lundi 18 novembre 2024

Les six points de l'étoile



La Palestine n’a jamais été la possession des Juifs.

Ils n’ont même jamais été les maîtres d’un pays à l’Ouest du Jourdain, ou sur la côte en bord de mer. Beaucoup de villes phéniciennes et d’autres cananéennes étaient imprenables par la stratégie juive. Les Juifs ont occupé des portions de pays seulement, et ils ont même dû les partager avec les Cananéens. Les sanctuaires de Palestine tels que Bethel, Beer-sheba, Gezer, Gibéon, Gilgal, Hébron, Jérusalem, Sichem, etc., n’étaient pas des lieux saints juifs, mais d’anciens sanctuaires des Cananéens « adoptés » comme tels par les Juifs qui, dans la plupart des cas, ont « adopté » également le « héros » du lieu.

Parmi les « héros » ainsi « adoptés » par les Juifs, il y eut : Terah, le dieu-cerf ; Ram, le dieu de l’obscurité ; Abraham, le procréateur ou le père des sommets sombres, associé au dieu lune Ur ; Sara, la déesse des nuages du Caucase, qui était de même associée à la lune ; Esaü le dieu chèvre ; Jacob, qui ressemble au dieu Hermès du pilier de Béthel ; Laban, le blanc, seigneur des briques et des fondations, associé au dieu lune d’Haran ; Joseph, le dieu de la divination et de l’interprétation des anciens Cananéens ; Nun, le dieu-poisson du Nord de la Palestine ; Dan, le dieu de l’étoile polaire qui juge, de l’Arabie du Sud, dont la forme féminine était Dinah ; Gad, une forme de dieu taureau ; Israël, le « Saturne » phénicien auquel on sacrifiait des enfants ; Lot, le dieu encensoir de la dissimulation et du voile ; Moab, le dieu de la pluie, père des eaux ; Ashur, le dieu archer des Assyriens ; Saul, le dieu du soleil Babylonien, qui vint en Palestine, la terre des fils de l’âne, pour trouver le père des ânes ; Rammah, le dieu de l’orage ; et beaucoup d’autres tels que Ismaël, Isaac, Leah, Rebecca, Deborah, et Sanson, aussi bien que des « héros » composites tels que Moïse, David, Bethsabée (la fille du dieu lune), et Salomon, en plus des « héros » fragmentaires tels que Esther, Mardochée, Raphaël et Asmodée, etc...

Ayant « adopté » ce qu’ils ne comprenaient pas, les Juifs s’embrouillèrent, non seulement en ce qui concerne les « héros », mais aussi dans le cadre de leurs coutumes, de leurs histoires, de leurs croyances et de leurs sites. Ainsi, les Juifs ne connaissent pas le vrai site du Mont Sion, et ne sont apparemment pas capables de l’identifier.

Le Sinaï n’est pas la montagne de Jéhovah, mais son nom vient du dieu lune babylonien Sin « Seigneur de la Loi », et surtout « Seigneur des Hôtes », dont le territoire est également le désert des régions sauvages de Sin, et dont le culte remonte au moins à 4200 ans avant J.C.

Jéricho n’est pas la ville des odeurs merveilleuses et des palmiers, mais c’est la ville de la lune jaune ; et le Jourdain la rivière de la lune jaune.

D’autre part, même si plus tard ses femmes portaient des « croissants », Jérusalem n’est pas une « cité de la lune », elle n’est pas assez ancienne ; elle n’est pas non plus, tel qu’on le prétend, la demeure de la paix ; elle est, comme son nom l’implique, la cité de « Uru », le dieu des fléaux, le dieu de la guerre et « Salem », le dieu du soleil (dans son rôle malveillant et destructeur de dieu de la mort et Seigneur de l’Enfer).

Abdul Shipa, qui était gouverneur de Jérusalem en 1430 avant J.C environ, déclare dans une lettre à son chef suprême Aménophis IV d’Egypte, que Jérusalem ou « Urusalem » est la ville de Beth Ninip et d’Uras, le dieu de la guerre, dont le nom dans cette région était Salem.

Uru était un démon de la maladie et dieu de la peste, avant qu’il ne devienne un dieu de la guerre, et Salem ou Shalem, fut identifié à Set, Israël, Saturne, Adar, Dionysos, etc...

