Le symbole que les Juifs ont « adopté », consiste en deux triangles entrelacés. Et bien qu’il soit appelé « Sceau de Salomon » et « Bouclier de David », il n’est pas juif. Comme symbole, il précède les Juifs de milliers d’années. « Adopté » par les Juifs, le symbole est composé de deux triangles entrelacés, un blanc et l’autre noir. Dans les plus anciennes représentations, une femmes est représentée dans le triangle noir inversé, et un homme dans le triangle blanc. Mais de nos jours, le personnage d’une « personne non initiée » présenté comme un bouffon, est représenté dans le triangle noir inversé, tandis qu’au sommet du triangle blanc, le personnage dépeint est « un adepte » représenté comme un homme sage. Et le tout est souvent entouré d’un serpent avec la queue dans la bouche.
Le symbole signifie un grand nombre d’idées, qu’il est inutile d’énumérer ici. De même qu’il n’est pas nécessaire d’examiner le symbole associé de l’« étoile à cinq branches » qui signifie, entre autres idées, « sous contrôle » - bien que les plus studieux soient tentés de retrouver la trace d’une connexion entre « l’instrument éclairé », « l’étoile rouge » qui orne l’« Armée rouge » de Russie, et l’« étoile » de Saturne ou d’Israël.
Les Juifs aiment imaginer qu’ils sont le « masculin » et tous les autres peuples le « féminin ». Et ils aiment à croire qu’ils se sont tellement insinués et enchevêtrés dans les affaires des Gentils, qu’ils ne peuvent pas être délogés.
Le sens secret du symbole est le suivant :
Le « non initié » crée dieu comme une image amplifiée de lui-même projetée sur un arrière-plan d’ignorance, représenté par le triangle noir, au-dessous duquel il se recroqueville dans la terreur de sa monstrueuse conception. L’« adepte » crée dieu également, en ne projetant cependant pas sa ressemblance sur l’inconnu, mais en concevant son pouvoir et sa connaissance comme un symbole représenté par le triangle blanc par-dessus lequel il est posé, parce que l’intelligence est au-dessus de ce qu’elle crée. L’initié est par conséquent « dieu » pour le profane, l’«adepte» est la véritable déité finie qui se trouve sur la Terre, pour l’hypothétique « dieu » qu’il a créé ; et il a le pouvoir absolu sur toute conception particulière de divinité qu’il a formée, et qui peut à tout moment recevoir la vénération de la population.
« Jéhovah est celui qui dépasse la nature » disent les magiciens. « Les décisions du Talmud sont les mots du Dieu vivant. Jéhovah lui-même demande l’opinion des rabbins terrestres quand il y a des affaires difficiles au ciel ». « Jéhovah lui-même dans le ciel, étudie le Talmud de longue date, il a tant de respect pour ce livre » disent les rabbins.
Ainsi, enfin, Jéhovah est devenu le dieu créateur d’« adeptes » qui a « le pouvoir d’un esprit complètement émancipé sur les esclaves de la superstition et de l’ignorance » ! Et de cette façon, très souvent, quand les Juifs d’aujourd’hui parlent de Dieu », ils veulent dire « le peuple juif », les « adeptes » de leurs sociétés secrètes, ou « le dieu de l’Humanité », « le Juif de la Cabale », etc…
Ainsi donc, un « Néo-Messianiste » nommé Baruch Levy, écrivit à Karl Marx (un Juif dont le véritable nom est Mordecai) ce qui suit : « Le peuple Juif, pris collectivement, sera son propre Messie. Son règne sur l’Univers sera obtenu par l’unification des autres races humaines, la suppression des frontières, et l’établissement d’une « République Universelle ». Dans cette nouvelle organisation, de l’Humanité, les fils d’Israël deviendront sans opposition l’élément dirigeant partout ; par-dessus tout, ils réussiront en imposant aux masses travailleuses, le contrôle stable de certains d’entre eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront tous, sans efforts, aux mains des Israélites, en faveur de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle sera ensuite supprimée par les gouverneurs de la race juive qui administrera en tous lieux la richesse publique. Ainsi sera réalisée la promesse du Talmud qui, quand les Temps du Messie seront venus, les Juifs détiendront les propriétés de tous les peuples du monde ».
C’est la fin vers laquelle les activités de tous ceux qui participent au Masque, que ce soit les Juifs ou leurs dupes qui dirigent. Et dans nos temps modernes, les « six points » de l’étoile formée par les triangles entrelacés, ont été créés pour symboliser, entre autres idées, les moyens principaux par lesquels cette fin sera atteinte.
Ces « six points » peuvent être décrits comme suit :
Le premier… Religieux :
Pour saper et discréditer tous les Gentils, et spécialement les croyances des Chrétiens ; et d’introduire, d’encourager et de propager des cultes fous, du mysticisme malsain, de la pseudo-science, et des philosophes imposteurs.
Le deuxième… Ethique :
Pour introduire et propager des codes dégradants et des pratiques (incluant « le commerce illicite de la drogue », « le commerce illicite de l’alcool » et « le trafic des esclaves blancs ») ; pour corrompre les mœurs, affaiblir le lien matrimonial, détruire la vie de famille, et abolir l’héritage (et même les noms héréditaires) parmi tous les peuples, spécialement au sein des races nordiques.
