samedi 30 novembre 2024

Rony Brauman : « Nous sommes, à Gaza, face à une situation génocidaire »

 


Israël n'est pas une démocratie.


Médecin français et figure de l’humanitaire, Rony Brauman est né en1950 à Jérusalem, deux ans après la création de l’État d’Israël, refuge pour des milliers de rescapés de la Shoah, mais dont les Palestiniens se souviennent comme de la Nakba, la Catastrophe. Attaché à sa terre natale, il n’en défend pas moins avec ardeur la cause des Palestiniens, privés d’État. Bénin, Érythrée, Soudan, Rwanda, Tchad, Ouganda, Somalie… Cet humaniste engagé a, dès les années 1970, posé ses trousses de docteur partout sur le continent où les crises ont fait rage.

Alors que vient d’être commémorée la première année depuis les massacres perpétrés par le Hamas gazaoui en Israël et la réplique ultraviolente du gouvernement de Benyamin Netanyahou, il livre à Jeune Afrique une vision sans concessions de cette crise, de l’état du monde et de celui de la démocratie en Afrique.



Jeune Afrique : Quelle estimation faites-vous de la situation humanitaire à Gaza ?

Rony Brauman : 

Elle se dégrade un peu plus chaque jour, au rythme des déplacements forcés des populations, des bombardements généralisés des zones habitées, de l’anéantissement de cette société palestinienne de Gaza. On a beaucoup parlé de la destruction totale du système sanitaire, à juste titre, car il est essentiel, surtout dans une telle situation ; mais on n’a pas assez souligné que c’est tout ce qui fait une société qui est pilonné : cimetières, universités, écoles, archives, état civil… habitations, bien sûr. Une politique de terreur et d’anéantissement chaque jour plus profonds et étendus, Benyamin Netanyahou promettant maintenant un sort similaire aux Libanais s’ils ne livrent pas les gens du Hezbollah.

Pendant ce temps, des pogroms anti-Arabes sont encore à l’oeuvre, sous la protection de l’armée israélienne, en Cisjordanie, où des bandes de colons fascisants, de voyous, s’en prennent à des paysans, à des résidents palestiniens pour les terroriser, les chasser, détruire leurs terres et leurs cultures. Israël se conduit comme un État voyou d’une brutalité effroyable et, circonstance aggravante, il fait tout cela avec l’approbation, voire le soutien actif, des « démocraties » occidentales, qui professent un attachement essentiel au droit humanitaire et au droit international, mais qui, en invoquant méthodiquement et inlassablement le droit d’Israël à se défendre, cautionnent ces destructions. Quand elles ne les soutiennent pas, comme les États-Unis et l’Allemagne, par l’énormité des livraisons d’armes qui se poursuivent.

Vous évoquez des pogroms en Cisjordanie. D’aucuns n’hésitent pas à qualifier ce qui se passe à Gaza de génocide : qu’en est-il ?

Je constate que la Cour internationale de justice (CIJ), en ordonnant à Israël, en mai dernier, d’appliquer la convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, s’est entourée de toutes les garanties d’ordre juridique pour avancer cette qualification. Cette convention est la seule disposition d’ordre juridique à mettre en avant la prévention autant que la punition : c’est dans la volonté de prévenir ce qui pourrait se transformer en génocide que la CIJ a demandé à Israël un certain nombre de provisions, de mesures pratiques montrant qu’il n’y a pas d’intention génocidaire, et même d’empêcher les moyens par lesquels ce génocide pourrait s’accomplir. Parmi ceux-ci, il y a l’assassinat des membres du groupe, la destruction des moyens d’existence, l’obstruction de l’aide humanitaire, la prévention des naissances, et il faut reconnaître que depuis janvier 2024 – plus de neuf mois –, aucune des mesures demandées n’a été prise par Israël, au contraire.

L’aide humanitaire est systématiquement obstruée, les assassinats individuels et collectifs se poursuivent, la destruction généralisée de tout ce qui permet la vie, jusqu’à la pollution des terres agricoles, qui sont, semble-t-il, attaquées avec des produits chimiques pour les stériliser, nous assistons à la destruction des moyens d’existence. Donc oui, je pense que nous sommes, en effet, aujourd’hui, face à une situation génocidaire. Pour certains, c’est inconcevable qu’un pays né des cendres d’un génocide puisse à son tour commettre un génocide.

Et moi-même, qui suis originaire de là-bas, je trouve cela absolument étourdissant et accablant, mais d’abord révoltant, car ce sont des faits qui se déroulent sous nos yeux, et dire que c’est impossible n’y change rien. Quant aux intentions israéliennes, il suffit d’écouter ce que disent nombre de dirigeants israéliens au sommet, le président de la République, les ministres de la Défense, des Finances, de la Sécurité, nombre des députés, qui vouent aux gémonies l’ensemble de la population palestinienne, dénoncée globalement comme terroriste, antisémite et tueuse de juifs, ce qui autoriserait à l’État hébreu toutes les ripostes en guise de défense.