Ainsi que l’on peut le constater par les nombreuses grottes et cavernes trouvées aux alentours, il y avait par le passé dans la région où se trouve à présent Jérusalem, un temple de Ninip, le dieu de la création Babylonien, qui déclencha le déluge.

Pour Ninip, le cochon était sacré et par conséquent tabou pour ses adorateurs. Ninip, comme Dionysos, était un seigneur du monde souterrain et des «esprits de la terre», avant de devenir un dieu du soleil, et le rocher Sakhra (Sakhra était la mère du dieu du soleil), avec la caverne ou le « puits des esprits » qui se trouve au-dessous de lui, est pour les Juifs la partie la plus sacrée de Jérusalem. Ils disent ici est « la Maison du Seigneur Dieu », ils prétendent qu’ici se trouvait le temple Saint des Saints supposé avoir été construit par Salomon, et qu’ici « la peste fut contenue » !

Les cochons entrèrent dans les rites et les mythes d’Adonis, d’Attis, de Tammuz, de Set, de Sémélé, de Déméter, de Rimmon, de Dionysos, etc., ainsi que ceux de Ninip, et se déroulèrent souvent dans les cavernes sous la forme de sacrifices. Dans la caverne de Gezer, qui n'est pas loin de Jérusalem, de nombreux os de cochon ont été trouvés.

Au temps des Egyptiens, les cochons étaient sacrifiés seulement à Bacchus et au dieu de la lune.

Le lièvre, qui est tabou pour les Juifs et les Hottentots, est associé à la fois au dieu de la lune et au dieu des fléaux, et de même la souris, que les Juifs mangeaient, tout comme la chair du porc, de manière sacrificielle (Isaïe 66-17).

Les Juifs prétendent que Jérusalem date du temps de David, mais il reste à prouver qu’il y ait jamais eu un roi Juif nommé David. Il n’y a pas une seule relique de David ou de Salomon à Jérusalem, ni de trace du temple que l’on prétend être celui de Salomon, le dieu poisson sage des Assyriens, construit là, sur le « rocher du soleil ».

Les soi-disant « Ecuries du Roi Salomon » sont des fondations voûtées en maçonnerie romaine et l’église de Ste Marie construite par Justinien en 529 après J.C environ.

Jérusalem n’a pas été construite par les Juifs; la ville et son nom Urusalem étaient en usage depuis longtemps avant que les Juifs ne les « adoptent ».

Sargon d’Akkad incorpora la Palestine dans son Empire en 2800 avant J.C environ, et depuis le 23ème siècle avant J.C jusqu’au 15ème, la Palestine était sous la suzeraineté babylonienne. Elle payait un tribut à Babylone en 1780 avant J.C environ. Ainsi, de 2200 jusqu’après 1400 avant J.C, la Palestine demeura sous l’influence de la culture babylonienne et de la littérature babylonienne.

Du 15ème siècle avant J.C. jusqu’au 10ème, la Palestine fut une province d’Egypte. Et après le 10ème siècle avant J.C, la Palestine fut un vassal de l’Assyrie jusqu’en 608 avant J.C.

Les archers Egyptiens étaient stationnés à Jérusalem pendant le règne d’Aménophis III et des dépêches des gouverneurs de Jérusalem à leur suzerain Aménophis IV, datant de 1430 avant J.C environ, ont été trouvées.

La gouvernance de Ramsès II se prolongeait sur plus de 160.90 km au-delà de Jérusalem. Et Ramsès III rapporte qu’en 1275 avant J.C, il poursuivit ses ennemis aussi loin qu’Alep et Karkemish. Il ne mentionne aucun peuple s’apparentant aux Juifs, on attend toujours que ces derniers expliquent quand et où exactement leur supposé exode a eu lieu.

En 925 avant J.C, Shashanq I d’Egypte marcha sur la Palestine et mis à sac Jérusalem.

Pendant ce temps, l’Assyrie était devenue une grande puissance, et en 877 avant J.C, Assurnazirpal qui avait fait de son nom une terreur, chassait les lions et autres animaux au Liban. En 842 avant J.C, son fils Shalmaneser II reçut un tribut de la Palestine, qui avait été par deux fois envahie par ses troupes.

En 795 avant J.C, Adad-nirari III ravagea la Palestine et imposa des taxes et impôts à son peuple.

