mercredi 16 octobre 2024

Défier Israël


 Macron, "antisémite" ?


Tout comme de Gaulle, Mitterrand, Chirac, Sarkozy ou Hollande, Emmanuel Macron a beaucoup donné à la communauté juive de France. Il aura suffi d'un seul écart de sa part pour qu'il soit considéré par certains excités comme "antisémite", comme l'avaient été de Gaulle, Mitterrand et Chirac avant lui. En l'occurrence, Macron vient de nouveau de confirmer que la France doit maintenant cesser de livrer des armes à l'Etat hébreu. Il n'en fallait pas plus pour susciter "un grand émoi dans la communauté". On le sait, il y a chez certains d'entre eux une "grande intolérance à la frustration" (cf. mon livre "Psychanalyse du judaïsme").

Voici ce que j'écrivais en 2007 dans le livre intitulé "Le Fanatisme juif", page 190, chapitre "critiquer Israël". Vous voyez bien qu'il n'y a rien de nouveau : ... Ces pressions exercées contre toute personne qui ose émettre une critique, et les représailles qui s’ensuivent, ne sont pas nouvelles en France, et peuvent même s’exercer contre les plus hauts personnages de l’État. Le journaliste François Brigneau, dans le journal National Hebdo du 31 octobre 1996 ─ rappelait les déboires du général de Gaulle après ses propos tenus après la guerre des Six Jours, en 1967 :

« Le général de Gaulle nourrissait pour l’État hébreu une amitié particulière. On cite souvent son toast : “Israël, notre ami, notre allié…” prononcé d’une voix vibrante. » Le 2 juin 1967, pourtant, de Gaulle décidait l’arrêt total et immédiat des envois d’armes au Moyen-Orient. Le 5 juin, l’armée israélienne attaquait sur tous les fronts. La Guerre des Six jours s’ouvrait par l’écrasement au sol de l’aviation égyptienne : « Partout victorieux, les soldats de la Paix (Shalom ! Shalom !) occupaient le Sinaï, le Golan et la Cisjordanie. L’embargo ─ qui ne fut ni ne devait être jamais respecté ─ ne les avait pas gênés. De Gaulle le maintenait néanmoins, condamnait Israël et refusait de “tenir pour acquis les changements réalisés sur le terrain par l’action militaire”. »

Le 27 novembre, dans une conférence de presse demeurée célèbre, il osait parler de « l’État d’Israël guerrier et résolu à s’agrandir », et d’un « peuple sûr de lui et dominateur ».

« Aussitôt, les chofars sonnaient dans tous les coins, écrit François Brigneau. Le Grand Rabbin Kaplan accusait le général de Gaulle de “donner la plus haute des cautions à des campagnes de discrimination.” Raymond Aron, que l’on tenait pour un esprit supérieur et modéré, écrivait : “Le général de Gaulle a sciemment, volontairement, ouvert une nouvelle période de l’histoire juive, et peut-être même de l’antisémitisme”.

Six mois plus tard, en mai 1968, un chahut d’étudiants, conduit par des meneurs en majorité juifs, orchestré par toutes les radios, tournait au soulèvement et ébranlait le pouvoir gaullien. Encore onze mois et il s’effondrerait, au soir du référendum perdu. »

Le référendum d’avril 1969 sur la régionalisation avait en effet provoqué le départ du général. François Brigneau présente ici les témoignages suivants, tirés de l’ouvrage de Samy Cohen, intitulé "De Gaulle, les gaullistes et Israël" (Alain Moreau, 1974, p. 209). « Un livre qui n’est pas hostile aux sionistes », tient-il à préciser.

Six mois après le référendum, François Mauriac a ainsi pu s’exprimer : « J’ai vu, quelques mois avant le référendum, des hommes que la politique du général vis-à-vis de Jérusalem rendait fous. Et ce n’était pas des individus dépourvus de moyens. »

Dans le Libre Journal du 19 décembre 2003, Brigneau relate encore : « Six mois plus tard, dans le Figaro littéraire, François Mauriac révélait “ce que personne n’ose rappeler, tant on a peur d’être accusé d’antisémitisme”. Une des causes du triomphe du “non” au référendum, ce fut la politique du Général à l’égard d’Israël. Je regrette de n’avoir pas conservé certaines lettres où des amis juifs, fervents gaullistes, devenaient d’un seul coup des adversaires implacables” (24 novembre 1969).

Le livre de Samy Cohen donnait encore le témoignage de Léon Noël, ambassadeur, qui dénonçait les « Israéliens de France » : « Lors du fatal référendum d’avril 1969, écrivait-il, leur opposition a pesé sur le résultat au point qu’il n’est pas exagéré de les tenir pour responsables, en grande partie, du résultat. »

Edmond Michelet, ancien déporté, ministre de la Justice, ministre d’Etat le confirmait : « Ceux qui ont fait basculer effectivement la majorité, ce sont des centaines de milliers de juifs… Ils ont entre leurs mains une grande partie des ... » 


Hervé Ryssen.


DES PALESTINIENS, Y COMPRIS DES FEMMES ET DES ENFANTS, ONT ÉTÉ BRÛLÉS VIFS DANS LEUR SOMMEIL À GAZA


Israël a bombardé un hôpital désigné comme une "zone humanitaire"




"La vidéo a été authentifiée par Check News et d’autres médias internationaux. Des Palestiniens ont été brûlés vifs lors d’un bombardement israélien sur un hôpital que Tsahal avait désigné comme une "zone humanitaire". Au moins quatre personnes ont filmé la scène. Israël reconnaît l’incendie, mais en rejette la responsabilité." Cerfia.




Pas de lieu sûr à Gaza, Israël brûle vifs les déplacés

Profitant du mutisme douteux des pays occidentaux, Israël poursuit ses crimes dans la bande de Gaza.

Dans la nuit de dimanche à lundi 14 octobre, l’aviation de l’occupation a brûlé vifs des dizaines de déplacés qui s’étaient réfugiés dans la cour de l’hôpital Martyrs d’Al-Aqsa, au centre de Gaza.



mardi 15 octobre 2024

Le grand Kahal




 "LE GRAND KAHAL : UN TERRIBLE SECRET" 


Par l’abbé Curzio Nitoglia


Vial, dans son précieux livre ("Le Juif sectaire ou la Tolérance talmudique"), soutient que le gouvernement secret des juifs s’appelle Kahal et est universel et absolu. « Il réunit dans ses mains le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif [le Bet-Dine, branche du Kahal, a, à proprement parler, le pouvoir exécutif, n.d.a.]. Il a le droit de vie et de mort... Il a, à ses ordres... une magistrature pour les imposer, une police pour en surveiller l’exécution, un budget pour alimenter sa police et ses fonctionnaires, et un impôt pour alimenter son budget... 

Les décisions du Kahal ne sont susceptibles d’aucun contrôle et n’ont besoin d’approbation de qui que ce soit... Ce gouvernement secret, vieux souvenir du tout-puissant Sanhédrin, ... a toujours fonctionné, depuis la dispersion d’Israël à travers le monde, dans la mesure où le lui permettait, ce qu’il appelle aujourd’hui “l’intolérance moyenâgeuse” ». 

Son code est le Talmud, qui est véritablement la Constitution fondamentale du peuple juif, dont il résume la suprême aspiration : la conquête du monde entier. Mais cette Constitution doit être, dans la pratique, interprétée par le Kahal au moyen de ses lois. Brafmann, dans son "Livre du Kahal" rapporte plus de mille prescriptions du Kahal, qui représentent ainsi le droit d’Israël, son code de jurisprudence. [...]

Le mystère entoure les actes pratiques du Kahal : ils doivent rester secrets; malheur à qui ose les révéler : on condamne à l’anathème et souvent même à la mort. Jacob Brafmann eut cette audace, mais perdit la vie.


D’après Hugo Wast, le secret du Kahal serait ceci : pour conquérir le monde l’épée n’est pas nécessaire, mais un livre suffit : le Talmud ! (
 Hugo WAST, "El Kahal", editorial Aldecoa, Burgos 1954). Au moyen de l’esprit talmudique le Judaïsme se propose d’écraser le Christianisme, unique vrai bastion qui s’oppose à la domination universelle d’Israël.

Les sentiments principaux qui animent l’esprit talmudique seraient au nombre de quatre:

1°) Une ambition démesurée de dominer le monde.

