Voici une petite expérience de pensée : supposons que le terrorisme commis par Israël soit assimilable à toute autre forme de terrorisme et doive être traité de la même manière. Appliquons le droit américain en vigueur à cette situation et voyons quelles en seraient les conclusions.
En septembre 2025, le président Trump a désigné Antifa comme « organisation terroriste intérieure ». Ce décret s'appuie sur la définition antérieure du « terrorisme intérieur » donnée par le Patriot Act de 2001, qui le définit comme « des crimes à motivation idéologique commis par des individus aux États-Unis dans le but d'intimider ou de contraindre une population civile, ou d'influencer la politique ou la conduite d'un gouvernement ». Le décret cible notamment non seulement l'organisation Antifa elle-même, mais aussi ceux qui prétendent agir en son nom ou au nom de son idéologie, ainsi que ceux qui lui apportent un financement ou un soutien matériel : « toute personne prétendant agir au nom d'Antifa et lui ayant apporté un soutien matériel, y compris… ceux qui financent ces opérations ».
Ce sont des définitions très utiles ; leur portée est bien plus large que ce que les auteurs originaux avaient peut-être imaginé ou prévu.
Depuis le début de l'offensive génocidaire israélienne contre la population de Gaza en octobre 2023, il est apparu clairement au monde entier que des crimes contre l'humanité de grande ampleur étaient (et sont toujours) commis dans cette région. De plus, il est évident que de tels actes abominables seraient impossibles sans le financement et le soutien du gouvernement américain et de certains citoyens américains fortunés et influents. Par conséquent, le régime israélien peut être qualifié d'entité terroriste internationale, et ceux qui lui apportent un financement ou un soutien matériel peuvent être considérés comme complices du terrorisme, et de fait comme membres de cette organisation terroriste.
De plus, les Américains (et leurs chihuahuas européens) qui financent et soutiennent le terrorisme israélien nuisent à la réputation des États-Unis (et de l’Europe) à l'échelle internationale, imposent des contraintes financières à tous les Américains et tous les Européens (par le biais de restrictions commerciales, de retraits d'investissements, etc.) et les exposent à des risques de violence physique, voire de mort, de la part de ceux qui pourraient chercher à les punir pour leur soutien aux crimes israéliens. À ce titre, les partisans d'Israël aux États-Unis (et en Europe) constituent une organisation terroriste intérieure , dont les actions alimentent directement le terrorisme israélien et qui impose des coûts et des risques bien réels à tous les citoyens occidentaux (Américains et Européens) innocents.
Permettez-moi d'appliquer, sous une forme légèrement modifiée, le récent texte de la section-1 du décret anti-Antifa à cette entité terroriste pro-israélienne, que nous pouvons appeler le lobby pro-israélien :
Le Lobby pro-israélien (LPI) est une organisation militariste et anarchiste (formellement sans chef) qui appelle explicitement au soutien du régime terroriste génocidaire de Tel-Aviv. Il utilise divers moyens – légaux, illégaux et contraires à l'éthique – pour organiser et mener une campagne nationale afin d'atteindre ces objectifs. Cette campagne comprend des actions coordonnées visant à entraver l'application des lois fédérales, par des émeutes organisées (notamment sur les campus universitaires), par des agressions violentes, ainsi que par la divulgation systématique d'informations personnelles et d'autres menaces à l'encontre de personnalités politiques et de militants susceptibles de s'opposer à lui. Le LPI recrute, forme et radicalise de jeunes Américains pour les inciter à participer à ces violences et à la répression de l'activité politique, puis emploie des moyens et des mécanismes complexes pour protéger l'identité de ses agents, dissimuler ses sources de financement et ses opérations afin de tromper les forces de l'ordre, afin de recruter de nouveaux membres. Les individus associés au LPI et agissant en son nom coordonnent également leurs actions avec d'autres organisations et entités dans le but de propager, d'attiser et de promouvoir la violence politique et de réprimer toute expression politique légitime qui s'y oppose. Cet effort organisé visant à atteindre des objectifs politiques par la coercition et l'intimidation constitue du terrorisme intérieur.
Cela correspond remarquablement bien au texte original ; l’administration Trump, si elle était soucieuse de cohérence juridique et de logique, n’aurait certainement aucun scrupule à étendre ces concepts au lobby israélien. Mais bien sûr, cela n’arrivera pas.
