration massive (le concept du « Juif errant » est une fraude) à partir de la Palestine à aucun moment. Les gens du Proche-Orient qui s’appellent maintenant Palestiniens, prétend Shlomo Sand, étaient originalement des Judéens (ou Juifs). Au fil des ans, ces Judéens furent assimilées par les populations locales et devinrent musulmans. Voilà pourquoi le Dr Ariella Oppenheim découvrit en 2001 qu’un si grand nombre de Palestiniens modernes ont au moins une petite portion d’ADN juif.
Flash ! Les Palestiniens ont plus de sang des anciens Israélites que ceux qui se disent aujourd’hui Juifs. Et certains ont le chromosome Y « Cohen » en plus !
Texe Marrs
Today, DNA science reveals that almost all the Jews in the world come from Khazaria. They are not of the blood lineage of Abraham and the prophets, but of King Bulan and the pagan peoples of the Caucasus. The ancestors of today's Jews are not Israelites but are Khazarians. Khazaria's people, in the 8th century, converted from paganism to Judaism. In the 10th century, these Khazarian "Jewish" converts emigrated to Eastern Europe, and especially Poland and Lithuania.
In 1948, the Khazars, erroneously believing themselves to be "Jews," arrived in the territory of Palestine and set up the state of Israel. The people of Israel today are virtually all of Khazar (Turk/Mongol stock) extraction. The "Jews" have no genetic claims to the land of Israel and no family connection whatsoever to historical Israel.
DNA science joins recent discoveries in history and archaeology to present the world with a correct and remarkable picture of the Jewish people. Now, everything changes!
Texe William Marrs (July 15, 1944 - November 23, 2019) was an American writer and radio host, who ran two fundamentalist Christian ministries, Power of Prophecy Ministries and Bible Home Church, both based in Austin, Texas.