2°) Une avidité insatiable de posséder toutes les richesses des non juifs.

3°) La rancœur contre le non juif, et spécialement contre le chrétien.

4°) La haine de Jésus-Christ.

Or, pour satisfaire ces quatre passions, il faut s’approprier la richesse du monde, par laquelle on pourra tout. C’est ainsi qu’au moyen de l’or la Synagogue s’emparera de toute chose, et rendra les non juifs ses esclaves. Ou du moins cela serait son plan secret (qui arrivera à sa quasi réalisation avec le Règne de l’Antéchrist), selon Hugo. WAST. 

Mais pour pouvoir arriver à cela il est nécessaire de corrompre les chrétiens, en fomentant en eux l’amour des plaisirs, du luxe et d’eux-mêmes. Etant donné que l’unique patron de l’or qui permette d’avoir plaisirs, luxe et honneur du monde sera (selon le plan du Kahal) le Judaïsme, les non juifs une fois corrompus pourront avoir les plaisirs à condition de demander l’or au juif qui seul le possède !

« La force des juifs consiste dans le fait de savoir cacher leurs intentions propres. Le peuple juif vit encore uniquement parce qu’il a su maintenir un secret durant vingt siècles de persécutions » (
Hugo Wast). Ce secret est l’esprit talmudique de haine du Christ et des chrétiens et de désir de domination mondiale. La foi talmudique n’est pas dans l’au-delà ; mais dans la domination en ce monde ; son “paradis” est la terre.

Le Kahal aujourd’hui

Les informations sur le Grand Kahal aujourd’hui sont très rares : les plus récentes remontent à 1954, avec Hugo Wast et à 1996 avec Israël Shahak qui explique que les Juifs en Occident ayant acquis en 1780 l’égalité juridique et s’étant peu à peu émancipés, le pouvoir judiciaire que la Communauté juive détenait alla en diminuant, surtout en Occident; alors qu’en Orient l’émancipation a été très faible et que le Kahal a maintenu sa force. Cependant en Occident il y a eu des poches de résistance à l’assimilation, et avec le mouvement sioniste et la fondation du B’naï B’rith (1843), le courant anti-assimilationiste (et philo-Kahaliste) a repris l’avantage. C’est pourquoi le Kahal a maintenu un certain pouvoir même après l’émancipation des juifs et l’a recouvré complètement à partir de la montée du Sionisme, et surtout après la seconde guerre mondiale avec le (...) de l’“Holocauste”. 

Shahak écrit : « Depuis le Bas-Empire, les communautés juives possédaient des pouvoirs juridiques considérables sur leurs membres... même un pouvoir de pure coercition : la flagellation, l’emprisonnement, le bannissement, toutes sortes de peines pouvaient être infligées, en toute légalité, par les tribunaux rabbiniques... même la sentence capitale ». Et il continue : « Beaucoup de juifs d’aujourd’hui ont la nostalgie de ce monde juif [précédant l’assimilation], ce paradis perdu... Une part importante du mouvement sioniste a toujours voulu le rétablir, et cette part l’a emporté ». L’Etat d’Israël et le Sionisme semblent marquer le retour du pouvoir absolu du Kahal. (I. SHAHAK, "Histoire juive - Religion juive. Le poids de trois millénaires", La Vieille Taupe, Paris 1996.)

En 1986 Simon Schwarzfuchs a écrit un intéressant livre (pour la collection “Présence et mémoire juive”) concernant le Kahal dans l’Europe médiévale. Il y soutient que la Communauté juive du Moyen Age, appelée Kahal, apparaît en Europe au Xème siècle. « Elle est la continuation de la communauté juive de l’antiquité » (S. SCHWARZFUCHS, Kahal. "La communauté juive de l’Europe médiévale", Maisonneuve et Larose, Paris 1986).


Les origines de la Communauté juive en Europe sont très anciennes ; il y en avait une à Rome antérieure au Christianisme. « Pendant plusieurs siècles, sans doute jusqu’au début du Vème siècle, les groupements juifs d’Europe restèrent en contact avec le patriarche de Terre Sainte et continuèrent à lui verser leur tribut » (S. SCHWARZFUCHS). Le Kahal régissait et dirigeait tout. 

Le numéro 566 de l’hebdomadaire de la communauté juive de France “Actualité Juive”, du 28 mai 1998 nous parle du Kahal et du Beth Din dans 4 longues pages. Elles sont très intéressantes et surtout actuelles. 



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BONUS


Le tribunal rabbinique national
(Beth Din)

 Le Monde, 26 novembre 2005 :

Le grand rabbin de France, Joseph Sitruk, a annoncé la création d'un tribunal rabbinique national. Jusqu'à maintenant, les tribunaux religieux de ce type - les Beth Din - étaient gérés par les communautés locales. Le plus important est le Beth Din de Paris, placé sous la responsabilité du Consistoire de Paris. D'autres structures de ce genre existent à Marseille, à Lyon et à Strasbourg. Certaines communautés loubavitchs ou ultra-orthodoxes possèdent leur propre Beth Din.





lundi 14 octobre 2024

L'interview d'un initié, "The Hidden Tyranny"



Dès 1976, grâce aux révélations de l'initié Harold Rosenthal, on n'ignorait pas que le programme de domination des banquiers kabbalistes s'étendait déjà à tous les aspects de la vie occidentale.



Harold Wallace Rosenthal, 29 ans, assistant personnel du Sénateur Jacob Javits, de New-York, a estimé que le pouvoir juif était si inattaquable qu'il pourrait gagner de l'argent supplémentaire en levant le voile sur le véritable pouvoir mondial. Il a été interviewé par Walter White Jr., rédacteur en chef du mensuel conservateur Western Front. L'interview de 17 pages s'intitule "The Invisible Tyranny".


Rosenthal avait besoin d'argent pour « jouer », mais sa franchise lui a coûté la vie. Le 12 août 1976, il a été tué dans un faux détournement d’avion à Istanbul. Walter White a conclu que l'incident était une couverture pour le meurtre de Rosenthal.


Harold Wallace Rosenthal était diplômé de l'Université de Cambridge et de la Harvard Graduate School, en étant boursier. Après avoir travaillé pour le membre du Congrès Hugh Carey (D-NY), il fut employé au bureau du sénateur Walter Mondale (D-MN) où il  dirigea son programme législatif. Après un passage à la Rockefeller Brothers Foundation, Harold retourna au Sénat pour travailler pour le sénateur Jacob Javits. Rosenthal était indiscutablement un insider (un "initié").


Selon Rosenthal : "La plupart des Juifs n'aiment pas l'admettre, mais notre dieu est Lucifer ... et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant."

Cette déclaration s'applique à la culture moderne dans son ensemble. Nous n'aimons pas admettre que notre société "laïque" est basée sur une rébellion cosmique contre Dieu. Son véritable caractère satanique devient de plus en plus évident chaque jour.

Toujours selon Rosenthal : 

"Les "Juifs" ont construit un empire terrestre en partie en rejetant la vision du Christ d'un royaume spirituel basé sur l'amour fraternel. Ils voulaient un roi guerrier et non un prince de la paix.

À l'époque du Christ, les Juifs cherchaient un royaume matériel et terrestre mais Christ a offert aux Juifs un royaume spirituel. Cela, ils ne pouvaient pas accepter, alors ils ont rejeté Jésus-Christ et l'ont fait crucifier."

Les banquiers juifs prévoient de gouverner le monde depuis Jérusalem (qui occupe une place centrale dans les religions juive, chrétienne et musulmane), selon leurs propres intérêts.

Rosenthal dit que la religion juive est essentiellement un déguisement pour un impératif racial :

"Nous pouvons vivre parmi d'autres peuples et États [en] les persuadant que les Juifs ne sont pas un peuple distinct mais les représentants d'une foi religieuse ..."

Contrôle du système monétaire

"Nous avons réussi à diviser la société contre elle-même en opposant les travailleurs contre la direction. Cela a peut-être été l'un de nos plus grands exploits, car en réalité c'est un triangle, bien que seuls deux points semblent se produire. Dans l'industrie moderne, le capital, la force que nous représentons, est le sommet. La direction et le travail sont tous deux à la base de ce triangle. Ils sont continuellement opposés l'un à l'autre et leur attention n'est jamais dirigée vers la tête de leur problème."

