Selon des rabbins de l'école Bnei David à Eli en Cisjordanie, qui forment les soldats de l'armée criminelle sioniste :
"Le peuple juif est une race supérieure. Oui, nous sommes racistes. Hitler avait raison dans chacun de ses mots, il s'est juste trompé sur la race supérieure."
Debunker News
Les traditions biblique et talmudique ont manifestement influencé les conceptions sionistes en ce qui concerne le rôle "messianique" du peuple juif, l'opposition et la différenciation de ce peuple par rapport aux autres, la manière de considérer la communauté juive comme une communauté socialement homogène sans aucune contradiction de classe, la propagation de la légende biblique du retour des Juifs en Palestine, etc. ... Les éléments judaïques sont, cependant accrus et enrichis par les conceptions bourgeoises et impérialistes comme le chauvinisme, le racisme et le colonialisme." Stefan Goronov.
"Le 10 novembre 1975, les délégués d'une majorité d'Etats à l'ONU - représentant environ soixante-dix pour cent de la population mondiale - caractérisèrent par leur vote le Sionisme comme étant "une forme de racisme et de discrimination raciale". Cette résolution de l'Assemblée générale était la dernière d'une série d'actions soutenues par les organisations et les conférences régionales de l'ONU pour combattre la discrimination raciale à l'échelle mondiale.
La réaction des Sionistes américains à cette résolution de l'ONU fut à la fois immédiate et prévisible. Une page entière de publicité publiée dans le New York Times par le Congrès Juif Américain était audacieusement titrée : "Fiers d'être Juifs. Fiers d'être Sionistes". Entre autres revendications, figurait celle-ci : "le droit du peuple juif à un Etat juif - à Israël - se fonde sur la promesse biblique et sur un rituel vieux de deux mille ans qui se termine par la prière "L'Année prochaine à Jérusalem". Une fois de plus se trouvait perpétué le mythe selon lequel les principes du Sionisme politique étaient l'accomplissement des croyances spirituelles du Judaïsme." Gary V. Smith.
La réaction des Sionistes américains à cette résolution de l'ONU fut à la fois immédiate et prévisible. Une page entière de publicité publiée dans le New York Times par le Congrès Juif Américain était audacieusement titrée : "Fiers d'être Juifs. Fiers d'être Sionistes". Entre autres revendications, figurait celle-ci : "le droit du peuple juif à un Etat juif - à Israël - se fonde sur la promesse biblique et sur un rituel vieux de deux mille ans qui se termine par la prière "L'Année prochaine à Jérusalem". Une fois de plus se trouvait perpétué le mythe selon lequel les principes du Sionisme politique étaient l'accomplissement des croyances spirituelles du Judaïsme." Gary V. Smith.
Sami Hadawi el Walter Lehn, en 1976 :
"Voici trente ans maintenant qu'Israël défie et méprise la communauté internationale en violant les dispositions de la Charte de l'O.N.U., de nombreuses résolutions traitant du conflit sur la Palestine, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, sans parler de la Convention de Genève de 1949 relative à la Protection des Civils en temps de guerre. Une indication de l'attitude d'Israël envers l'O.N.U. fut fournie par le numéro auquel se livra son délégué à l'Assemblée générale juste avant le vote de novembre 1975 identifiant le Sionisme à "une forme de racisme et de discrimination raciale". En guise de respect pour l'O.N.U. et les pays membres, il déchira une copie du texte de résolution et déclara : "Pour nous, peuple juif, ceci n'est rien de plus qu'un morceau de papier et nous le traiterons comme tel." Son geste démontrait l'arrogance d'Israël et son manque de respect pour les droits humains des autres, conséquence et indice révélateur du racisme inhérent au Sionisme."
Source :
"Voici trente ans maintenant qu'Israël défie et méprise la communauté internationale en violant les dispositions de la Charte de l'O.N.U., de nombreuses résolutions traitant du conflit sur la Palestine, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, sans parler de la Convention de Genève de 1949 relative à la Protection des Civils en temps de guerre. Une indication de l'attitude d'Israël envers l'O.N.U. fut fournie par le numéro auquel se livra son délégué à l'Assemblée générale juste avant le vote de novembre 1975 identifiant le Sionisme à "une forme de racisme et de discrimination raciale". En guise de respect pour l'O.N.U. et les pays membres, il déchira une copie du texte de résolution et déclara : "Pour nous, peuple juif, ceci n'est rien de plus qu'un morceau de papier et nous le traiterons comme tel." Son geste démontrait l'arrogance d'Israël et son manque de respect pour les droits humains des autres, conséquence et indice révélateur du racisme inhérent au Sionisme."
Source :
Symposium international sur le Sionisme et le Racisme