Si l’on en croit les propres histoires des Juifs, le présumé royaume de David pris fin immédiatement après la mort de son fils Salomon (en dépit de la promesse faite par leur dieu Jéhovah qu’il continuerait toujours) et le peuple Juif s’est divisé en deux factions.

Bien entendu, il n’y a jamais eu, vraiment à aucun moment, « douze tribus » de Juifs. La phrase « les douze tribus d’Israël » a la même signification que la phrase « les douze travaux d’Hercule ». Les seules subdivisions des Juifs dont on a retrouvé la trace avec certitude, est le groupe appelé « les fils de l’âne jack » (Hamor), et un clan « post-exilique » Bene Parosh, « les fils de la puce ».

Néanmoins, si l’on en croit les propres histoires des Juifs, il y avait « douze tribus d’Israël », et après la mort de leur roi Salomon, celles-ci se divisèrent en deux factions ; une plus grande, portant le nom d’« Israël », se composait nous dit-on, de « dix tribus » qui occupaient le pays aux environs de Sichem et idolâtraient un veau d’or à Dan et à Béthel ; et une plus petite connue sous le nom de « Judah » qui, nous dit-on, se composait de « deux tribus » qui occupaient le pays aux alentours de Jérusalem, où ils idolâtraient un serpent de cuivre.

Ces factions, bien que chacune soit distraite par ses dissensions internes, se querellaient et se disputaient continuellement entre elles et avec leurs voisins, si bien que Tiglathpileser III jugea nécessaire de traiter avec les deux. En 738 avant J.C, il imposa un tribut à la faction la plus grande, et en 732 avant J.C, il reçut hommage et tribut de la plus petite.

Etant profondément peu fiables et indignes de confiance, ces peuples généraient perpétuellement des problèmes et en 726 avant J.C, Shalmaneser IV dut à nouveau prendre des mesures punitives contre le groupe le plus grand. Les Juifs évitèrent la sanction en offrant de l’argent et des promesses équitables, mais il devint évident qu’ils manigançaient tout le temps avec ses ennemis. Et Shalmaneser IV envahit à nouveau le pays, et emmena le « roi » en captivité. Ses troupes restèrent en Palestine jusqu’en 721 avant J.C., son successeur Sargon II emporta à la fois les veaux d’or et les « dix tribus », et tous ensemble disparurent des pages de l’histoire.

Bien qu’on n’entendit plus parler des « dix tribus » nommées les « Israélites » (puisqu’elles furent réparties parmi d’autres peuples et entièrement assimilées), les « deux tribus » nommées « Juifs » continuèrent de causer des problèmes à leurs suzerains Assyriens. Aucune promesse ni serment ne les liait, et en 712 avant J.C., ils manigançaient à nouveau avec les ennemis de l’Assyrie. L’année suivante, Sargon II envahit leur territoire et infligea une lourde condamnation. En 700 avant J.C. environ, précisément pour des raisons similaires, son fils Sennacherib ravagea la Palestine et exigea un lourd tribut.

En 675 avant J.C. cependant, les Juifs semblent avoir oublié cette douloureuse expérience, et Esarhaddon trouva nécessaire d’envahir le pays à nouveau. [...]

Les « contes merveilleux » du Juif rebelle Flavius Josèphe, qui vécut à l’aise au milieu des Romains et écrivait en grec, ne sont pas dignes de confiance. Il semble cependant qu’en 350 avant J.C. environ, les Juifs ont tellement rendu leurs maîtres Perses furieux, que ces derniers pillèrent une partie de la Palestine et emmenèrent de nombreux Juifs en captivité.

En 332 avant J.C., les Juifs se soumirent aux règles grecques. Et en 320 avant J.C., Ptolémée prit Jérusalem et emmena un certain nombre de Juifs en Égypte,. La Palestine resta sous la domination des Ptolémées pendant presque un siècle. Mais en 246 avant J.C., le pays retourna à son état habituel d’anarchie et de désordre.

En 198 avant J.C., les Juifs se soumirent à Antiochos III, mais en raison surtout des jalousies des prêtres Juifs et de leurs propres conflits religieux, l’état de la Palestine ne s’améliora pas. De 175 avant J.C., Jérusalem semble avoir souffert de l’avidité et de la brutalité de deux Juifs qui avaient adopté les noms grecs de Jason et Ménélas, et firent de la ville un sujet de discorde, jusqu’à ce qu’elle soit mise à sac par Antiochos IV en 169 avant J.C.