Et là encore, la disposition clé se trouve à l’article 2 : des poursuites judiciaires seront engagées contre tous ceux qui « prétendent agir au nom » de l’entité terroriste, qui « fournissent un soutien matériel » ou « qui financent de telles opérations ».
Il convient également de mentionner le décret présidentiel n° 13224, signé par le président George W. Bush le 23 septembre 2001, qui autorise le gouvernement à traquer, bloquer et, en dernier recours, saisir les avoirs des personnes considérées comme des terroristes nationaux ou qui soutiennent de tels groupes. Voici le passage pertinent :
De manière générale, le décret permet de traquer le réseau de financement des terroristes et des organisations terroristes, en autorisant le gouvernement américain à désigner et à bloquer les avoirs des personnes physiques et morales étrangères qui commettent des actes de terrorisme ou présentent un risque important d'en commettre. En outre, compte tenu de l'ampleur et de la portée des financements des terroristes étrangers, le décret autorise le gouvernement américain à bloquer les avoirs des personnes physiques et morales qui apportent un soutien, des services ou une assistance aux terroristes et aux organisations terroristes désignées en vertu du décret, ou qui sont associées à ces derniers, ainsi que ceux de leurs filiales, organisations écrans, agents et associés.
Une fois de plus, une désignation très utile, qui s'applique directement à tous ceux qui continuent de soutenir le terrorisme pro-israélien par le biais de groupes ou de personnes agissant aux États-Unis.
La dernière étape consiste à appliquer les dispositions légales relatives à la confiscation civile et pénale, telles qu'elles figurent dans le Code des États-Unis (USC). Par exemple, le titre 18 de l'USC autorise la saisie d'avoirs, tant au civil (art. 981) qu'au pénal (art. 982), « même sans condamnation pénale ». La procédure se déroule en trois étapes :
(1) la désignation du groupe comme entité terroriste ;
(2) le blocage ou le gel de ses avoirs ;
et (3) la confiscation et la saisie de ses avoirs.
Il s'agit là encore d'une procédure standard, fondée sur des principes juridiques bien établis au sein du Département d'État, du Département du Trésor et du Département de la Justice.
Comme nous pouvons le constater, tous les éléments juridiques sont réunis : le génocide israélien – qui dure depuis plus de deux ans et a fait plus de 100.000 victimes palestiniennes, principalement des femmes et des enfants – établit clairement et sans équivoque que l’État juif est une entité terroriste. Par conséquent, toute organisation ou personne américaine qui soutient cette entité terroriste, que ce soit par le biais de financements, d’une couverture politique, d’un endoctrinement public ou par tout autre moyen, est coupable de complicité de terrorisme. Pour reprendre la terminologie juridique officielle : une personne coupable est « toute personne prétendant agir au nom d’Israël, [qui] a fourni un soutien matériel, y compris… ceux qui financent ces opérations ». De ce fait, les lois sur la confiscation civile permettent le gel et la confiscation de tous les avoirs de ces personnes ou organisations.
Alors, qui sont exactement les coupables aux États-Unis ? Tous ceux qui financent, aident, couvrent ou soutiennent idéologiquement Israël. Malheureusement, cela concerne beaucoup de monde aux États-Unis, à commencer par les quelque six millions d’Américains juifs adultes. (Chiffre magique des 6 millions).
D’après nos informations, une large majorité de Juifs américains soutiennent le génocide israélien contre les Gazaouis et l’aide américaine à Israël. Au début du génocide, on rapportait que 74 % d’entre eux approuvaient la gestion de la situation par Biden, en raison de sa position pro-israélienne intransigeante. Et plus de 80 % étaient favorables à l’envoi de ressources militaires américaines et de milliards de dollars d’aide financière. Les dons privés ont également afflué : un mois après l’attaque du 7 octobre, les Juifs américains avaient collecté 638 millions de dollars d’aide à Israël.
Des sondages récents suggèrent toutefois une évolution vers une position plus critique ; un rapport indique que les Juifs américains sont désormais partagés presque à parts égales quant à leur approbation ou non de la conduite militaire d’Israël, environ 40 % d’entre eux admettant qu’Israël commet un génocide. Soit. Mais combien sont prêts à entreprendre une action concrète contre ce pays ou à lui infliger un véritable préjudice ? Très peu, je suppose. Plus des trois quarts pensent que le maintien d’Israël en tant qu’État juif est « vital » pour l’avenir des Juifs. Il y a quelques années, Bari Weiss, aujourd’hui directrice de CBS News, affirmait que 95 % des Juifs américains soutenaient l’État juif (en se basant sur cet article de Gallup ). Cela concorde avec des témoignages selon lesquels au moins 90 % des Juifs américains sont sionistes d’une manière ou d’une autre.
