mercredi 13 novembre 2024

Sangue Cristiano Nei Riti Ebraici Della Moderna Sinagoga




Extrait de l'introduction d'une version PDF du livre "Sangue Cristiano Nei Riti Ebraici Della Moderna Sinagoga" :

"Celui qui fait couler le sang des non-juifs offre un sacrifice agréable à Dieu." (Le Talmud) 

Dans son "Dictionnaire philosophique", VOLTAIRE, qui ne peut être soupçonné d’hitlérisme s’adressant aux juifs, déclare : 

"Je vous dis que vos pères ont immolé leurs enfants et j’appelle en témoignage vos prophètes. Isaïe leur reproche ce crime de cannibales." 

Le philosophe fait allusion à ce passage du Livre de la Sagesse (ch. 12), où le Prophète, maudissant les forfaits des Hébreux, s’écrie : 

"V. 5. — Tuant sans pitié leurs propres enfants, mangeant des entrailles d’hommes et dévorant leur sang, initiés qu’ils étaient à d’exécrables mystères." [...]


Voici en quels termes l’auteur de la "DISSERTAZIONE APOLOGETICA(Mémoire apologétique : sur le martyre du bienheureux Simon de Trente) rapporte le sacrifice impie de la Pâque juive : 

« Le sang chrétien était mêlé au vin et servait à pétrir le pain pascal, qui, par l’addition de cet ingrédient, devenait le vrai pain de bénédiction. Le père de famille en mettait plus ou moins dans la pâte: la quantité d’un grain de lentille suffisait. Si ceux qui pétrissaient étaient juifs, la mixtion se faisait en leur présence; sinon, elle avait lieu à leur insu. Le sang chrétien servait aussi à une cérémonie qui précédait la cène pascale. »

Il n’entre pas dans nos vues, aujourd’hui, de traiter à fond la question du meurtre rituel juif. Ceux que la question pourrait intéresser n’auront qu’à se reporter à l’ouvrage de M. Albert MONNIOT : "LE CRIME RITUEL CHEZ LES JUIFS". Nous voulons simplement faire ressortir, avec documents à l’appui, que le crime rituel, répudié avec horreur de nos jours par la majorité des Juifs dits «assimilés », constitue une très vieille pratique, dont les origines se perdent dans la nuit des temps et qui fit, parmi les non-juifs, de trop nombreuses victimes. 

Pour se défendre contre l’accusation de meurtre rituel, les Juifs invoquent à leur décharge le témoignage de certains papes, tels Innocent IV, Grégoire X et Paul III qui, pour éviter un massacre général des Juifs, crurent prudent d’affirmer que ce crime était une légende. Mais Israël se garde bien, par contre, de parler de Benoît XIV qui, dans sa bulle célèbre « Beatus Andreas », mettait en garde la Chrétienté tout entière contre les instincts sanguinaires des Israélites. 

Cette pièce, que les Juifs n’ont pu contester, met les choses au point. Elle ne fait que confirmer ce que les poètes font dire à la « douce Esther », l’héroïne juive, fêtée lors du Pourim : 

"Prêtresse de vengeance, impitoyable et forte, J’ai soudain soif de sang et de meurtre."

"Il faut une vengeance ouvrant ses ailes grandes, Planant sur chaque toit, frappant à chaque seuil, Digne de ta grandeur, digne de ton orgueil, Et de tout le passé dont je suis héritière." 

Voici d’ailleurs, d’après le Livre d’Esther, ce qu’est cette fête du Pourim, cette fête du sang : 

« Et puis les Juifs furent maîtres de ceux qui les haïssaient. Et nul ne put tenir devant eux parce que la frayeur qu’on avait d’eux avait saisi tous les peuples. 

« Les Juifs donc tuèrent tous leurs ennemis à coups d’épée et en firent un grand carnage, de sorte qu’ils disposèrent à leur gré de ceux qui les haïssaient. 

« Et ils ordonnèrent que la mémoire de ces jours serait célébrée et solennisée dans chaque âge, famille, province, ville et que la mémoire de ces jours ne s’effacerait point de leur postérité. »

[...]

Le meurtre de Simon de Trente

« Israël, fils de Samuel, ayant été interrogé aux fins de connaître la vérité, répond : que dans la semaine de la Pâque juive se trouvant avec Moïse, Samuel, Ange, Tobby et Mohar à la synagogue, et une fois les offices terminés, il fut dit entre eux qu’il n’y avait pas moyen de faire les azymes qu’ils mangent le jour de leur fête... et ceci parce que nul d’entre eux n’avait de sang provenant d’un enfant chrétien... et ainsi il fut décidé de donner cent ducats à quiconque livrerait un enfant chrétien de qui l’on pourrait extraire le sang ainsi que cela a été expliqué ci-dessus... »

Ainsi s’expriment les actes du procès (1) qui eut lieu à Trente à la suite du meurtre du Bienheureux Simon qui fut tué par les Juifs le 24 mars 1475 dans sa troisième année.


(Durée : 10 minutes)


1) Les pièces originales de ce procès sont déposées aux archives du Vatican.