"Par l'intermédiaire de notre banque nationale, la Réserve fédérale, nous accordons des crédits comptables, que nous créons à partir de rien, à toutes les banques locales qui sont des banques membres. Elles accordent à leur tour des crédits comptables à l'industrie. Ainsi, nous faisons plus que ce que Dieu peut faire, car toute notre richesse est créée à partir de rien. Vous avez l'air choqué! Ne le soyez pas! C'est vrai, nous faisons plus que ce que Dieu pourrait faire."

"Avec ce capital supposé, nous amenons l'industrie, le management et le travail à se soumettre à notre dette, laquelle dette ne fait qu'augmenter et elle n'est jamais liquidée. Grâce à cette augmentation continuelle, nous sommes en mesure de dresser le Management contre le travail afin qu'ils ne s’unissent jamais pour nous attaquer et inaugurer une utopie industrielle sans dette."

Contrôle des médias

Par le contrôle de la banque, la tyrannie invisible a acquis le monopole total de :

"l'industrie du cinéma, des réseaux de radio et des médias télévisés nouvellement développés ... nous avons repris la publication de tout le matériel scolaire ... Même votre musique ! ... Bientôt, nous aurons le contrôle total de votre réflexion."

Rosenthal dévoile que les programmes télévisés sont soigneusement conçus "pour faire appel aux émotions sensuelles, jamais à l'esprit pensant logique. Pour cette raison, les gens sont programmés pour répondre selon nos dictats, pas selon la raison."

Contrôle des églises chrétiennes

"Aucune loi n'est jamais adoptée si ce n'est que ses mérites ont déjà été enseignés depuis nos chaires. Un exemple en est l'égalité raciale qui a conduit à l'intégration et finalement au métissage. Le clergé crédule dit dans un souffle à ses paroissiens que nous sommes un peuple spécial et élu tandis que dans un autre souffle, il proclame que toutes les races sont les mêmes. Leur incohérence n'est jamais découverte. Ainsi, nous, les Juifs, jouissons d'une place particulière dans la société chrétienne tandis que toutes les autres races sont réduites à l'égalité raciale. C'est pour cette raison que nous avons créé le canular de l'égalité, réduisant ainsi le tout à un niveau inférieur."

Contrôle des Américains en utilisant la culpabilité

"Votre peuple n'a pas de courage. Nous déterminons votre pensée - nous plaçons même en vous un " complexe de culpabilité "qui vous fait peur de critiquer ouvertement la communauté juive."

"Nous, les Juifs, avons posé problème au peuple américain. Ensuite, nous faisons la promotion des deux côtés du problème alors que la confusion règne. Les yeux fixés sur les problèmes, ils ne parviennent pas à voir qui se cache derrière chaque scène. Nous, les Juifs, jouons avec le public américain comme un chat jouant avec une souris."

Rosenthal affirme que la société ne peut échapper à cet embrayage de la mort que par une action violente et non par l'éducation :

"L'histoire a été écrite dans le sang, pas avec de l'encre. Aucune lettre, aucun éditorial ou aucun livre n'a jamais rallié le peuple ou arrêté la tyrannie. Nous comprenons ce principe et faisons toujours de la propagande pour que le peuple écrive des lettres au Président, au Congrès ... Malheur à nous s'ils en voient jamais la futilité, ils poseraient la plume et utiliseraient l'épée."

Mais Rosenthal n'est pas inquiet. Faisant allusion à la promotion du féminisme et de l'homosexualité, il dit :

"Nous avons castré la société par la peur et l'intimidation. Sa virilité n'existe qu'en combinaison avec une apparence extérieure féminine. Étant ainsi stérilisée, la population est devenue docile et facilement gouvernable. Comme tous les hongres ... leurs pensées ne sont pas impliquées dans les préoccupations de l'avenir et leur postérité, mais seulement dans le présent et le prochain repas."

Rosenthal explique comment un gouvernement invisible "juif" contrôle également l'URSS :

"En Russie, il y a deux gouvernements distincts, l'un visible et l'autre invisible. Le visible est composé de nationalités différentes, tandis que l'invisible est composé de JUIFS. La puissante police secrète soviétique prend ses ordres du gouvernement invisible. Il y a environ six à sept millions de communistes en Russie soviétique, 50% sont des juifs et 50% sont des "gentils" (goyim, non juifs), mais les gentils ne se font pas confiance. Les juifs communistes sont unis et se font confiance, tandis que les autres s'espionnent. Environ tous les cinq à six ans, le Conseil juif secret appelle à la purge du parti et beaucoup de goyim sont liquidés.

Lorsque quelqu’un se demande pourquoi ? La réponse est : "Parce qu'ils commencent à comprendre qu'il existe un gouvernement secret juif. Les communistes russes obéissent aux ordres d’un groupe secret qui se compose uniquement de juifs. Ils règnent sur tout ce qui concerne le gouvernement visible. Cette puissante organisation est relié au centre secret du communisme à Tel-Aviv d'où toutes les instructions proviennent maintenant."

Rosenthal dit que les Juifs contrôlent l'ONU qui n'est "rien d'autre qu'une trappe à l'immense camp de concentration du monde rouge".

Toujours d'après Rosenthal, cette puissance, la Tyrannie invisible, est responsable des guerres et des révolutions des 200 dernières années. 

The Hidden Tyranny, the Harold Wallace Rosenthal interview - 1976


Stephen Lendman

Stephen Lendman est juif. Ce qui est écrit ci-dessous sont les mots d’un juif doté d’une conscience morale et qui ne peut tolérer les crimes épouvantables que le gouvernement de l’État d’Israël – soutenu à fond par les néocons américains qui ont dominé tous les gouvernements des États-Unis depuis Clinton – commet sur les Palestiniens.

"Beaucoup de juifs ont une conscience morale. Les juifs sont les critiques les plus virulents d’un gouvernement sioniste israélien adoré par les gentils Américains endoctrinés. Le gouvernement d’Israël dit des juifs qui le critiquent qu’ils sont atteints de haine de soi et s’efforce de les éliminer, avec beaucoup de succès, de leurs emplois dans les universités et les médias occidentaux.

Le Congrès américain, la mythique voix du peuple, est en fait la voix du gouvernement israélien cinglé. Les idiots du Congrès envoient effectivement chaque année à Israël les milliards de dollars de nos contribuables, que le gouvernement israélien utilise pour acheter les élections et les votes du Congrès.

Vous pouvez savoir qui sont les membres honnêtes de la Chambre et du Congrès. Ce sont les rares qui ne votent pas comme l’ordonne le lobby israélien. En général, ces représentants élus par les Américains ne restent pas longtemps à leur poste."


D'après des extraits de l'article :





dimanche 13 octobre 2024

Plainte à la CPI contre 1.000 soldats israéliens identifiés !



La Fondation Hind Rajab (du nom de la petite Palestinienne de Gaza assassinée par les tirs de 355 balles de la soldatesque) annonce le dépôt sans précédent d’une plainte auprès de la Cour Pénale Internationale contre plus de 1.000 soldats, chacun d’eux étant identifié, qu’elle accuse de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide.


Hind Rajab, 6 ans, assassinée avec tous les membres de sa famille et deux secouristes dans la nuit du 29 janvier 2024. Il a été établi que l’armée israélienne a tiré 355 fois, en connaissance de cause, sur la voiture où elle se trouvait, blessée et appelant au secours au téléphone, au milieu des cadavres de ses proches.


Ces individus, parmi lesquels on compte 12 franco-israéliens, « Se sont rendus coupables d’attaques systématiques contre des civils pendant le génocide en cours dans la bande de Gaza », indique l’ONG basée en Belgique.

Le dossier contient plus de 8.000 éléments de preuve à charge contre ces soldats : vidéos, enregistrements audio, rapports de médecine légale, documentation issue des réseaux sociaux, etc. qui confirment la participation directe aux massacres des personnes visées. Tous ont été présents dans la bande de Gaza pendant la campagne génocidaire.

Le travail méticuleux de recueil des preuves a notamment mis en évidence :

- Destruction d’infrastructures civiles : ciblage d’habitations, d’hôpitaux, d’écoles, de marchés, de mosquées et autres biens civils.

- Occupation illégale et pillage : documentation de soldats occupant des logements de civils, s’adonnant au pillage et exploitant les lieux occupés.

