Les dirigeants des USA, craignent-ils la cour pénale internationale qui pourrait les accuser de complicité de génocide ?
L'ambassadeur israélien à l'ONU, Danny Danon, a remercié l'envoyé spécial américain Morgan Ortagus pour avoir opposé son veto à la résolution de cessez-le-feu à Gaza après la session du Conseil de sécurité de l'ONU.
Oui, vous avez bien lu : selon Reuters, les États-Unis s’apprêtent à punir l’institution même chargée de juger les crimes de guerre et les génocides. Pas seulement les juges, pas seulement les procureurs, mais l’ensemble de la CPI : ses comptes bancaires, ses logiciels, ses fournisseurs, son fonctionnement tout entier.
Objectif ? Faire taire les enquêtes sur les crimes commis à Gaza et empêcher que les responsables israéliens soient inquiétés. Plutôt que de répondre aux accusations, Washington choisit d’intimider la justice internationale et d’envoyer un message :
« Touchez à nos alliés, et nous détruisons votre outil de travail. »
Ironie suprême : cette Cour a été créée par l’Occident pour juger les dirigeants africains et les “États voyous”. Elle n’a quasiment jamais inquiété les grandes puissances. Mais maintenant que ses projecteurs se braquent sur Israël, soudain elle devient une “menace”.
C’est une attaque frontale contre le droit international. Si cette logique passe, demain chaque État puissant sanctionnera la Cour dès qu’elle osera enquêter sur ses crimes. C’est la fin de l’idée même d’une justice universelle.
La CPI enquête sur des crimes de guerre, sur des massacres de civils, sur un génocide en cours. Et la réponse des États-Unis n’est pas de coopérer, ni de réfuter les faits… mais de menacer, de couper les vivres, d’étrangler la justice.
Ce n’est plus seulement Israël sur le banc des accusés, c’est tout le système d’impunité occidental qui se dévoile et se défend à visage découvert.
Sanctionner la CPI, c’est admettre qu’elle a vu juste – et préférer tuer la justice plutôt que de répondre de ses crimes.
Exclusive: US could hit entire International Criminal Court with sanctions soon
Washington veut sanctionner… la Cour pénale internationale
Oui, vous avez bien lu : selon Reuters, les États-Unis s’apprêtent à punir l’institution même chargée de juger les crimes de guerre et les génocides. Pas seulement les juges, pas seulement les procureurs, mais l’ensemble de la CPI : ses comptes bancaires, ses logiciels, ses fournisseurs, son fonctionnement tout entier.
Objectif ? Faire taire les enquêtes sur les crimes commis à Gaza et empêcher que les responsables israéliens soient inquiétés. Plutôt que de répondre aux accusations, Washington choisit d’intimider la justice internationale et d’envoyer un message :
« Touchez à nos alliés, et nous détruisons votre outil de travail. »
Ironie suprême : cette Cour a été créée par l’Occident pour juger les dirigeants africains et les “États voyous”. Elle n’a quasiment jamais inquiété les grandes puissances. Mais maintenant que ses projecteurs se braquent sur Israël, soudain elle devient une “menace”.
C’est une attaque frontale contre le droit international. Si cette logique passe, demain chaque État puissant sanctionnera la Cour dès qu’elle osera enquêter sur ses crimes. C’est la fin de l’idée même d’une justice universelle.
La CPI enquête sur des crimes de guerre, sur des massacres de civils, sur un génocide en cours. Et la réponse des États-Unis n’est pas de coopérer, ni de réfuter les faits… mais de menacer, de couper les vivres, d’étrangler la justice.
Ce n’est plus seulement Israël sur le banc des accusés, c’est tout le système d’impunité occidental qui se dévoile et se défend à visage découvert.
Sanctionner la CPI, c’est admettre qu’elle a vu juste – et préférer tuer la justice plutôt que de répondre de ses crimes.
Exclusive: US could hit entire International Criminal Court with sanctions soon
Tomy le Magnifique sur X.
*******