Le FBI diligenta sur l’affaire des « Israéliens dansants » une enquête consignée dans un rapport de 579 pages, partiellement déclassifié en 2005 (il le sera totalement en 2035). Hicham Hamza a analysé ce rapport en détail dans Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou. Il en ressort plusieurs éléments accablants. Tout d’abord, les photos prises par ces jeunes Israéliens les montrent effectivement dans des attitudes de célébration devant la Tour Nord en feu : « Ils souriaient, ils s’embrassaient et ils se tapaient mutuellement dans les mains (highfiving). » Pour s’expliquer, les intéressés dirent qu’ils s’étaient simplement réjouis « que les États-Unis auraient maintenant à prendre des mesures pour arrêter le terrorisme dans le monde » (alors qu’à ce point, une majorité de gens pensait à un accident plutôt qu’à un acte terroriste). Plus grave, un témoin au moins les a vus positionnés dès 8 heures, soit avant qu’un avion ne percute la première tour, tandis que d’autres certifient qu’ils prenaient déjà des photos cinq minutes après. Un ancien salarié de l’entreprise témoigna au FBI de l’antiaméricanisme virulent que partageaient Suter et ses employés israéliens, l’un d’entre eux adressant un jour cette phrase à des collègues américains : « Donnez-nous vingt ans et nous nous emparerons de vos médias et détruirons votre pays. » Les cinq Israéliens arrêtés étaient en contact avec une autre entreprise de déménagement dénommée Classic International Movers, dont quatre employés avaient été interrogés indépendamment pour leurs liens avec les dix-neuf pirates de l’air présumés. L’un d’eux avait téléphoné à « un individu en Amérique du Sud possédant des liens authentiques avec les militants islamiques au Moyen-Orient », précise le rapport FBI. Enfin, « un chien renifleur donna un résultat positif pour la présence de traces d’explosifs dans le véhicule ».
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Un documentaire, "Le 11 septembre et le grand jeu israéliens" de Laurent Guyénot, sorti le 11 septembre 2021 démontre l'implication de la communauté juive organisée dans les attentats du 11 septembre 2001, et les stratagèmes mis en place par les services israéliens pour dissimuler leurs activités.
Toutes les preuves qui ont été réunies à ce sujet ne laissent aucun doute sur l'implication d'Israël dans les attentas du 11 septembre.
Vidéo :
"Le 11 septembre et le grand jeu israéliens" de Laurent Guyénot
PDF :
de Laurent Guyénot
L’histoire profonde s’appuie sur les documents secrets déclassifiés ou fuités et sur le journalisme d’investigation, plutôt que sur les rapports officiels ou les discours publics, pour expliquer les soubresauts de l’histoire. Elle inclut, mais ne se limite pas à l’histoire des services secrets (la communauté états-unienne du Renseignement comprend seize agences gouvernementales).
Considérant que les événements déclencheurs de guerre retenus par la « grande histoire » sont presque toujours de faux prétextes, l’histoire profonde est nécessairement révisionniste. Elle est aussi pacifiste, puisqu’elle cherche à exposer à la lumière les vraies causes des guerres. Elle est menée par des investigateurs indignés plutôt que par les historiens de métier. Elle est « conspirationniste » si l’on entend par là qu’elle admet le rôle des complots et pactes secrets, des opérations d’infiltration et manipulation, des financements occultes et trafics d’influence, des guerres psychologiques et campagnes de désinformation, des opérations paramilitaires et clandestines, dans la marche du monde depuis le début de la Guerre froide, et de manière croissante depuis le 11-Septembre.
En fait, seule l’histoire profonde permet d’expliquer le basculement du monde de la Guerre froide à la Guerre anti-terroriste, autrement dit du 20ème au 21ème siècle, car cette évolution résulte directement de l’action la plus secrète des États.
Une part importante de l’histoire profonde est consacrée aux « opérations sous fausse bannière » (false flag), par lesquelles un État feint une attaque ennemie pour justifier son entrée en guerre au nom de la légitime défense, auprès de sa propre opinion publique comme de la communauté internationale. Il s’agit pour l’agresseur de se faire passer pour l’agressé.
L’histoire institutionnelle – écrite par les vainqueurs – accuse volontiers les nations vaincues de tels agissements : on sait qu’en 1931, lorsque l’armée japonaise décida d’envahir la Manchourie, elle dynamita ses propres rails de chemin de fer près de la base militaire de Mukden et accusa les Chinois de ce sabotage.
On soupçonne aussi qu’en 1939, lorsqu’Hitler eut besoin d’un prétexte pour envahir la Pologne, il ordonna l’assaut de soldats et détenus allemands revêtus d’uniformes polonais sur l’avant-poste de Gleiwitz.
Et l’on soupçonne qu’auparavant, en 1933, il avait fait incendier le palais du Reichstag pour accuser un « complot communiste » et suspendre les libertés individuelles.
En revanche, les nations victorieuses parviennent plutôt bien à maintenir enfouis leurs propres mensonges et crimes de guerre. C’est le rôle de l’historien des profondeurs de les exhumer.
L’histoire profonde est l’histoire de l’« État profond » (Deep State), par quoi l’on désigne les structures de pouvoir qui, dans les coulisses du spectacle politique, mettent en branle les grands mouvements de l’histoire. Bien qu’il ait toujours existé, l’État profond s’est renforcé dans les démocraties modernes (dans une dictature il se confond avec l’État public), en raison du besoin éprouvé par certaines forces de se retrancher hors du regard des citoyens et des sanctions électorales. L’État profond est hostile aux institutions démocratiques de l’État républicain. La transparence que revendique le second est l’ennemi du premier. Mais l’État profond cherche moins à détruire la démocratie qu’à en fixer les limites et l’influencer. Aux États- Unis, il a pris en cinquante ans le contrôle presque total de la politique étrangère, de sorte que toutes les actions directes ou indirectes des États-Unis dans le monde ont des causes cachées du grand public. ...