- Participation au blocus de Gaza : les soldats concernés ont eu une participation active dans la mise en œuvre d’un blocus qui a privé la population civile de nourriture, d’eau et de médicaments.

- Ciblage de civils : les documents audio et vidéo versés au dossier montre des soldats attaquant délibérément des non-combattants, journalistes et personnels de santé notamment.

- Recours à des tactiques guerrières inhumaines, comme les campagnes de bombardements indiscriminés, le recours à l’arme de la famine, ou encore la destruction systématique d’infrastructures civiles.

Des officiers supérieurs sont sur la liste

Parmi les militaires cités, tous individuellement identifiés insiste la Hind Rajab Foundation, on trouve des officiers de rang élevé, ayant planifié et fait exécuter les opérations à Gaza.

Un total de 33 binationaux ont été identifiés, dont 12 Français, 12 États-uniens, 4 Canadiens, 3 Britanniques et 2 Néerlandais, de même que « plusieurs soldats qui se sont ouvertement vantés de leurs crimes sur les réseaux sociaux, images à l’appui ».


« Le dépôt de cette plainte représente une étape importante du combat pour que la justice soit rendue. Nous honorons la mémoire de Hind Rajab et des innombrables victimes du génocide. Leur tragédie ne sera pas oubliée, et nous ferons entendre leurs voix à travers la présente action judiciaire », conclut la Fondation.

samedi 12 octobre 2024

Près de 800 procédures ont été engagées contre les partisans de la cause palestinienne


Yannis Arab, doctorant en histoire spécialisé sur la Palestine, a été arrêté chez lui à Moirans (Isère) le 8 octobre, à l’aube, dans une perquisition musclée.


"La police débarque cagoulée pour un simple tweet pro-palestinien, comme si le type menaçait la sécurité nationale française." Philippe Grenier.


Accusé d'"apologie du terrorisme", il a été libéré quelques heures plus tard, mais son ordinateur reste confisqué dans le cadre d'une enquête qui se poursuit. 

Cet événement, dénoncé par ses soutiens, s'inscrit dans un contexte de répression croissante des défenseurs de la cause palestinienne en France.


Ce matin-là, vers 6h30, la gendarmerie, accompagnée de forces spéciales lourdement armées, a forcé la porte du domicile familial de Yannis Arab. Menotté et plaqué au sol sous les yeux de ses parents, il a ensuite été emmené en garde à vue.

L'enquête porte sur des faits d'"apologie du terrorisme", qui auraient été commis entre 2022 et 2024, notamment à travers des publications sur les réseaux sociaux.

L'historien aurait qualifié le Hamas de "mouvement de résistance" dans un post du 7 octobre 2023, en évoquant la violence palestinienne comme une réponse à l'occupation israélienne.

Une arrestation contestée

Maître Rafik Chekkat, l'avocat de Yannis Arab, dénonce une procédure "injustifiée et répressive", ciblant les militants pro-palestiniens. Et d'expliquer:

Près de 800 procédures similaires ont été engagées depuis un an contre des individus ou organisations dénonçant les violences en Palestine.

Cette situation reflète la volonté affichée du gouvernement de durcir sa position face aux expressions de solidarité avec la Palestine, particulièrement dans les universités. Le ministre de l'Enseignement supérieur, Patrick Hetzel, a notamment pris des mesures pour limiter ces soutiens sur les campus.

Libéré en début d'après-midi, Yannis Arab a pu rejoindre sa famille traumatisée, mais l'enquête est toujours en cours. Son ordinateur, ainsi que des effets personnels, ont été saisis pour être examinés. Un nouveau rassemblement de soutien a eu lieu, réunissant des militants venus de Grenoble, Chambéry et même Marseille.

Le témoignage de Yannis Arab: "Secoué mais déterminé"

Dans un communiqué publié après sa libération, Yannis Arab revient sur la violence de cette intervention, dénonçant l'usage excessif de la force contre sa famille. Il écrit:

Je n'oublierai pas et ne pardonnerai pas cette violence que ma famille a subie en raison de MON combat pour la dignité et les droits d'un peuple.

Il raconte également comment son jeune frère de 16 ans a été plaqué au sol et menotté lors de l'intervention.

Malgré cette épreuve, Yannis Arab reste résolument engagé. "Leur violence à mon égard n'a pas eu l'effet escompté : la peur et le silence. Non, au contraire. Je suis déterminé plus que jamais à défendre la dignité et les droits du peuple palestinien", affirme-t-il.

Le soutien autour de Yannis Arab semble grandir, comme en témoigne la quarantaine de personnes qui se sont réunies devant son domicile après sa libération. Pour ses proches, cette affaire symbolise la répression croissante visant ceux qui osent dénoncer les violences contre la Palestine, dans un climat où toute opposition à la politique israélienne est de plus en plus criminalisée.


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Yannis Arab

Cet écrit est le témoignage d'un jeune Palestinien étudiant à Grenoble de 2009 à 2014 et ayant vécu vingt-deux ans dans une banlieue de Gaza. À travers cet ouvrage il nous raconte sa jeunesse.

La description des drames vécus par la population civile rappelle à tous des faits historiques peu contestables. Et malgré cela, l’auteur nous donne un message de paix, et aussi un d’espoir de voir ce conflit Israélo-Palestinien se terminer un jour.


"Les Israéliens n'en ont strictement rien à foutre de nos jérémiades"



Franck WALDEN censuré pour avoir critiqué Israël et défendu les Palestiniens



L'écrivain animaliste franco-israélien, Franck Walden, se définit comme "Juif séculier anticolonial et défenseur de la dignité humaine et animale". Il écrit :

Je pense qu'on fait fausse route d'invectiver encore et toujours Israël : les Israéliens n'en ont strictement rien à foutre de nos jérémiades. Rien à foutre, car ils jouissent d'une incroyable impunité internationale

Dès lors, toutes les oppressions commises contre les Palestiniens, autrefois cachées, se font désormais au grand jour, quand elles ne sont pas idéologiquement revendiquées. Cela n'empêche pas les sionistes d'accuser systématiquement leurs détracteurs d'antisémitisme, quand eux-mêmes exacerbent une haine anti-arabe largement décomplexée et normalisée dans la population. Faites ce que je dis mais ne dites pas ce que je fais. Israël est sans nul doute aujourd'hui dans le trio de tête des pays les plus moralement décadents.

Mais ce n'est pas un problème, les Israéliens étant bouffis de cette arrogance infinie de l'enfant gâté pourri, convaincu d'avoir tous les droits, dont celui de tout casser dans la maison, et qui chouine très fort si on élève un peu le ton contre ses excès ! Non, inutile d'essayer de raisonner un psychopathe qui se croit tout-puissant, c'est peine perdue.

Les sionistes, et plus encore les sionistes ultrareligieux, sont perdus pour l'humanité. Tellement dégénérés que cela en est incurable. Aujourd'hui, pour protéger les Palestiniens, l'unique moyen c'est de conspuer et de mettre une pression de dingue sur nos propres leaders. Mettre fin à l'impunité. L'impunité est la racine du mal. Boycott, isolement diplomatique, blocus économique, arrêt du commerce international avec Israël etc.

Bref, faire très très mal à son économie et à son rayonnement, tant que ce pays, qui a complètement dévissé des droits de l'homme, continuera l'oppression et la colonisation contre les Palestiniens. Sans cesse, harceler nos politiques sur la question palestinienne. Même s'ils n'ont pas de pouvoir direct, ils ont des réseaux d'influence.

Il faut leur pourrir la vie avec ça, jusqu'à ce qu'il plient.

Même s'ils abordent un autre sujet, sans cesse les interpeller sur le nécessaire boycott d'Israël. Y compris et surtout sur les réseaux sociaux, quand ils émettent des tweets. Inclure Israël et la Palestine dans les réponses même si c'est hors-sujet !

Que ce thème devienne un gros caillou tranchant dans la chaussure de leurs démarches. Les mettre en porte-à-faux encore et encore.

Les Sud-Africains ont fini par plier quand toutes les portes se sont fermées contre l'apartheid : comme quoi la méthode marche.

Raisonner un psychopathe ne sert à rien, je le répète. Il faut rompre les relations diplomatiques avec Israël (ce que le Nicaragua a fait le vendredi 11 octobre 2024 - voir ci-dessous).

