mardi 1 octobre 2024

Comment Israël a gagné la première partie de la guerre au Liban



"Netanyahu a fait bombarder le Liban depuis le siège de l’ONU. Il s’est fait photographier en train d’ordonner des crimes contre l’humanité depuis le siège d’une institution fondée pour « la paix et la sécurité internationale » en réponse à la seconde guerre mondiale. Ça dit tout." Gintoki Sama.




Comment Israël a gagné la première partie de la guerre au Liban


Paul-Éric Blanrue :

Il faut avoir l'honnêteté de reconnaître qu'Israël a largement gagné la première partie de la guerre au Liban.

Voici comment les choses se sont passées :

1) Avant de s'envoler pour l'ONU, Netanyahou a laissé accroire à un possible cessez-le-feu avec le Liban, si l'Iran n'attaquait pas Israël.

2) Au même moment, les États-Unis et la France ont tenté de négocier avec l'Iran afin qu'il ne riposte pas contre Israël, proposant un cessez-le-feu temporaire.

3) L'Iran a annoncé à Nasrallah qu'un cessez-le-feu était en cours et qu'il était par conséquent en sécurité.

4) Dans le QG du Hezbollah à Beyrouth, Nasrallah, ne se sentant pas en danger, s'est rendu à une grande réunion avec les commandants de l'organisation, y compris des hauts gradés Iraniens (ce qui démontre que l'Iran était en confiance), discutant probablement de l'accord de cessez-le-feu.

5) Sur ces entrefaites, arrivé à l'ONU, Netanyahou change d'avis et donne l'ordre de frapper la réunion du Hezbollah avec 80 bombes américaines anti-bunker, tuant tous les participants.

Remarque : il est surprenant que la résistance à Israël ait cru aux promesses d'Israël et de l'Occident. Une telle naïveté étonne. Il est à espérer pour la suite qu'elle ait compris sa grossière erreur.

Un livre de Paul-Eric Blanrue :


UN MENSONGE PAR JOUR !

Soyons francs : quelles que soient les croyances et les idées qui les guident, les auteurs ayant apporté leur tribut à la rédaction de cet Almanach luttent tous, sans exception, contre l’antisémitisme.

Désireux de mener à bien cette tâche difficile, ils ont choisi d’y contribuer avec sérieux, en désignant, après mûre réflexion, celui qu’ils considèrent être l’un des principaux agents – sinon le principal – de la haine antijuive : l’État d’Israël ! C’est lui, le coupable. C’est lui, l’anti-héros de ce livre. Dans cet Almanach, ils ont ainsi retenu 366 mensonges, parmi tous ceux qu’il profère, lui, ses vassaux, ses réseaux, ses rameaux, ses suppôts, modeste échantillon de tous ceux qu’un historien ou un journaliste peut relever dans le vaste panorama d’impostures et de tromperies s’étendant sur le monde de Theodor Herzl à Benjamin Netayanhou. 

366 mensonges, soit un mensonge par jour ! De quoi s’éduquer pas à pas, s’enrichir calmement mais sûrement, laisser les renseignements infuser son esprit, un peu, chaque jour, afin de ne pas laisser son cerveau retomber dans le formol qui s’écoule au quotidien de la fontaine médiatique, où l’information qui en chasse une autre finit, automatiquement, par chasser la véritable connaissance.

Paul-Éric Blanrue