Derrière les cris de victoire de Tel-Aviv et de ses alliés, à chaque exécution de chef ennemi, qu’est-ce qu’Israël est en train de se préparer comme avenir à long terme ?

Israël sème la haine à Gaza, en Cisjordanie, au Liban. Chaque fois qu’il prétend tuer des combattants du Hamas ou du Hezbollah, il fabrique de futurs combattants pour ces mouvements, qui seront certainement plus radicaux que ceux d’aujourd’hui. Au fil des générations, Israël ne cesse de « décapiter les mouvements terroristes », de démanteler leurs infrastructures, et chaque fois, ses batailles sont remportées.

De fait, l’armée israélienne a considérablement affaibli le Hamas et le Hezbollah, mais les projets de résistance à l’occupation israélienne et les idéologies qui les soutiennent n’ont jamais été tuées par les bombes. Elles continueront de prospérer à la mesure de la violence déployée par les Israéliens. Nous sommes ainsi face à une spirale de radicalisation qui nous pousse vers l’abîme, et l’on voit bien que si Israël gagne toutes ses batailles, il ne pourra pas remporter sa guerre contre les Palestiniens. C’est une stratégie suicidaire. D’ailleurs, de plus en plus d’Israéliens quittent le pays car il n’y a pas d’avenir pour leurs enfants, dans le contexte actuel.

Lire la suite :

https://msf-crash.org/fr/guerre-et-humanitaire/rony-brauman-nous-sommes-gaza-face-une-situation-genocidaire



Des soldats israéliens simulent un acte sexuel dans une église au Liban et se moquent de la Sainte Vierge

 


Cette vidéo fait actuellement le buzz sur les réseaux sociaux. 

Elle "montre des soldats de la Brigade Golani de l’armée israélienne dans une mise en scène choquante à l’intérieur de l’église de Deir Mimas, un village chrétien situé dans le sud du Liban. 

Ces images, qui révèlent des actes de moquerie et de profanation, ont déclenché une vague de condamnations.

Une profanation filmée et partagée

Dans la vidéo ci-dessus, des soldats israéliens dansent bruyamment dans l’église, allant jusqu’à organiser une parodie de mariage entre deux d’entre eux se moquant de la Sainte Vierge Marie. Certains soldats ont même simulé un acte sexuel au sol sous les rires moqueurs de leurs camarades. Ces comportements grotesques se déroulaient dans un lieu de culte chrétien, un espace sacré pour des millions de croyants à travers le monde.

La Société de radiodiffusion israélienne a confirmé les faits. La profanation n’est pas un incident isolé. Elle s’ajoute à une série de violations perpétrées par les forces israéliennes, notamment des attaques contre des cimetières chrétiens, des mosquées et des églises dans plusieurs zones de conflit.

Une violence récurrente contre des lieux saints

Depuis le début des affrontements au Liban, Israël a intensifié ses opérations militaires, touchant non seulement des cibles stratégiques, mais également des lieux sacrés. Des cimetières chrétiens ont été bombardés, des mosquées détruites, et d’autres églises profanées. Ces attaques répétées contre des lieux de culte, censés être protégés par le droit international, constituent une insulte grave pour les communautés religieuses affectées et pour tous ceux qui respectent la liberté de culte.

Ces actes s’inscrivent dans un contexte plus large d’agression israélienne, marquée par des frappes aériennes d’une violence sans précédent au Liban et une invasion terrestre qui ont causé la mort de 3768 personnes et blessé plus de 15 699 autres, selon des données officielles libanaises.

Un appel à la justice et au respect des lieux saints

La profanation de l’église de Deir Mimas n’est pas seulement un acte irrespectueux : elle constitue un affront à l’humanité tout entière. Les lieux saints, qu’ils soient chrétiens, musulmans ou d’autres confessions, doivent être protégés en toutes circonstances. Ignorer ces principes fondamentaux, c’est piétiner les valeurs universelles de respect et de tolérance.

Le monde ne peut pas rester silencieux face à de tels agissements. Il est urgent que les responsables de ces profanations soient traduits en justice et que des mesures soient prises pour empêcher de nouvelles violations. L’impunité ne doit plus être la règle."

D'après un article du Média en 4-4-2.