Il faut que les Israéliens se sentent désormais comme des pestiférés dans le reste du monde, pas seulement dans les réseaux sociaux, mais dans tous les lignes économiques, diplomatiques, culturelles possibles. Il faut qu'ils se sentent incroyablement seuls.

Car tant que le prix à payer de leurs outrances reste nul, alors aucune raison à ce qu'ils fassent marche arrière des sentiers de la cruauté, d'où ils cavalent de plus en plus vite, et de plus en plus nombreux.

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Le Nicaragua rompt ses liens diplomatiques avec Israël


MANAGUA, 11 octobre (Xinhua) :

Le gouvernement nicaraguayen a annoncé vendredi la rupture des relations diplomatiques avec le gouvernement d'Israël en réponse à ce qu'il a appelé "le génocide brutal" que l'Etat hébreu commet contre le peuple palestinien.

Cette décision répond à une demande des députés de l'Assemblée nationale, qui ont approuvé une motion de condamnation lors d'une session spéciale organisée à l'occasion du premier anniversaire du conflit dans la bande de Gaza.

Cette motion condamne "la poursuite du génocide, de la cruauté, de la haine extrême et de l'extermination par le gouvernement d'Israël", a indiqué le gouvernement nicaraguayen dans un communiqué.

Il s'agit là d'une décision prise "en solidarité permanente" avec le peuple et le gouvernement de Palestine et qui est conforme au droit international et aux conventions qui régissent les relations entre Etats et entre gouvernements, a-t-il ajouté.

Le gouvernement dirigé par le président Daniel Ortega a également réitéré "l'exigence du respect de toutes les résolutions des Nations Unies" pour un Etat de Palestine "libre, souverain, indépendant et autodéterminé".

Le communiqué exprime également une "affection chaleureuse et constante" pour les familles israéliennes, qui "vivent des moments difficiles en raison de la brutalité excessive et de la haine du gouvernement d'Israël". Fin

Le projet sioniste expliqué en 3 minutes



Camille Moscow  (Archive) 

 
"Eradiquer Gaza, décapiter les arabes à la hache et soumettre les Goyim", Alain Soral explique le projet sioniste à France 2 (2015).

"C’est revendiqué par toutes les élites juives au pouvoir", rappelait-il dans une interview non diffusée de France 2, venu tenter de piéger Soral.

Israël, après s'être fait passer pour une expérience laïque et nationaliste de type néo-européenne, accomplit ni plus ni moins que le projet biblique.

Et Soral de recadrer : "Je vous rappelle que le pouvoir sioniste est un pouvoir d'extrême droite, puisque c'est la coalition de militaires avec un projet de purification ethnique assumée."


En 2023, Yoav Gallant, ministre israélien de la défense, révèle au monde entier le racisme et l'intention génocidaire de l'entité sioniste :

"Nous imposons un siège complet à la population de Gaza. Il n'y aura pas d'électricité, pas de nourriture, pas d'eau, pas de carburant. Tout est fermé. Nous combattons des animaux humains et nous agissons en conséquence."

9 octobre 2024, Laurent Ozon, intellectuel écologiste et homme politique :

"Si Netanyahou décapitait des types ligotés à la hache, devant caméra, en prétendant se défendre, je crois que la droite bourgeoise française ferait encore sa promotion. 

Ces gens ont tellement à se faire pardonner, tellement à faire oublier, tellement la trouille et sont tellement heureux de n'être plus le souffre-douleur des campagnes de démonisation, qu'il lécheront le sol entre ici et Jérusalem pour jouir du sentiment d'être enfin du bon côté de l'histoire. Du moins jusqu'à la prochaine libération."




vendredi 11 octobre 2024

Camp de Jabalia, les secouristes sauvent un enfant




"Un enfant a été sorti des décombres d'une maison dans le camp de Jabalia, au nord de la bande de Gaza."

Emelia (pseudo Bernadotte 22), militante pour la paix.




Bernadotte

Assassinat par des terroristes juifs du diplomate suédois Folke Bernadotte (qui sauva la vie de 31 000 Juifs durant la Seconde Guerre mondiale) :




Ce 17 septembre 1948, l’un des médiateurs de l’ONU, le comte Folke Bernadotte est assassiné à Jérusalem par des terroristes juifs qui attaquent le petit convoi de trois voitures blanches portant les drapeaux de l’ONU et de la Croix-Rouge. Assassiné pour avoir proposé dans son rapport une redivision du pays en 2 parties égales et le retour inconditionnel de tous les réfugiés. C’est grâce à Bernadotte que le 4 novembre 1948 l’AG de l’ONU vote la résolution 194 en faveur du Droit au retour des réfugiés. Le comte Bernadotte avait aussi obtenu une trêve des combats en juillet mais l’armée israélienne en profita pour continuer le nettoyage ethnique.

Le colonel André Sérot, officier français détaché auprès des Nations unies qui était dans la voiture de Folke Bernadotte fut lui aussi assassiné.

Les 3 tueurs appartiennent au groupe Léhi (appelé Stern) dont l’un des 3 dirigeants Yitzhak Shamir, deviendra premier ministre d’Israël. Le 6 novembre 1944, au Caire, le Léhi avait déjà assassiné Lord Moyne, le représentant officiel du Royaume-Uni en Égypte.

L’Irgoun, mouvement dirigé par Menachem Begin (qui fut aussi premier ministre !) avait introduit le terrorisme dans les années 1930 (bombes et grenades dans les marchés arabes ou sur des autobus, ...). Parmi les attentats les plus marquants : le 22 juillet 1946, l’Irgoun fait sauter l’hôtel King David abritant le QG britannique à Jérusalem (91 morts et 46 blessés) ; massacre le 9 avril 1948, avec le Lehi, dans le village palestinien de Deir Yassine (120 morts).

Si après l’assassinat de Bernadotte, le premier ministre Ben Gourion démantela le Léhi et l’Irgoun pour calmer l’ONU, cet acte fut couvert et l’enquête sabotée. Un seul des trois dirigeants du Léhi fera 15 jours de prison. Shamir entra au Mossad puis fut premier ministre à 2 reprises ! Yeoshua Cohen, qui a par la suite avoué avoir tiré sur Bernadotte fut l’un des fondateurs d’un kibboutz du Negev où David Ben Gourion prendra sa retraite. Il sera un proche ami de Cohen, tenant à se faire filmer à son bras lors sa promenade matinale.

Sources : Ilan Pappe, Dominique Vidal, Sandrine Mansour, Alain Gresh, Pierre Prier.



Fatima tuée par Tsahal le 10 octobre 2024

 




"Fatima. Assassinée hier au Liban par Israël.

Fatima n’aura droit à rien, pas d’hommage, pas de Tour Eiffel éteinte, pas de larmes de plateaux tv. On l’appellera "dommage collatéral" et on écartera d’un geste dédaigneux son existence volée."

Claude El Khal


Macron est-il fier de porter sur lui le collier de Tsahal, remis naguère par le grand rabbin de France ?



La barbarie qui nous déshonore pour l’éternité



Aymeric Caron, député de Paris (18ème circonscription), fondateur de la Révolution Écologique pour le Vivant (REV) :

"Des bouts de corps coupés en morceaux. Ici des jambes qui étaient celles d’un enfant. Au pied de l’une d’entre elles est encore attachée une chaussure de sport blanche.

Les bouts sont mis dans un drap, lequel est chargé dans une ambulance dont la carrosserie est tachée de sang. Ces images, quotidiennes depuis un an, sont celles de l’horreur. Elles devraient rejoindre dans l’Histoire les témoignages les plus odieux de la barbarie qui nous déshonore pour l’éternité. Surtout quand elles sont accompagnées d’un silence qui les légitime."



"Israël est un Etat qui commet des crimes épouvantables"


Sylvain Cypel : "Israël est un État qui met en danger pas seulement ses propres citoyens sur l'avenir, mais c'est un État qui ne reconnaît rien du droit international. C'est un État qui commet des crimes épouvantables". 



Juif et Israélien d’origine, Sylvain Cypel "est en total désaccord, non seulement avec la politique d’Israël, mais encore avec l’opinion de la plupart de ses compatriotes et de ses coreligionnaires. Ceux-ci, démontre-t-il, sont emportés dans une logique ethniciste.