Le troisième… Esthétique :
Pour introduire et favoriser le culte du laid et de l’aberrant, et tout ce qui peut être décadent, dégradant et dégénéré dans l’art, la littérature, la musique et le théâtre, etc.
Le quatrième… Sociologique :
Pour briser les grands états et abolir l’aristocratie ; pour mettre sur pied la ploutocratie et une « monnaie standard » ; pour encourager l’affichage vulgaire, l’extravagance et la corruption, pour provoquer la jalousie du prolétariat, le mécontentement, les incendies volontaires, le « sabotage » et fomenter la « lutte des classes ».
Le cinquième … Industriel et Financier :
Pour provoquer le « chômage » et vouloir faire baisser les idéaux du savoir-faire et abolir la fierté du travail artisanal, pour encourager l’avidité du « profit » et la standardisation du bon marché et de la mauvaise qualité ; pour entraîner la « Centralisation » et la formation de Trusts et de Cartels ; pour abolir la propriété individuelle et établir des « Monopoles d’État », des « Banques de Réserve » et une « Banque Mondiale », avec le contrôle de l’or dans les mains de dirigeants internationaux.
Le sixième… Politique :
Pour sécuriser le contrôle de la presse, l’audiovisuel, le cinéma, le théâtre et tous les moyens de la publicité ; pour garantir la présence d’« agents » sur tous les Conseils, Commissions, etc., des Gentils, et aux postes confidentiels (tels que « secrétaire particulier » des personnes haut placées, pour maintenir une activité d’espionnage sur les activités des Gentils ; pour déclencher et maintenir les dissensions dans toutes les institutions des Gentils, et ainsi briser tous les autres groupes politiques dans leur parties constituantes, en installant entre elles de l’hostilité ; pour décourager, dénoncer et extirper le patriotisme, la fierté et la race ; et au nom du « Progrès » et de l’« Evolution », et sous le prétexte de promouvoir la « Paix Universelle » et « la « Fraternité Humaine », pour établir l’« Internationalisme » comme un idéal, sapant ainsi l’unité nationale et affaiblissant le gouvernement ; pour le « Désarmement » et des « Forces de Police Internationales » contrôlées par la « Ligue des Nations » préparant ainsi le chemin pour ceux qui, discrètement, augmenteront le contrôle de la « Ligue des Nations » et de la « Banque Internationale » qui gouverneront le monde à travers elles.
Les Dirigeants Internationaux cependant, n’agissent jamais ouvertement et directement ; ils restent toujours dans l’ombre et travaillent en secret et indirectement ; en exerçant des pressions en tous points, mais en cachant soigneusement sa provenance « aucun Gentil ne doit être autorisé à découvrir sa source ».
"Le grand masque juif ou l'âne dans la peau du lion". Traduction du livre d'un auteur érudit inconnu. Titre anglais original : "The great jewish masque or the ass in the lion's skin".
Version papier (E. Dasko) :
Un texte de cette ampleur, rédigé par un érudit anonyme, se devait d'être tôt ou tard édité en français : on y découvre l'histoire vraie des juifs - ce mot écrit sans majuscule ne désignant ici que des religieux pratiquants et non des habitants de tel ou tel pays, notamment du fait de la diaspora d'iceux -, leurs pérégrinations, des origines à nos jours (ou presque - ce texte ayant été, semble-t-il, rédigé vers les années 1940-45 par un ressortissant britannique, probable fonctionnaire en poste en Palestine), leurs mœurs entre eux et à l'égard des non-juifs...
On y découvre la naissance de ce qu'il appelle le Masque, c'est-à-dire la grande et universelle mascarade jouée dans le monde entier par les guides monopolisateurs des juifs : les rabbins, c'est-à-dire, historiquement et sociologiquement parlant, les successeurs et animateurs roués de la secte des Pharisiens, secte à la source - d'une part - de tous les maux de ces malheureux Juifs (et donc pas seulement des religieux), et - d'autre part - ceux qui assassinèrent Jésus, le Christ (l'oint), roi des juifs (comme en témoigne la pancarte placée au sommet de la croix de son supplice, INRI = Iesus Nazarorum, Rex Iudeorum ; Jésus de Nazareth, Roi des Juifs) et grand-prêtre qui, revenu du dernier exil des Jérusalémites en Babylonie, et plus précisément en Adiabène, dans l'actuelle Arménie, revint demander son héritage et pour cela - étant plus légitime que les rabbins usurpateurs - fut à la fois humilié, haï, diffamé, torturé puis tué et diabolisé jusque dans la personne de leurs désormais adversaires, les chrétiens, puis des personnes sur lesquelles son influence généreuse, sociale, philosophique, morale et culturelle s'est étendue : le monde entier !
Mais ce n'est pas tout : on apprend, grâce à ce bref écrit, que tout ce qui semble inexplicable dans la vie du monde en matière de troubles est écrit dans le livre qui tient lieu de guide aux rabbins héritiers de la secte de Pharisiens, à laquelle s'attaqua Jésus : le Talmud. Or celui-ci n'est toujours pas accessible aux goïm que sont les non-juifs (bétail, animaux), seuls deux exemplaires traduits en anglais étant - très difficilement - accessibles...