À la lecture de ces lignes, il apparaît que neuf Juifs américains sur dix sont complices du terrorisme israélien : ils fournissent des financements, des votes, un soutien idéologique, une couverture politique ou d’autres formes d’aide matérielle. Par conséquent, selon la législation en vigueur, 90 % du patrimoine juif devrait être gelé puis confisqué.
À combien cela correspond-il ? Nous ne disposons pas de chiffres précis sur la fortune juive, mais nous pouvons faire des estimations plausibles. Parmi les dix Américains les plus riches actuellement , au moins six (60 %) sont juifs : Larry Ellison, Mark Zuckerberg, Larry Page, Sergei Brin, Steve Ballmer et Michael Dell. Ces six hommes possèdent à eux seuls environ 1 100 milliards de dollars. Juste derrière eux, on trouve Michael Bloomberg (109 milliards de dollars), Jeff Yass (66 milliards de dollars), Stephen Schwarzman (52 milliards de dollars) et Miriam Adelson (38 milliards de dollars). Des estimations récentes suggèrent qu’environ 30 % des multimillionnaires américains sont juifs. Sachant qu’il y a environ 900 000 personnes aux États-Unis possédant plus de 10 millions de dollars d’actifs, on peut estimer qu’au moins 300.000 d’entre elles sont juives. Cela représente un minimum de 3.000 milliards de dollars, et plus probablement au moins 6.000 milliards de dollars, détenus par 300.000 Juifs. Combien possèdent les autres 5,7 millions de juifs ?
Si l'on considère la hiérarchie des richesses aux États-Unis, les particuliers possèdent actuellement environ 167.000 milliards de dollars . Si un tiers de cette somme est détenu par des Juifs, cela représente environ 55.000 milliards de dollars de patrimoine juif, dont peut-être 90 % sont saisissables : disons 50.000 milliards de dollars.
Bien sûr, de nombreux non-Juifs sont également complices, notamment la grande communauté des sionistes chrétiens. On compte environ 44 millions de protestants évangéliques blancs, dont la plupart sont sionistes. On ignore combien d'entre eux ont apporté un soutien financier ou matériel à Israël, mais il s'agit certainement d'une part importante. Des recherches plus approfondies seraient nécessaires pour évaluer pleinement leur responsabilité.
Admettons, pour les besoins de la démonstration, que nous puissions confisquer 50.000 milliards de dollars, en grande partie aux Juifs américains ayant apporté un soutien matériel au terrorisme israélien. Que se passerait-il alors ? Plusieurs options s’offrent à nous. L’une d’elles consisterait à rembourser la dette fédérale américaine actuelle de 38.000 milliards de dollars, qui représente un fardeau considérable pour les dépenses fédérales – les intérêts avoisinant les 1.000 milliards de dollars par an – et exerce une forte pression inflationniste : « Une dette [fédérale] plus élevée accroît le risque de pressions inflationnistes à court et à long terme, par le biais de la demande globale, des anticipations d’inflation, de l’éviction des investissements privés et des craintes de domination budgétaire. » Ramener la dette à zéro permettrait de réduire les impôts et d’améliorer immédiatement et durablement le coût de la vie pour tous les Américains.
Les Américains ont souffert de multiples façons au fil des ans des malversations fiscales juives : pertes d'emplois, dégradation des produits, hausse des prix, dommages environnementaux, problèmes de santé, stress psychologique et dégradation culturelle massive. Si, par exemple, nous prenions 10.000 milliards de dollars pour verser une aide financière directe à chacun des 130 millions de foyers américains, cela représenterait environ 75.000 dollars par foyer. Ce serait un avantage considérable pour tous, en particulier pour les plus modestes. Pour nombre d'entre eux, ce serait une véritable révolution.
