Monica, candidate LFI aux Sénatoriales :
Certains de ces camions transportent des fournitures médicales et des produits essentiels pour bébés.
Une bande de salopards dégénérés."
"Ces Israéliens font partie de Tzav 9, une organisation dont la porte-parole française (Rachel Touitou) fait l'objet d'une plainte pour complicité de génocide à Gaza, déposée auprès du tribunal judiciaire de Paris."
Gels avoirs gouv.fr :
Tzav 9 est un groupe israélien de militants violents cofondé en janvier 2024 par Reut Ben Haim et Aviad Shlomo Sarid. Reut Ben Haim et Yossef (Sefi) Ben Haim dirigent actuellement le groupe.
Selon le site internet du groupe, les deux missions principales de Tzav 9 consistent à bloquer les camions qui acheminent l’aide humanitaire, y compris les denrées alimentaires, l’eau et le carburant, à Gaza, et à ternir la légitimité de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient en Israël. [...]
Tzav 9 est responsable d’atteintes graves aux droits de l’homme, notamment de l’atteinte au droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état d’intégrité physique et mentale possible. Ces atteintes suscitent également de graves préoccupations au regard des objectifs de la politique étrangère et de sécurité commune énoncés à l’article 21 du traité sur l’Union européenne.
En France, le parquet antiterroriste enquête sur des Franco-israéliens, dont Touitou, pour « complicité de génocide », une première historique. Ces enquêtes visent des actes commis entre janvier et mai 2024, selon HuffPost et Libération.
La Cour internationale de justice a reconnu un « risque plausible de génocide » à Gaza, rendant ces actions encore plus graves. Tzav 9, comme toujours, nie toute implication directe dans des attaques, mais les sanctions américaines les accusent de « comportement violent et extrémiste ». Ils s’en vantent en direct à la télé puis nient leur implication !
Les critiques soulignent que bloquer l’aide viole le droit international humanitaire. Les conséquences juridiques pourraient marquer un tournant dans la lutte contre les crimes de guerre. Le droit international prime sur les justifications locales. Touitou et ses associés risquent des poursuites sévères.