32 États des 5 continents se sont réunis cette semaine à la conférence du Groupe de La Haye pour exiger la fin du génocide à Gaza et l’application immédiate du droit international.
1. Interdiction des transferts d’armes vers Israël
2. Fermeture des ports aux navires transportant du matériel militaire à destination d’Israël
3. Interdiction du transport d’armes par navires battant pavillon national
4. Révision des contrats publics complices de l’occupation illégale
5. Enquêtes et poursuites pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité
6.Soutien à la juridiction universelle pour garantir justice aux victimes
Une trahison cruelle et illégale, en totale contradiction avec ses valeurs, fondées sur le respect du droit international.
Entré en vigueur en 2000, ce texte comprend notamment des arrangements de libre-échange commerciaux entre l’UE et Israël.
Face à la situation actuelle dans la bande de Gaza, l'UE avait annoncé son réexamen, le 20 mai dernier.
Cet examen avait révélé qu'Israël violait ses obligations en matière de droits humains, en vertu des termes de l'accord d'association.
Suspendre cet accord représentait une opportunité de prémunir l’UE d’une complicité avec les crimes commis par les autorités israéliennes.
En prenant une telle décision, l’UE marque un précédent dangereux et consacre l’impunité d’Israël, en plein génocide en cours à Gaza. Cette décision restera gravée dans l’histoire de l’Union européenne comme un épisode sombre et honteux.
Nous exhortons les État membres à suspendre unilatéralement toute forme de coopération avec Israël qui pourrait contribuer à de graves violations du droit international !
Amnesty International
2. Fermeture des ports aux navires transportant du matériel militaire à destination d’Israël
3. Interdiction du transport d’armes par navires battant pavillon national
4. Révision des contrats publics complices de l’occupation illégale
5. Enquêtes et poursuites pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité
6.Soutien à la juridiction universelle pour garantir justice aux victimes
Rima Hassan
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Durant la même semaine, le monde constate le déclin historique de l'Occident :
L’Union européenne a refusé de suspendre son accord d’association avec Israël
Une trahison cruelle et illégale, en totale contradiction avec ses valeurs, fondées sur le respect du droit international.
Entré en vigueur en 2000, ce texte comprend notamment des arrangements de libre-échange commerciaux entre l’UE et Israël.
Face à la situation actuelle dans la bande de Gaza, l'UE avait annoncé son réexamen, le 20 mai dernier.
Cet examen avait révélé qu'Israël violait ses obligations en matière de droits humains, en vertu des termes de l'accord d'association.
Suspendre cet accord représentait une opportunité de prémunir l’UE d’une complicité avec les crimes commis par les autorités israéliennes.
En prenant une telle décision, l’UE marque un précédent dangereux et consacre l’impunité d’Israël, en plein génocide en cours à Gaza. Cette décision restera gravée dans l’histoire de l’Union européenne comme un épisode sombre et honteux.
Nous exhortons les État membres à suspendre unilatéralement toute forme de coopération avec Israël qui pourrait contribuer à de graves violations du droit international !
Amnesty International