Bien sûr, la tâche est loin d'être aussi simple. On peut s'attendre à une vive réaction de la communauté juive si nous entreprenons de saisir leurs biens. Nombreux seraient ceux qui tenteraient de partir en Israël avec leur magot. Des mesures seraient nécessaires pour minimiser les pertes, notamment un contrôle strict des virements bancaires internationaux, des transferts d'actifs et des liquidations. Une coopération internationale serait indispensable pour garantir le gel puis la confiscation de la majeure partie des avoirs ; c'est difficile, mais pas impossible, comme nous l'avons vu avec la manière dont les Juifs eux-mêmes ont saisi, par exemple, des biens allemands et étrangers provenant de la Seconde Guerre mondiale. Nous pouvons suivre leur exemple.
On pourrait néanmoins s'attendre à ce que la plupart des six millions de Juifs quittent les États-Unis. Serait-ce une perte pour la société américaine ? Certainement pas. Il suffit de considérer les emplois qui se libéreraient dans la finance, les médias, le divertissement, le droit, la médecine et l'enseignement supérieur. Dans de nombreux secteurs, le chômage chuterait à zéro, entraînant une hausse des salaires et créant d'innombrables opportunités de carrière. Et si l'on se fie au passé, le pays pourrait prospérer de manière inattendue. Les Juifs ont fui l'Angleterre à partir de 1290, la France à partir de 1394 et l'Allemagne à partir de 1933 ; à chaque fois, la vie et la culture nationales ont connu des périodes de prospérité sans précédent. Rien ne permet de penser que la même chose ne se produirait pas en Amérique si la majorité de nos Juifs décidaient de partir.
Je tiens à souligner que, compte tenu de la complicité avec le terrorisme national et international, la confiscation des avoirs serait une sanction remarquablement clémente comparée aux exemples passés. Les Juifs ne seraient ni agressés ni battus ; ni emprisonnés ; ni exilés ; ni tués. Nous nous contenterions de confisquer leurs biens et, s'ils le souhaitaient, nous faciliterions leur départ volontaire. Quant à ceux qui resteraient, leur puissant et corrupteur lobby pro-israélien serait neutralisé par la perte massive de son influence économique, se réduisant à un groupe de pression inoffensif et bien plus restreint. Fini la corruption des politiciens, fini le rachat des conglomérats médiatiques, fini l'influence néfaste sur les universités. Les Juifs américains seraient réduits au principe « un homme, une voix », comme nous tous. Imaginez un peu.
Mais certains diront : « On ne peut pas punir tous les Juifs, ni même 90 % d’entre eux ! On ignore qui est coupable et qui est innocent. C’est une punition collective ! » Dans le cas du terrorisme, malheureusement, une punition collective est parfois justifiée, tout comme des mesures extrajudiciaires. Si Trump peut faire abattre des Vénézuéliens au hasard sur des bateaux en pleine mer, sur la seule base d’une suspicion de terrorisme, nous pouvons certainement prendre la mesure, bien moins radicale, de saisir les avoirs liés à des actions et politiques terroristes internationales avérées.
D'autres diront : « Tout cela est irréaliste. Vous n'avez aucune chance de faire quoi que ce soit de tel aux États-Unis. Les Juifs sont tout simplement trop puissants. » OK, d'accord, cela n'arrivera pas de sitôt. Mais tout est un processus, et nous devons procéder étape par étape.
La première étape consiste simplement à énoncer le principe : nous ne laisserons pas le soutien intérieur au terrorisme international impuni.
La deuxième étape est d'identifier les coupables : le génocide israélien en Palestine est du terrorisme, tout comme les bombardements sur le Qatar, sur l'Iran, sur le Liban, sur la Syrie… et ainsi de suite. Tous ceux qui aident Israël sont complices de terrorisme, et eux aussi ne resteront pas impunis.
La troisième étape est de définir une sanction claire et juste : la confiscation des avoirs, en commençant peut-être par ceux de toutes les organisations soutenant le lobby israélien, notamment l'ADL, l'AIPAC, etc. Avec le temps, les choses pourraient bien commencer à évoluer dans la bonne direction.
Mais, dans le contexte politique actuel, des mesures concrètes seront-elles prises ? Bien sûr que non. Comme nous le savons tous trop bien, les deux partis américains sont entièrement redevables au lobby israélien et aux Juifs fortunés. [1] Le slogan « L'Amérique d'abord » de Trump est, à juste titre, raillé et rebaptisé « Israël d'abord ». Trump lui-même est un pantin invétéré du lobby juif ; il fait tout ce qu’il peut pour servir d’abord et avant tout, les intérêts juifs ou israéliens. Rien que pour cela, il est la risée de tous et il en est devenu une honte. Mais son règne touche à sa fin ; après les élections de mi-mandat de 2026, il ne sera plus qu'un pantin. Je serais surpris qu'il survive jusqu'à la fin de son mandat – ça doit être terriblement pénible de se vendre corps et âme aux Juifs.