En 168 avant J.C., Antiochos IV essaya d’établir une religion uniforme dans son domaine, mais les Romains lui étaient hostiles et ils mirent tout en œuvre pour gêner la Syrie. Ceci permit aux Juifs de se révolter en 167 avant J.C. Avec le rôle joué par Rome contre elle, et préoccupée par d’autres troubles, la Syrie fut incapable de traiter efficacement l’insurrection juive, qui se poursuivit avec des succès variables jusque vers 146 avant J.C.

Les Juifs, cependant, se révélèrent incapables de se gouverner eux-mêmes, et les jalousies, dissensions, brigandage et la guerre civile, amenèrent rapidement un tel désordre en Palestine, que les Romains furent obligés de s’en mêler. En 63 avant J.C., Pompée prit d’assaut Jérusalem et plaça les Juifs sous tribut de Rome. [...]

(...) en 65 après J.C, les Juifs se rebellèrent encore, et ayant envahi les régions rurales protégées de la Palestine, ils dirigèrent leurs efforts contre la petite garnison romaine. Les Romains étaient en si petit nombre qu’ils consentirent à se rendre, à la condition qu’on leur permit de se retirer de Palestine. Les Juifs acceptèrent les conditions et ratifièrent leur accord par un serment solennel, mais dès que les Romains déposèrent leurs armes, ils furent bassement massacrés par les Juifs. Selon les propres histoires des Juifs, les Romains moururent sans demander grâce, mais en raillant les serments sacrés des Juifs, alors que, est-il dit, ajoutant de l’âcreté à leurs remarques, le massacre se déroulait pendant le Shabbat juif.

Les Juifs disaient que la Palestine devait être débarrassée des non Juifs, et partout où ils étaient plus nombreux que les Gentils, ils perpétraient des massacres ignobles ; en conséquence, de 66 à 69 après J.C environ, un état d’anarchie et d’effusions de sang, extraordinaire même pour la Palestine, s’imposa. En 70 après J.C, Titus brûla Jérusalem et la rasa.

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Les six points de l'étoile

Le symbole que les Juifs ont « adopté », consiste en deux triangles entrelacés. Et bien qu’il soit appelé « Sceau de Salomon » et « Bouclier de David », il n’est pas juif. Comme symbole, il précède les Juifs de milliers d’années. « Adopté » par les Juifs, le symbole est composé de deux triangles entrelacés, un blanc et l’autre noir. Dans les plus anciennes représentations, une femmes est représentée dans le triangle noir inversé, et un homme dans le triangle blanc. Mais de nos jours, le personnage d’une « personne non initiée » présenté comme un bouffon, est représenté dans le triangle noir inversé, tandis qu’au sommet du triangle blanc, le personnage dépeint est « un adepte » représenté comme un homme sage. Et le tout est souvent entouré d’un serpent avec la queue dans la bouche.


Le symbole signifie un grand nombre d’idées, qu’il est inutile d’énumérer ici. De même qu’il n’est pas nécessaire d’examiner le symbole associé de l’« étoile à cinq branches » qui signifie, entre autres idées, « sous contrôle » - bien que les plus studieux soient tentés de retrouver la trace d’une connexion entre « l’instrument éclairé », « l’étoile rouge » qui orne l’« Armée rouge » de Russie, et l’« étoile » de Saturne ou d’Israël.

Les Juifs aiment imaginer qu’ils sont le « masculin » et tous les autres peuples le « féminin ». Et ils aiment à croire qu’ils se sont tellement insinués et enchevêtrés dans les affaires des Gentils, qu’ils ne peuvent pas être délogés.