Journaliste, Sylvain Cypel est au courant des faits. Pour lui, ils ne sont pas cachés, bien au contraire. Il suffit de lire la presse israélienne, pour se rendre compte de ce qui se trame aujourd’hui en Palestine, contre les Arabes, et en Israël contre les Juifs mal-pensants." Il est l'auteur de :

Après Gaza - Nouvelle édition augmentée

Après le massacre commis par le Hamas près de Gaza le 7 octobre 2023, ayant causé la mort de 1 140 personnes, la guerre menée par Israël a fait plusieurs dizaines de milliers de victimes chez les Palestiniens et déplacé par la force 80 % d'entre eux, suscitant des plaintes internationales pour crimes "de génocide" et "contre l'humanité"

Ce livre explique en quoi les agissements de l'armée israélienne sont l'aboutissement d'une longue maturation.

Imagine-t-on en France une loi qui établirait deux catégories de citoyens : par exemple, les "Français de souche" et les autres, qui ne bénéficieraient pas de droits égaux ? Une telle loi a été votée par le Parlement israélien en 2018, au bénéfice des seuls citoyens juifs. De par le monde, les dirigeants "illibéraux" plébiscitent désormais Israël, fascinés par sa capacité à imposer une idéologie "identitaire", où xénophobie et islamophobie bénéficient d'un large soutien populaire. Avec quelles conséquences, pour les Palestiniens comme pour les Israéliens ?

En France, le CRIF, représentant du judaïsme et lobby pro-israélien, promeut un soutien sans faille aux actions des gouvernants d'Israël. 

Mais, aux États-Unis, des responsables juifs et plus encore la jeunesse juive dénoncent l'occupation indigne des Territoires palestiniens. Va-t-on vers un divorce irrémédiable entre Juifs israéliens, engoncés dans le tribalisme, et Juifs américains, qui redécouvrent les attraits de la diaspora ?

Sylvain Cypel

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Aux USA, des rabbins dénoncent le génocide des Palestiniens.


Nous ne resterons pas silencieux ! 
C'est un génocide !

En France, quand la "loi pour consacrer la lutte contre l’antisémitisme" du sénateur Stéphane LE RUDULIER (https://www.senat.fr/leg/ppl24-003.html) sera votée, les personnes, y compris les rabbins, qui dénonceront les crimes d'Israël seront emprisonnées.





Moses Hess, maître de Karl Marx, le rabbin rouge du Sionisme





Moses Hess, né le 21 juin 1812 à Bonn et mort le 6 avril 1875 à Paris, est un philosophe socialiste allemand, proche de Karl Marx et de Friedrich Engels, très engagé dans les luttes ouvrières en Allemagne.

Il est aussi considéré comme l’un des fondateurs du sionisme avec son livre "Rome et Jérusalem", qui « est tout simplement, trente-trois ans avant le "Judenstaat" de Theodor Herzl, la première expression articulée du sionisme politique ».Wikipédia



Extrait de Marx et Satan de Richard Wurmbrand :

“Pour compléter le tableau, nous considérerons Moses Hess, l’homme qui a converti Marx et Engels à l’idéal socialiste.

Il existe en Israël une pierre tombale sur laquelle sont inscrits les mots « Moses Hess, fondateur du parti social-démocrate allemand ». Hess expose ses convictions dans le Catéchisme rouge pour le peuple allemand :

“Qu’est-ce que le noir ? Le clergé est noir… Ces théologiens sont les pires aristocrates… Le clergé enseigne aux princes à opprimer le peuple au nom de Dieu. Deuxièmement, il enseigne au peuple à se laisser opprimer et exploiter au nom de Dieu. Troisièmement et principalement, il se procure, avec l’aide de Dieu, une vie splendide sur terre, tandis qu’il est conseillé aux hommes d’attendre le ciel.

Le drapeau rouge symbolise la révolution permanente jusqu’à la victoire complète des classes ouvrières dans tous les pays civilisés : la république rouge…. La révolution socialiste est ma religion…. Les ouvriers, lorsqu’ils ont conquis un pays, doivent aider leur frères du reste du monde.”

C’était la religion de Hess lorsqu’il publia pour la première fois son Catéchisme. Dans la deuxième édition, il a ajouté quelques chapitres. Cette fois, la même religion, c’est-à-dire la révolution socialiste, utilise le langage chrétien pour s’accréditer auprès des croyants. À côté de la propagande révolutionnaire, il y a en effet quelques belles paroles sur le christianisme en tant que religion d’amour et d’humanité. Mais son message doit être plus clair : son enfer ne doit pas être sur terre et son paradis au-delà. La société socialiste sera le véritable accomplissement du christianisme. Ainsi Satan se déguise en ange de lumière.

Après que Hess ait convaincu Marx et Engels de l’idée socialiste, affirmant dès le début que son objectif serait de donner « le dernier coup de pied à la religion médiévale » (son ami Georg Jung l’a dit encore plus clairement : "Marx chassera sûrement Dieu de son ciel"), un développement intéressant a eu lieu dans la vie de Hess. Celui qui a fondé le socialisme moderne a également fondé un mouvement totalement différent, une forme spécifique du sionisme.

Ainsi Hess, fondateur d’un socialisme dont le but était de « chasser Dieu du ciel », fut également le fondateur d’un type de sionisme diabolique qui devait détruire le sionisme pieux, le sionisme de l’amour, de la compréhension et de la concorde avec les nations environnantes. Celui qui a enseigné à Marx l’importance de la lutte des classes a écrit en 1862 ces mots surprenants : « La lutte des races est première, la lutte des classes est secondaire.

Il avait allumé le feu de la guerre des classes, un feu jamais éteint, au lieu d’apprendre aux gens à coopérer pour le bien commun. Le même Hess engendre alors un sionisme déformé, un sionisme de lutte raciale. Tout comme nous rejetons le marxisme satanique, tout juif ou chrétien responsable doit également rejeter cette perversion diabolique du sionisme.

Hess revendique Jérusalem pour les Juifs, mais sans Jésus, le roi des Juifs. Quel besoin Hess a-t-il de Jésus ? Il écrit :

“Chaque Juif a en lui-même la constitution d’un Messie, chaque Juive celle d’une Mater Delorosa en elle-même.”

Alors pourquoi diable n’a-t-il pas fait du Juif Marx un Messie, un homme oint de Dieu, au lieu d’un haineux déterminé à chasser Dieu du ciel ? Pour Hess, Jésus est « un Juif que les païens ont déifié comme leur Sauveur ». Ni Hess ni les Juifs ne semblent avoir besoin de Lui pour eux-mêmes.

Hess ne souhaite pas être sauvé lui-même, et le fait qu’un individu recherche la sanctification personnelle est « indo-allemand », dit-il. Le but des Juifs, selon lui, doit être « un État messianique », « préparer l’humanité à la révélation de l’essence divine », ce qui signifie, comme il le reconnaît dans son Catéchisme Rouge, mener la révolution socialiste par la voie raciale et la lutte des classes.

Moses Hess, qui a confié à son idole Marx la tâche de mettre fin à la religion médiévale pour la remplacer par la religion de la révolution socialiste, écrit ces mots étonnants : « J’ai toujours été édifié par les prières hébraïques. Quelles prières disent ceux qui considèrent la religion comme l’opium du peuple ? Nous avons déjà vu que le fondateur de l’athéisme scientifique priait en portant des phylactères avant d’allumer des bougies. Les prières juives peuvent être utilisées à mauvais escient dans un sens blasphématoire, tout comme les prières chrétiennes sont perverties dans les rituels satanistes.

Hess avait enseigné à Marx que le socialisme était indissociable de l’internationalisme. Marx écrit dans son Manifeste du Parti Communiste que le prolétariat n’a pas de patrie. Dans son Catéchisme rouge, Hess se moque de la notion de patrie des Allemands, et il aurait fait la même chose avec la notion de patrie de n’importe quelle autre nation européenne. Hess a critiqué le programme d’Erfurt du parti social-démocrate allemand pour sa reconnaissance inconditionnelle du principe national. Mais Hess est un internationaliste avec une différence : le patriotisme juif doit perdurer. Il écrit :

“Celui qui nie le nationalisme juif est non seulement un apostat, un renégat au sens religieux du terme, mais aussi un traître envers son peuple et sa famille. S’il s’avère vrai que l’émancipation des Juifs est incompatible avec le nationalisme juif, alors le Juif devra sacrifier l’émancipation… Le Juif doit être avant tout un patriote juif.”