Les deux principaux partis sont irrémédiablement corrompus par l'argent juif, et nous ne pouvons donc nous attendre qu'à la perpétuation de ces agissements. Une solution consiste donc à tenter de créer un nouveau mouvement politique, un nouveau parti – un parti explicitement affranchi de toute influence juive et entièrement voué à libérer le pays de son emprise.
Admettons, pour les besoins de la discussion, que ce nouveau parti représente avant tout les intérêts des Américains: c'est-à-dire des citoyens américains dont l'ascendance ethnique provient des peuples autochtones d'Europe. Et pourquoi pas ? …
Par exemple, un Parti paneuropéen (PPE). Ses principaux axes seraient : (a) défendre les intérêts des Américains d’origine européenne, (b) rechercher des solutions justes et équitables aux problèmes nationaux et internationaux, (c) être conscient des enjeux raciaux, c’est-à-dire adopter une approche réaliste plutôt que fantasmée, et (d) lutter contre le terrorisme juif par la confiscation des biens et actifs liés au terrorisme. Voilà tout – rien de compliqué, juste des objectifs clairs et simples. …
En fait, si je pouvais me permettre une prédiction, je dirais que si un groupe de type PEP accédait au pouvoir, même localement, et si une confiscation des avoirs liés au terrorisme juif avait lieu, et si des Juifs décidaient de quitter certaines régions d'Amérique, même localement, alors, histoire à l'appui, je prévois un immense bienfait pour tous les citoyens restants : un véritable épanouissement culturel, une explosion de créativité, une amélioration considérable de l'humeur et des mentalités, le sentiment que la société œuvre pour le peuple et non pour des intérêts particuliers, que la société est à nouveau une entreprise noble et inspirante. Ce serait comme si un poids énorme était soudainement retiré des épaules de chacun. Je prédis que les résultats seraient stupéfiants. Vous en doutez ? Essayons et voyons. Nous n'avons rien à perdre.
Par David Skrbina, docteur en philosophie
[1] En 2022, la résolution H. Res. 1125 affirmait que « l’expérience judéo-américaine… est liée à des principes fondamentaux de l’identité américaine » et que « le négationnisme » est « une forme insidieuse de préjugé » ; la mesure a été adoptée par 420 voix contre 1 (Thomas Massie était le seul opposant). Fin 2023, la résolution H. Res. 888 a réaffirmé le droit d’Israël à exister et a de nouveau rappelé l’Holocauste ; elle a été adoptée par 412 voix contre 1 (Massie à nouveau). Un vote du Sénat américain sur la même résolution (S. Res. 417) en octobre 2023 l’a adoptée à l’unanimité (97 voix pour, 0 contre). Les deux partis, incapables de s’entendre sur quoi que ce soit de substantiel, sont de mèche lorsqu’il s’agit d’Israël et des intérêts juifs.
Comme nous pouvons le constater, tous les éléments juridiques sont réunis : le génocide israélien – qui dure depuis plus de deux ans et a fait plus de 100.000 victimes palestiniennes, principalement des femmes et des enfants – établit clairement et sans équivoque que l’État juif est une entité terroriste. Par conséquent, toute organisation ou personne américaine qui soutient cette entité terroriste, que ce soit par le biais de financements, d’une couverture politique, d’un endoctrinement public ou par tout autre moyen, est coupable de complicité de terrorisme. Pour reprendre la terminologie juridique officielle : une personne coupable est « toute personne prétendant agir au nom d’Israël, [qui] a fourni un soutien matériel, y compris… ceux qui financent ces opérations ». De ce fait, les lois sur la confiscation civile permettent le gel et la confiscation de tous les avoirs de ces personnes ou organisations.
Les parties coupables
Alors, qui sont exactement les coupables aux États-Unis ? Tous ceux qui financent, aident, couvrent ou soutiennent idéologiquement Israël. Malheureusement, cela concerne beaucoup de monde aux États-Unis, à commencer par les quelque six millions d’Américains juifs adultes. (Chiffre magique des 6 millions).