Le sens secret du symbole est le suivant : 

Le « non initié » crée dieu comme une image amplifiée de lui-même projetée sur un arrière-plan d’ignorance, représenté par le triangle noir, au-dessous duquel il se recroqueville dans la terreur de sa monstrueuse conception. L’« adepte » crée dieu également, en ne projetant cependant pas sa ressemblance sur l’inconnu, mais en concevant son pouvoir et sa connaissance comme un symbole représenté par le triangle blanc par-dessus lequel il est posé, parce que l’intelligence est au-dessus de ce qu’elle crée. L’initié est par conséquent « dieu » pour le profane, l’«adepte» est la véritable déité finie qui se trouve sur la Terre, pour l’hypothétique « dieu » qu’il a créé ; et il a le pouvoir absolu sur toute conception particulière de divinité qu’il a formée, et qui peut à tout moment recevoir la vénération de la population.

« Jéhovah est celui qui dépasse la nature » disent les magiciens. « Les décisions du Talmud sont les mots du Dieu vivant. Jéhovah lui-même demande l’opinion des rabbins terrestres quand il y a des affaires difficiles au ciel ». « Jéhovah lui-même dans le ciel, étudie le Talmud de longue date, il a tant de respect pour ce livre » disent les rabbins.

Ainsi, enfin, Jéhovah est devenu le dieu créateur d’« adeptes » qui a « le pouvoir d’un esprit complètement émancipé sur les esclaves de la superstition et de l’ignorance » ! Et de cette façon, très souvent, quand les Juifs d’aujourd’hui parlent de Dieu », ils veulent dire « le peuple juif », les « adeptes » de leurs sociétés secrètes, ou « le dieu de l’Humanité », « le Juif de la Cabale », etc…

Ainsi donc, un « Néo-Messianiste » nommé Baruch Levy, écrivit à Karl Marx (un Juif dont le véritable nom est Mordecai) ce qui suit : « Le peuple Juif, pris collectivement, sera son propre Messie. Son règne sur l’Univers sera obtenu par l’unification des autres races humaines, la suppression des frontières, et l’établissement d’une « République Universelle ». Dans cette nouvelle organisation, de l’Humanité, les fils d’Israël deviendront sans opposition l’élément dirigeant partout ; par-dessus tout, ils réussiront en imposant aux masses travailleuses, le contrôle stable de certains d’entre eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront tous, sans efforts, aux mains des Israélites, en faveur de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle sera ensuite supprimée par les gouverneurs de la race juive qui administrera en tous lieux la richesse publique. Ainsi sera réalisée la promesse du Talmud qui, quand les Temps du Messie seront venus, les Juifs détiendront les propriétés de tous les peuples du monde ».

C’est la fin vers laquelle les activités de tous ceux qui participent au Masque, que ce soit les Juifs ou leurs dupes qui dirigent. Et dans nos temps modernes, les « six points » de l’étoile formée par les triangles entrelacés, ont été créés pour symboliser, entre autres idées, les moyens principaux par lesquels cette fin sera atteinte.

Ces « six points » peuvent être décrits comme suit :

Le premier… Religieux :

Pour saper et discréditer tous les Gentils, et spécialement les croyances des Chrétiens ; et d’introduire, d’encourager et de propager des cultes fous, du mysticisme malsain, de la pseudo-science, et des philosophes imposteurs.

Le deuxième… Ethique :

Pour introduire et propager des codes dégradants et des pratiques (incluant « le commerce illicite de la drogue », « le commerce illicite de l’alcool » et « le trafic des esclaves blancs ») ; pour corrompre les mœurs, affaiblir le lien matrimonial, détruire la vie de famille, et abolir l’héritage (et même les noms héréditaires) parmi tous les peuples, spécialement au sein des races nordiques.

Le troisième… Esthétique :

Pour introduire et favoriser le culte du laid et de l’aberrant, et tout ce qui peut être décadent, dégradant et dégénéré dans l’art, la littérature, la musique et le théâtre, etc.

Le quatrième… Sociologique :

Pour briser les grands états et abolir l’aristocratie ; pour mettre sur pied la ploutocratie et une « monnaie standard » ; pour encourager l’affichage vulgaire, l’extravagance et la corruption, pour provoquer la jalousie du prolétariat, le mécontentement, les incendies volontaires, le « sabotage » et fomenter la « lutte des classes ».

Le cinquième … Industriel et Financier :

Pour provoquer le « chômage » et vouloir faire baisser les idéaux du savoir-faire et abolir la fierté du travail artisanal, pour encourager l’avidité du « profit » et la standardisation du bon marché et de la mauvaise qualité ; pour entraîner la « Centralisation » et la formation de Trusts et de Cartels ; pour abolir la propriété individuelle et établir des « Monopoles d’État », des « Banques de Réserve » et une « Banque Mondiale », avec le contrôle de l’or dans les mains de dirigeants internationaux.