Je suis d’accord avec les idées patriotiques de Hess dans la mesure où ce qui convient à l’un convient à l’autre. Je suis pour toutes les formes de patriotisme : celui des Juifs, des Arabes, des Allemands, des Russes, des Américains. Le patriotisme est une vertu s’il signifie l’effort de promouvoir économiquement, politiquement, spirituellement et religieusement le bien-être de sa propre nation, à condition que cela soit fait en amitié et en coopération avec d’autres nations. Mais le patriotisme juif d’un socialiste révolutionnaire qui nie le patriotisme de toutes les autres nations est hautement suspect. Cela semble être un plan diabolique visant à amener tous les peuples à haïr les Juifs.

Si j’étais un non-juif et voyais les Juifs accepter le plan de patriotisme unilatéral de Hess, je m’y opposerais. […]

La lutte raciale proposée par Hess est fausse, aussi fausse que la lutte des classes qu’il a préconisée.

Hess n’a pas abandonné le socialisme pour ce type spécifique de sionisme. Après avoir écrit à Rome et à Jérusalem, il continue à être actif dans le mouvement socialiste mondial.

Hess n’exprime pas clairement sa pensée ; il est donc difficile de les évaluer. Il suffit de savoir que selon lui, « le monde chrétien considère Jésus comme un saint juif devenu païen ». Il nous suffit de lire dans son livre : « Nous aspirons aujourd’hui à un salut bien plus complet que celui que le christianisme a jamais pu offrir. » Il ressort du Catéchisme Rouge que ce salut plus global est la Révolution Socialiste.[…]

Personne ne peut être chrétien sans aimer les Juifs. Jésus était juif, tout comme la vierge Marie et tous les apôtres. La Bible est juive. Le Seigneur a dit : « Le Salut vient des Juifs » (Jean 4 :22). Hess, en revanche, exaltait les Juifs comme s’il voulait consciemment susciter une violente réaction anti-juive. Il disait que sa religion était celle de la révolution socialiste. Le clergé de toutes les « autres » religions était des escrocs. La révolution était la seule religion pour laquelle Hess avait une grande estime. Il écrit :

“Notre religion (la religion juive) a pour point de départ l’enthousiasme d’une race qui, dès son apparition sur la scène de l’histoire, a prévu les desseins finaux de l’humanité et qui pressentait l’époque messianique dans laquelle l’esprit de l’humanité serait né. réalisé, non seulement chez tel ou tel individu ou seulement partiellement, mais dans les institutions sociales de toute l’humanité.”

Cette époque – que Hess qualifie de « messianique » – est celle de la victoire de la révolution socialiste mondiale. L’idée selon laquelle la religion juive aurait pour point de départ le concept d’une révolution socialiste athée est une vilaine plaisanterie et une insulte au peuple juif.

Hess parle constamment en termes religieux, mais il ne croit pas en Dieu. Il écrit que « notre Dieu n’est rien d’autre que le genre humain uni dans l’amour ». La voie pour parvenir à une telle union est la révolution socialiste, dans laquelle des dizaines de millions de spécimens de son humanité bien-aimée seront torturés et tués.

Il ne cache pas qu’il ne souhaite ni la domination du Ciel, ni celle des puissances terrestres, toutes deux oppressives. Il n’y a de bon dans aucune religion, sauf celui de la révolution sociale.

Il est inutile et inefficace d’élever le peuple à la liberté réelle et de le faire participer aux biens de l’existence, sans le libérer de l’esclavage spirituel, c’est-à-dire de la religion.

Il parle d’un seul souffle de « l’absolutisme des tyrans célestes et terrestres sur les esclaves ».

Les profondeurs sataniques du communisme ne peuvent être comprises qu’en connaissant le genre d’homme qu’était Moses Hess, car il a influencé Marx et Engels, avec lesquels il a fondé la Première Internationale, ainsi qu’avec Bakounine. Sans la connaissance de Hess, Marx est inintelligible, car c’est lui qui a amené Marx au socialisme.

Considérez les mots de Marx déjà cités :

“Les mots que j’enseigne se mélangent dans un fouillis diabolique. Ainsi, chacun peut penser exactement ce qu’il choisit de penser.”

Marx a écrit de cette manière. Les écrits de Hess constituent une confusion encore plus diabolique, difficile à démêler mais qui doit être analysée pour déceler d’éventuels liens entre Marx et le satanisme.

Le premier livre de Hess s’intitulait La Sainte Histoire de l’humanité. Il proclama que c’était « une œuvre du Saint-Esprit de Vérité », ajoutant en outre que, de même que le Fils de Dieu libérait les hommes de leur propre esclavage, Hess les libérerait de l’esclavage politique. “Je suis appelé à témoigner de la Lumière, comme Jean l’a été.”

A cette époque, Marx, qui était encore opposé au socialisme et ne connaissait pas personnellement Hess, commença à écrire un livre contre lui. Pour des raisons inconnues, ce livre n’a jamais été achevé. Il devint plus tard le disciple de Hess.

Comme indiqué précédemment, les objectifs avoués de Hess étaient d’achever la religion médiévale et de provoquer des ravages. Dans l’introduction de son livre Le Jugement Dernier, il se déclare satisfait que le philosophe allemand Kant ait prétendument « décapité le vieux Père Jéhovah ainsi que toute la sainte famille ». (Hess couvre ses propres idées du nom du grand philosophe. Kant n’avait pas eu de telles intentions. Il avait écrit au contraire : « J’ai dû limiter la connaissance pour faire place à la foi. »)

Hess déclare « mortes » aussi bien la religion juive que la religion chrétienne, ce qui ne l’empêche pas d’écrire dans Rome et Jérusalem sur « nos saintes écritures », « la langue sainte de nos pères », « notre culte », « la les lois divines », « les voies de la Providence » et « la vie pieuse ».

Ce n’est pas qu’à différentes étapes de sa vie, il ait eu des opinions différentes. Dans son livre sioniste, il déclare qu’il ne renie pas ses anciennes entreprises impies. Non, il s’agit d’une « confusion diabolique » intentionnelle.

Hess était juif et précurseur du sionisme. Parce que Hess, Marx et d’autres personnes comme eux étaient juifs, certains considèrent le communisme comme un complot juif. Mais Marx a également écrit un livre anti-juif. Sur ce point aussi, il a simplement suivi Hess.

Ce sioniste, Hess, qui élève la communauté juive au ciel, a écrit dans son livre À propos du système monétaire :

“Les Juifs, qui avaient pour rôle, dans l’histoire naturelle du monde animal social, de faire de l’humanité un animal sauvage, ont rempli leur tâche professionnelle. Le mystère du judaïsme et du christianisme a été révélé dans le judéo-chrétien moderne. Le mystère du Sang du Christ, comme le mystère de l’ancien culte juif du sang, apparaît ici dévoilé comme étant le mystère de l’animal prédateur.”

Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas ces mots. Ils ont été écrits « mélangés dans une confusion diabolique », mais la haine pour la judéité qu’ils contiennent est claire. Hess est un raciste, juif aussi bien qu’antijuif, selon les besoins de l’Esprit qui a inspiré ses œuvres et qu’il qualifie de « saint ».

Hitler aurait pu apprendre son racisme de Hess. Lui qui avait enseigné à Marx que la classe sociale est un facteur décisif écrivait aussi le contraire : « La vie est un produit immédiat de la race ». Les institutions et conceptions sociales, tout comme les religions, sont des créations typiques et originales de la race. Le problème de la race se cache derrière tous les problèmes de nationalités et de liberté. Toute l’histoire passée a été consacrée à la lutte des races et des classes. La lutte raciale est primordiale ; la lutte des classes est secondaire.

Comment Hess fera-t-il triompher tant d’idées contradictoires ?

“J’utiliserai l’épée contre tous les citoyens qui résistent aux efforts du prolétariat.”

Nous entendrons la même chose de Marx :

“La violence est l’accoucheuse qui fait sortir la nouvelle société du sein de l’ancienne.”

Le premier professeur de Marx fut le philosophe Hegel, qui n’a fait qu’ouvrir la voie à Hess. Marx aussi avait têté le poison de Hegel, pour qui le christianisme était misérable en comparaison du passé glorieux de la culture grecque. Hegel écrivait : « Les chrétiens ont accumulé tellement de raisons de se consoler dans le malheur… que nous devrions finalement regretter de ne pouvoir perdre un père ou une mère une fois par semaine », alors que pour les Grecs « le malheur était malheur, la douleur était la douleur.»