La détestation du Christ dans une émission pour enfants en Israël

 

Jésus grimé en singe, crucifié, frappé au marteau à la TV israélienne : une insulte intolérable au christianisme


Le scandale qui entoure l’émission israélienne "Toffee y el Gorila" dépasse l’entendement. Cette série télévisée, créé par Erez Hyman et Shaul Betzer, s’en prend violemment à l’une des figures les plus sacrées pour des milliards de chrétiens : Jésus-Christ. Grimé en singe, crucifié, frappé à coups de marteau sous les rires moqueurs.

Une attaque frontale contre le christianisme

L’épisode incriminé met en scène Toffee, interprétée par Dawn Rosenzweig, accompagnée de Shuki, un gorille. Dans un dialogue glaçant, Toffee qualifie Jésus de « nazi », affirmant qu’il était un « ennemi du peuple juif » ayant voulu convertir les Juifs au christianisme. Les propos tenus sont d’une violence sans précédent, mais ce n’est que le début de cette parodie blasphématoire.

Lorsque le personnage du gorille évoque son souhait d’« assimilation », un terme utilisé ici pour signifier une union avec une personne non-juive, Toffee s’indigne et déclare : « L’assimilation signifie coucher avec une Goya (non-juive). C’est quelque chose que ni toi ni moi ne voulons évidemment. » Sous prétexte d’humour, ces dialogues stigmatisent non seulement le Christ, mais également les chrétiens et toute idée de rapprochement interreligieux.
Une crucifixion grotesque

La scène atteint son paroxysme lorsque le gorille est forcé par Toffee de jouer le rôle de Jésus-Christ. Ce dernier, grimé en singe, est alors soumis à une reconstitution grotesque de la crucifixion. Sous les rires, des insultes fusent : « Tu es un nazi, Jésus, un lâche ! » Pire encore, des coups de marteau sont portés sur son visage et son corps.

Comment une telle dérive peut-elle être tolérée ? En France, un simple dessin caricatural à l’encontre de la communauté juive entraîne des poursuites judiciaires et une condamnation unanime. Pourtant, lorsqu’il s’agit de s’en prendre à Jésus-Christ, figure centrale pour plus de deux milliards de chrétiens, les réactions sont bien moins virulentes. Ce deux poids, deux mesures est inacceptable et alimente un sentiment croissant d’injustice parmi les croyants.
Une atteinte aux valeurs fondamentales

La scène, présentée sous couvert d’humour, va bien au-delà de la satire. Le traitement réservé à Jésus-Christ dans « Toffee y el Gorila » est un véritable crachat au visage des chrétiens du monde entier. Grimé en singe, crucifié et humilié dans une ambiance de moquerie généralisée, ce Christ caricatural est le symbole d’un mépris qui ne doit plus être toléré.

par Le Média en 4-4-2


Israeli children attack Christian tourists in occupied Jerusalem




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BONUS 

Loin d’être ignorée, la figure de Jésus est très considérée dans l’islam : les musulmans le voient comme l’un des plus grands prophètes de leur religion.

Jésus – Issa ou Aissa en arabe – est le prophète le plus fréquemment cité dans le Coran, puisqu’il se trouve mentionné à 93 reprises.




Israël a détruit le mausolée de Simon Pierre





Israël a détruit le mausolée de Simon Pierre, apôtre du Christ, dans le village de Shama au sud du Liban.

Edouard Husson, historien :

"Les catholiques pensent que la tombe de Saint Pierre est au Vatican. Mais ce mausolée de Simon Pierre au sud du Liban a certainement une raison dans la biographie du Prince des Apôtres. De nombreux chrétiens s'y rendent comme à la tombe de Pierre. Les musulmans ont beaucoup de respect pour le lieu. Ceux qui ont bombardé ce lieu saint sont des soit des impies soit des religieux fanatiques. On trouve les deux dans le gouvernement Netanyahou."

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Le mépris de la vieille civilisation chrétienne dans le cinéma cosmopolite 


A la télévision et au cinéma, les chrétiens, et notamment les catholiques, sont le plus souvent représentés comme des gens bigots, bornés et intolérants, voire même comme des violeurs ou des assassins. Quant au clergé catholique, il est le plus souvent dépeint comme un repère de sadiques et de pervers polymorphes.