D’après nos informations, une large majorité de Juifs américains soutiennent le génocide israélien contre les Gazaouis et l’aide américaine à Israël. Au début du génocide, on rapportait que 74 % d’entre eux approuvaient la gestion de la situation par Biden, en raison de sa position pro-israélienne intransigeante. Et plus de 80 % étaient favorables à l’envoi de ressources militaires américaines et de milliards de dollars d’aide financière. Les dons privés ont également afflué : un mois après l’attaque du 7 octobre, les Juifs américains avaient collecté 638 millions de dollars d’aide à Israël.
Des sondages récents suggèrent toutefois une évolution vers une position plus critique ; un rapport indique que les Juifs américains sont désormais partagés presque à parts égales quant à leur approbation ou non de la conduite militaire d’Israël, environ 40 % d’entre eux admettant qu’Israël commet un génocide. Soit. Mais combien sont prêts à entreprendre une action concrète contre ce pays ou à lui infliger un véritable préjudice ? Très peu, je suppose. Plus des trois quarts pensent que le maintien d’Israël en tant qu’État juif est « vital » pour l’avenir des Juifs. Il y a quelques années, Bari Weiss, aujourd’hui directrice de CBS News, affirmait que 95 % des Juifs américains soutenaient l’État juif (en se basant sur cet article de Gallup ). Cela concorde avec des témoignages selon lesquels au moins 90 % des Juifs américains sont sionistes d’une manière ou d’une autre.
À la lecture de ces lignes, il apparaît que neuf Juifs américains sur dix sont complices du terrorisme israélien : ils fournissent des financements, des votes, un soutien idéologique, une couverture politique ou d’autres formes d’aide matérielle. Par conséquent, selon la législation en vigueur, 90 % du patrimoine juif devrait être gelé puis confisqué.
À combien cela correspond-il ? Nous ne disposons pas de chiffres précis sur la fortune juive, mais nous pouvons faire des estimations plausibles. Parmi les dix Américains les plus riches actuellement , au moins six (60 %) sont juifs : Larry Ellison, Mark Zuckerberg, Larry Page, Sergei Brin, Steve Ballmer et Michael Dell. Ces six hommes possèdent à eux seuls environ 1 100 milliards de dollars. Juste derrière eux, on trouve Michael Bloomberg (109 milliards de dollars), Jeff Yass (66 milliards de dollars), Stephen Schwarzman (52 milliards de dollars) et Miriam Adelson (38 milliards de dollars). Des estimations récentes suggèrent qu’environ 30 % des multimillionnaires américains sont juifs. Sachant qu’il y a environ 900 000 personnes aux États-Unis possédant plus de 10 millions de dollars d’actifs, on peut estimer qu’au moins 300.000 d’entre elles sont juives. Cela représente un minimum de 3.000 milliards de dollars, et plus probablement au moins 6.000 milliards de dollars, détenus par 300.000 Juifs. Combien possèdent les autres 5,7 millions de juifs ?
Si l'on considère la hiérarchie des richesses aux États-Unis, les particuliers possèdent actuellement environ 167.000 milliards de dollars . Si un tiers de cette somme est détenu par des Juifs, cela représente environ 55.000 milliards de dollars de patrimoine juif, dont peut-être 90 % sont saisissables : disons 50.000 milliards de dollars.
Bien sûr, de nombreux non-Juifs sont également complices, notamment la grande communauté des sionistes chrétiens. On compte environ 44 millions de protestants évangéliques blancs, dont la plupart sont sionistes. On ignore combien d'entre eux ont apporté un soutien financier ou matériel à Israël, mais il s'agit certainement d'une part importante. Des recherches plus approfondies seraient nécessaires pour évaluer pleinement leur responsabilité.
Les avantages
Admettons, pour les besoins de la démonstration, que nous puissions confisquer 50.000 milliards de dollars, en grande partie aux Juifs américains ayant apporté un soutien matériel au terrorisme israélien. Que se passerait-il alors ? Plusieurs options s’offrent à nous. L’une d’elles consisterait à rembourser la dette fédérale américaine actuelle de 38.000 milliards de dollars, qui représente un fardeau considérable pour les dépenses fédérales – les intérêts avoisinant les 1.000 milliards de dollars par an – et exerce une forte pression inflationniste : « Une dette [fédérale] plus élevée accroît le risque de pressions inflationnistes à court et à long terme, par le biais de la demande globale, des anticipations d’inflation, de l’éviction des investissements privés et des craintes de domination budgétaire. » Ramener la dette à zéro permettrait de réduire les impôts et d’améliorer immédiatement et durablement le coût de la vie pour tous les Américains.