Le christianisme avait été satirisé en Allemagne avant Hegel. Mais il fut le premier à faire la satire de Jésus lui-même. Il a aussi écrit de belles choses sur le christianisme, la même « confusion diabolique ».

Nous sommes ce dont nous nous nourrissons. Marx s’est nourri d’idées sataniques ; c’est pourquoi il a créé une doctrine sataniste.”



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La version papier du livre de Wurmbrand Richard, "Karl Marx et Satan", se vend à plus de 100 € sur Amazon.

La version numérique de "Karl Marx et Satan" est gratuite ICI.







jeudi 10 octobre 2024

Les Israéliens exterminent méthodiquement la population de Gaza


Des corps déchiquetés par les bombes israéliennes


10 octobre, massacre des Palestiniens à Deir Al-Balah 

Tsahal a obligé les Palestiniens à quitter le nord de Gaza pour aller au sud. Au sud, les malheureux déplacés ne trouvent pas de répit, ils sont impitoyablement massacrés partout où ils se trouvent.

 Images prises aujourd'hui à Deir Al-Balah :




Selon Scott Ritter, un ancien officier du renseignement du Corps des Marines des États-Unis, nous allons assister à la chute d'Israël.


"Le raid du Hamas, écrit Scott Ritter, a déclenché un certain nombre de réponses diverses, dont certaines étaient intentionnelles, comme celle visant à attirer les forces de défense israéliennes à Gaza, où elles se retrouveraient piégées dans une guerre éternelle qu'elles ne pourraient pas gagner, déclenchant la double doctrine israélienne régissant la réponse militaire à la prise d'otages, la « doctrine Hannibal » et la pratique israélienne de punition collective, la « doctrine Dahiya ».

Ces deux doctrines montrent l’armée israélienne aux yeux du monde comme l’antithèse de « l’armée la plus morale du monde » en exposant l’intention génocidaire ancrée dans l’ADN de l’armée israélienne, une propension à la violence contre des innocents qui définit la manière israélienne de faire la guerre et, par extension, la nation israélienne.

Avant le 7 octobre 2023, Israël était parvenu à dissimuler sa véritable nature au monde extérieur, en convainquant tout le monde, à l’exception d’une poignée d’activistes, que ses actions visant les « terroristes » étaient proportionnées et humaines.

Aujourd’hui, le monde connaît Israël comme l’État d’apartheid génocidaire qu’il est en réalité. [...]

Telle est la réalité actuelle d’Israël : en un an, il est passé du statut de « pays qui changeait le visage du Moyen-Orient » à celui de paria intenable dont le seul salut est le fait qu’il bénéficie du soutien continu des États-Unis pour le soutenir militairement, économiquement et diplomatiquement.

Et c'est là que réside le hic.

Ce qui rendait Israël attractif aux yeux des États-Unis – l’avantage stratégique d’une enclave juive pro-américaine dans un océan d’incertitudes arabes – n’est plus aussi solide qu’auparavant. La guerre froide est révolue depuis longtemps et les avantages géopolitiques tirés des relations américano-israéliennes ne sont plus évidents.

L’ère de l’unilatéralisme américain est en train de disparaître, remplacée rapidement par une multipolarité dont le centre de gravité se situe entre Moscou, Pékin et New Delhi. Alors que les États-Unis s’adaptent à cette nouvelle réalité, ils se trouvent engagés dans une lutte pour conquérir les cœurs et les esprits du « Sud global », c’est-à-dire le reste du monde en dehors de l’UE, de l’OTAN et d’une poignée de pays pro-occidentaux du Pacifique.

La clarté morale que les dirigeants américains cherchent à apporter sur la scène internationale est considérablement obscurcie par leur soutien inconditionnel et continu au génocide pratiqué par Israël.

Dans ses actions postérieures au 7 octobre 2023, Israël s’est auto-identifié comme un État génocidaire totalement incompatible avec toute notion de droit international ou avec les préceptes fondamentaux de l’humanité.

Même certains survivants de l’Holocauste reconnaissent que l’Israël moderne est devenu la manifestation vivante du mal même qui a servi de justification à sa création : l’idéologie brutalement raciste de l’Allemagne nazie.

Israël est l’anathème de tout ce que représente la civilisation moderne.

Le monde prend progressivement conscience de cette réalité.

Il en va de même pour les États-Unis.

Pour l’instant, le lobby juif monte une action d’arrière-garde, jetant tout son poids derrière les candidats politiques dans une tentative désespérée d’acheter le soutien continu de leurs bienfaiteurs américains.

Mais la réalité géopolitique veut que les États-Unis ne se suicident pas au nom d’un État israélien qui a perdu toute légitimité morale aux yeux de la majeure partie du monde.

Le soutien américain à Israël a des conséquences économiques, notamment en raison de l’attraction gravitationnelle accrue du forum BRICS, dont la liste croissante de membres et de ceux qui souhaitent y adhérer se lit comme un who’s who des nations fondamentalement opposées à l’État israélien.

La crise sociale et économique qui s’aggrave aujourd’hui aux États-Unis va créer une nouvelle réalité politique dans laquelle les dirigeants américains seront contraints par les réalités électorales de s’attaquer aux problèmes qui se manifestent sur le sol américain.

L’époque où le Congrès pouvait allouer des milliards de dollars sans poser de questions à des guerres d’outre-mer, y compris celles impliquant Israël, touche à sa fin."

2 extraits de l'article de Scott Ritter "La chute d'Israël". 

Lire l'intégralité de l'article :

Fadi Al Wahidi, encore un journaliste ciblé par les Israéliens



Fadi Al Wahidi journaliste d’Al-Jazeera à Jabalia au nord de Gaza a été victime d'un snipper israélien.



"L’armée israélienne ne veut pas de témoins quand l’ordre sera donné d’exterminer les réfugiés du camp encerclé (Jabalia)." Claude El Khal.

"Fadi est encore en vie Dieu soit loué, écrit la juriste suisse Ema, mais vu qu’Israël est en train d’anéantir tous les hôpitaux du Nord de Gaza, malheureusement on ne sait pas s’il peut être soigné."


Meriem Laribi, journaliste, précise :

"Israël a tiré dans le cou de Fadi, cameraman d'Al Jazeera. Il est très gravement blessé. Sa colonne vertébrale est touchée. Il risque l'hémiplégie.
Stop à ce génocide.
Jamais autant de journalistes n'ont été ciblés.
Israël ne représente aucune forme de civilisation."



Le camp de refugiés de Jabalia devient un camp de la mort



- Dr. Ezzideen (Médecin à Gaza) :

"Un ami, médecin urgentiste à l’hôpital indonésien, m’a contacté pour me dire qu’il avait réussi à s’échapper de l’hôpital et qu’il cherchait maintenant un moyen de quitter le camp de Jabalia, où la vie devient impossible. L’internet est coupé dans la plupart des zones, le réseau de télécommunications est extrêmement mauvais, la seule boulangerie qui approvisionnait le camp a été incendiée et les puits d’eau sont systématiquement pris pour cible. Il m’a appelé pour me demander comment sortir, mais l’armée a complètement bouclé le camp, ne laissant aucune possibilité de s’échapper.

L’armée a transformé le camp de Jabalia, qui abrite plus de 200 000 personnes, en la plus grande prison du monde.

* J'ai joint une carte publiée par les médias israéliens, que je viens de traduire."




- Dr. Mustafa Elmasri, psychothérapeute à Gaza :

"Messages de Jabalia:

La dernière route vers la sécurité a été bloquée. Les personnes assiégées dans le camp de Jabalia sont massacrées, famille après famille."


- Quelques heures avant de mourir déchiqueté par une bombe israélienne, le journaliste Hassan Hamad :

" Le rond-point d'Abu Sharkh, la seule et dernière route permettant aux habitants de Jabalia d'échapper à la tuerie, a été fermé ce matin par les forces d'occupation pour achever l'extermination de ceux qui sont restés à l'intérieur du camp. Des centaines de familles y sont  massacrées. Tueries, bombardements, exécutions, famine et soif ! [...]

La situation dans le camp est catastrophique et ce qui se passe est plus grand qu'un génocide, c'est terrifiant, alors, ô Dieu, nous te confions nos vies."


Jabalia, le 8 octobre 2024