Le sixième… Politique :

Pour sécuriser le contrôle de la presse, l’audiovisuel, le cinéma, le théâtre et tous les moyens de la publicité ; pour garantir la présence d’« agents » sur tous les Conseils, Commissions, etc., des Gentils, et aux postes confidentiels (tels que « secrétaire particulier » des personnes haut placées, pour maintenir une activité d’espionnage sur les activités des Gentils ; pour déclencher et maintenir les dissensions dans toutes les institutions des Gentils, et ainsi briser tous les autres groupes politiques dans leur parties constituantes, en installant entre elles de l’hostilité ; pour décourager, dénoncer et extirper le patriotisme, la fierté et la race ; et au nom du « Progrès » et de l’« Evolution », et sous le prétexte de promouvoir la « Paix Universelle » et « la « Fraternité Humaine », pour établir l’« Internationalisme » comme un idéal, sapant ainsi l’unité nationale et affaiblissant le gouvernement ; pour le « Désarmement » et des « Forces de Police Internationales » contrôlées par la « Ligue des Nations » préparant ainsi le chemin pour ceux qui, discrètement, augmenteront le contrôle de la « Ligue des Nations » et de la « Banque Internationale » qui gouverneront le monde à travers elles.

Les Dirigeants Internationaux cependant, n’agissent jamais ouvertement et directement ; ils restent toujours dans l’ombre et travaillent en secret et indirectement ; en exerçant des pressions en tous points, mais en cachant soigneusement sa provenance « aucun Gentil ne doit être autorisé à découvrir sa source ».

"Le grand masque juif ou l'âne dans la peau du lion". Traduction du livre d'un auteur érudit inconnu. Titre anglais original : "The great jewish masque or the ass in the lion's skin".


Version papier (E. Dasko) :



Un texte de cette ampleur, rédigé par un érudit anonyme, se devait d'être tôt ou tard édité en français : on y découvre l'histoire vraie des juifs - ce mot écrit sans majuscule ne désignant ici que des religieux pratiquants et non des habitants de tel ou tel pays, notamment du fait de la diaspora d'iceux -, leurs pérégrinations, des origines à nos jours (ou presque - ce texte ayant été, semble-t-il, rédigé vers les années 1940-45 par un ressortissant britannique, probable fonctionnaire en poste en Palestine), leurs mœurs entre eux et à l'égard des non-juifs...

On y découvre la naissance de ce qu'il appelle le Masque, c'est-à-dire la grande et universelle mascarade jouée dans le monde entier par les guides monopolisateurs des juifs : les rabbins, c'est-à-dire, historiquement et sociologiquement parlant, les successeurs et animateurs roués de la secte des Pharisiens, secte à la source - d'une part - de tous les maux de ces malheureux Juifs (et donc pas seulement des religieux), et - d'autre part - ceux qui assassinèrent Jésus, le Christ (l'oint), roi des juifs (comme en témoigne la pancarte placée au sommet de la croix de son supplice, INRI = Iesus Nazarorum, Rex Iudeorum ; Jésus de Nazareth, Roi des Juifs) et grand-prêtre qui, revenu du dernier exil des Jérusalémites en Babylonie, et plus précisément en Adiabène, dans l'actuelle Arménie, revint demander son héritage et pour cela - étant plus légitime que les rabbins usurpateurs - fut à la fois humilié, haï, diffamé, torturé puis tué et diabolisé jusque dans la personne de leurs désormais adversaires, les chrétiens, puis des personnes sur lesquelles son influence généreuse, sociale, philosophique, morale et culturelle s'est étendue : le monde entier ! 

Mais ce n'est pas tout : on apprend, grâce à ce bref écrit, que tout ce qui semble inexplicable dans la vie du monde en matière de troubles est écrit dans le livre qui tient lieu de guide aux rabbins héritiers de la secte de Pharisiens, à laquelle s'attaqua Jésus : le Talmud. Or celui-ci n'est toujours pas accessible aux goïm que sont les non-juifs (bétail, animaux), seuls deux exemplaires traduits en anglais étant - très difficilement - accessibles...