Et pourquoi pas une aide financière directe ?
Les Américains ont souffert de multiples façons au fil des ans des malversations fiscales juives : pertes d'emplois, dégradation des produits, hausse des prix, dommages environnementaux, problèmes de santé, stress psychologique et dégradation culturelle massive. Si, par exemple, nous prenions 10.000 milliards de dollars pour verser une aide financière directe à chacun des 130 millions de foyers américains, cela représenterait environ 75.000 dollars par foyer. Ce serait un avantage considérable pour tous, en particulier pour les plus modestes. Pour nombre d'entre eux, ce serait une véritable révolution.
Bien sûr, la tâche est loin d'être aussi simple. On peut s'attendre à une vive réaction de la communauté juive si nous entreprenons de saisir leurs biens. Nombreux seraient ceux qui tenteraient de partir en Israël avec leur magot. Des mesures seraient nécessaires pour minimiser les pertes, notamment un contrôle strict des virements bancaires internationaux, des transferts d'actifs et des liquidations. Une coopération internationale serait indispensable pour garantir le gel puis la confiscation de la majeure partie des avoirs ; c'est difficile, mais pas impossible, comme nous l'avons vu avec la manière dont les Juifs eux-mêmes ont saisi, par exemple, des biens allemands et étrangers provenant de la Seconde Guerre mondiale. Nous pouvons suivre leur exemple.
On pourrait néanmoins s'attendre à ce que la plupart des six millions de Juifs quittent les États-Unis. Serait-ce une perte pour la société américaine ? Certainement pas. Il suffit de considérer les emplois qui se libéreraient dans la finance, les médias, le divertissement, le droit, la médecine et l'enseignement supérieur. Dans de nombreux secteurs, le chômage chuterait à zéro, entraînant une hausse des salaires et créant d'innombrables opportunités de carrière. Et si l'on se fie au passé, le pays pourrait prospérer de manière inattendue. Les Juifs ont fui l'Angleterre à partir de 1290, la France à partir de 1394 et l'Allemagne à partir de 1933 ; à chaque fois, la vie et la culture nationales ont connu des périodes de prospérité sans précédent. Rien ne permet de penser que la même chose ne se produirait pas en Amérique si la majorité de nos Juifs décidaient de partir.
Je tiens à souligner que, compte tenu de la complicité avec le terrorisme national et international, la confiscation des avoirs serait une sanction remarquablement clémente comparée aux exemples passés. Les Juifs ne seraient ni agressés ni battus ; ni emprisonnés ; ni exilés ; ni tués. Nous nous contenterions de confisquer leurs biens et, s'ils le souhaitaient, nous faciliterions leur départ volontaire. Quant à ceux qui resteraient, leur puissant et corrupteur lobby pro-israélien serait neutralisé par la perte massive de son influence économique, se réduisant à un groupe de pression inoffensif et bien plus restreint. Fini la corruption des politiciens, fini le rachat des conglomérats médiatiques, fini l'influence néfaste sur les universités. Les Juifs américains seraient réduits au principe « un homme, une voix », comme nous tous. Imaginez un peu.
Mais certains diront : « On ne peut pas punir tous les Juifs, ni même 90 % d’entre eux ! On ignore qui est coupable et qui est innocent. C’est une punition collective ! » Dans le cas du terrorisme, malheureusement, une punition collective est parfois justifiée, tout comme des mesures extrajudiciaires. Si Trump peut faire abattre des Vénézuéliens au hasard sur des bateaux en pleine mer, sur la seule base d’une suspicion de terrorisme, nous pouvons certainement prendre la mesure, bien moins radicale, de saisir les avoirs liés à des actions et politiques terroristes internationales avérées.
D'autres diront : « Tout cela est irréaliste. Vous n'avez aucune chance de faire quoi que ce soit de tel aux États-Unis. Les Juifs sont tout simplement trop puissants. » OK, d'accord, cela n'arrivera pas de sitôt. Mais tout est un processus, et nous devons procéder étape par étape.
La première étape consiste simplement à énoncer le principe : nous ne laisserons pas le soutien intérieur au terrorisme international impuni.
La deuxième étape est d'identifier les coupables : le génocide israélien en Palestine est du terrorisme, tout comme les bombardements sur le Qatar, sur l'Iran, sur le Liban, sur la Syrie… et ainsi de suite. Tous ceux qui aident Israël sont complices de terrorisme, et eux aussi ne resteront pas impunis.
La troisième étape est de définir une sanction claire et juste : la confiscation des avoirs, en commençant peut-être par ceux de toutes les organisations soutenant le lobby israélien, notamment l'ADL, l'AIPAC, etc. Avec le temps, les choses pourraient bien commencer à évoluer dans la bonne direction.
Un nouveau parti, un nouveau mouvement
Mais, dans le contexte politique actuel, des mesures concrètes seront-elles prises ? Bien sûr que non. Comme nous le savons tous trop bien, les deux partis américains sont entièrement redevables au lobby israélien et aux Juifs fortunés. [1] Le slogan « L'Amérique d'abord » de Trump est, à juste titre, raillé et rebaptisé « Israël d'abord ». Trump lui-même est un pantin invétéré du lobby juif ; il fait tout ce qu’il peut pour servir d’abord et avant tout, les intérêts juifs ou israéliens. Rien que pour cela, il est la risée de tous et il en est devenu une honte. Mais son règne touche à sa fin ; après les élections de mi-mandat de 2026, il ne sera plus qu'un pantin. Je serais surpris qu'il survive jusqu'à la fin de son mandat – ça doit être terriblement pénible de se vendre corps et âme aux Juifs.
Les deux principaux partis sont irrémédiablement corrompus par l'argent juif, et nous ne pouvons donc nous attendre qu'à la perpétuation de ces agissements. Une solution consiste donc à tenter de créer un nouveau mouvement politique, un nouveau parti – un parti explicitement affranchi de toute influence juive et entièrement voué à libérer le pays de son emprise.
Admettons, pour les besoins de la discussion, que ce nouveau parti représente avant tout les intérêts des Américains: c'est-à-dire des citoyens américains dont l'ascendance ethnique provient des peuples autochtones d'Europe. Et pourquoi pas ? …
Par exemple, un Parti paneuropéen (PPE). Ses principaux axes seraient : (a) défendre les intérêts des Américains d’origine européenne, (b) rechercher des solutions justes et équitables aux problèmes nationaux et internationaux, (c) être conscient des enjeux raciaux, c’est-à-dire adopter une approche réaliste plutôt que fantasmée, et (d) lutter contre le terrorisme juif par la confiscation des biens et actifs liés au terrorisme. Voilà tout – rien de compliqué, juste des objectifs clairs et simples. …
En fait, si je pouvais me permettre une prédiction, je dirais que si un groupe de type PEP accédait au pouvoir, même localement, et si une confiscation des avoirs liés au terrorisme juif avait lieu, et si des Juifs décidaient de quitter certaines régions d'Amérique, même localement, alors, histoire à l'appui, je prévois un immense bienfait pour tous les citoyens restants : un véritable épanouissement culturel, une explosion de créativité, une amélioration considérable de l'humeur et des mentalités, le sentiment que la société œuvre pour le peuple et non pour des intérêts particuliers, que la société est à nouveau une entreprise noble et inspirante. Ce serait comme si un poids énorme était soudainement retiré des épaules de chacun. Je prédis que les résultats seraient stupéfiants. Vous en doutez ? Essayons et voyons. Nous n'avons rien à perdre.
Par David Skrbina, docteur en philosophie
[1] En 2022, la résolution H. Res. 1125 affirmait que « l’expérience judéo-américaine… est liée à des principes fondamentaux de l’identité américaine » et que « le négationnisme » est « une forme insidieuse de préjugé » ; la mesure a été adoptée par 420 voix contre 1 (Thomas Massie était le seul opposant). Fin 2023, la résolution H. Res. 888 a réaffirmé le droit d’Israël à exister et a de nouveau rappelé l’Holocauste ; elle a été adoptée par 412 voix contre 1 (Massie à nouveau). Un vote du Sénat américain sur la même résolution (S. Res. 417) en octobre 2023 l’a adoptée à l’unanimité (97 voix pour, 0 contre). Les deux partis, incapables de s’entendre sur quoi que ce soit de substantiel, sont de mèche lorsqu’il s’agit d’Israël et des intérêts juifs.