Le modèle du genre reste le célèbre film de Jean-Jacques Annaud, "Le Nom de la rose" (France, 1986), dont le scénario est tiré du roman de l'auteur italien mondialement célèbre, Umberto Eco : il s'agit d'une intrigue policière qui se déroule dans un monastère bénédictin du Nord de l'Italie au début du XIVe siècle. Les clichés sur le Moyen Age s'accumulent tout au long du film : tous les moines sans exception sont des tarés, d'une manière ou d'une autre. Ils s'engraissent sur le dos des pauvres paysans qui viennent apporter leur maigre récolte, tandis que ceux-ci vivent dans la fange et les ordures que veulent bien leur jeter les moines. L'Eglise catholique tout entière n'est que perversion ; elle maintient les esprits dans l'asservissement et dans la peur du diable ; elle garde précieusement cachées toutes les merveilles contenues dans les livres grecs qui risquent de déstabiliser son pouvoir. Guillaume de Baskerville, le moine franciscain, magistralement interprété par Sean Connery, parviendra à dénouer l'énigme et à récupérer quelques-uns de ces ouvrages interdits qu'il sauvera des flammes. Tout se finit évidemment par la torture et le bûcher. Le film a été réalisé avec la collaboration de Jacques Le Goff, un historien de l'école marxiste (Karl Marx "en était" lui aussi). Si 1' on veut avoir un aperçu non marxiste de la magnifique époque que fut le Moyen Age, on lira avec profit ce tout petit livre de Régine Pernoud intitulé "Pour en .finir avec le moyen âge", paru en 1977. Personne ne pourra en effet nous faire croire que l'on bâtit des cathédrales avec des miséreux affamés et des esclaves. Notons aussi qu'à aucun moment dans ce film il n'est question de ''rose". Il s'agit évidemment d'un titre pour initiés à la kabbale, et à ce sujet, nous découvrons que l'auteur du récit, Umberto Eco, vient de préfacer en 2005 un livre d'un certain Moshé ldel, intitulé "Mystiques messianiques", dans lequel il établit un parallèle entre le messianisme hébraïque et le marxisme. On savait déjà que selon Marx, la religion était "l'opium du peuple", mais il faut surtout comprendre que, dans l'esprit du philosophe, c'est surtout de la religion catholique dont il s'agit. Quant à Jean-Jacques ''Annaud", il s'agit peut-être d'un "Hanau", bien qu'il n'y ait apparemment aucune parenté avec Marthe Hanau, dont l'escroquerie des années 1930 est restée célèbre. Jean-Jacques Annaud a aussi réalisé "La Victoire en chantant" (Fr., 1976), qui dépeint la présence française en Afrique en 1915, où une population de colons composée exclusivement de crétins alcooliques est opposée à des Noirs pleins d'humour.

"Monsignore" ( 1982), de Frank Peny, est l'histoire d'un cardinal débauché qui réussit à séduire une nonne et se retrouve également devant une cour d'assises. Mais le cardinal est puissant : il tient la banque et sert de liaison avec la mafia. Le pape, qui est au courant de l'affaire, garde discrètement le silence !

Dans la comédie "La montre, la croix et la manière" (USA, 1991 ), Louis est photographe d'art dans le studio que dirige Norbert, spécialisé dans les compositions d'inspiration religieuse. Il recherche un nouveau modèle pour incarner Jésus, quand il rencontre un pianiste un peu fou, qui a une tête de Christ (Jeff Goldblum !). L'affaire est vite conclue. Le nouveau modèle incarne merveilleusement bien le Christ, sur la croix, à table avec les apôtres et dans tous les tableaux bibliques. Mais voilà que peu à peu, le faux Christ se prend pour le vrai ! Dans une scène cocasse, Jeff rentre chez lui avec pas moins qu'un espadon sur l'épaule, qu'il dépose sur la table de la cuisine et que sa femme va préparer pour le dîner. Celle-ci le met tout entier dans le broyeur, avec les pattes de canards ! Le plat qu'elle dépose sur la table, sous le nez de son mari est d'un noir immonde qui donne la nausée. Elle lui demande alors : "Est-ce que tu as trouvé notre seigneur Jésus ?" (gros plan sur  l'horrible plat). Il est donc très clair que ce "Jésus" donne envie de vomir au réalisateur, Ben Lewin, qui entend faire partager son dégoût à son public.

Même dans un amusant dessin animé tel que "Shrek", on retrouve le mépris de la vieille civilisation : Nous sommes au Moyen Age ; Shrek est un ogre gentil et attachant, qui vit reclus dans sa forêt. C'est lui qui va aller affronter le dragon et délivrer la belle princesse. Le roi est un nabot teigneux et ridicule, ce qui n'est pas tellement dans la tradition européenne. Il prétend épouser la princesse, mais Shrek, qui en est tombé amoureux interviendra in extremis dans la cathédrale où est en train de se célébrer le mariage. Le bris des vitraux de la cathédrale par le dragon qui y a pénétré représente tout un symbole. C'est ce qu'ont voulu nous laisser William Steig, l'auteur du roman, et Ted Elliot, le scénariste, qui sont tous deux de fervents sionistes.

"Le Moine et la sorcière" (Fr., 1986), dépeint la civilisation médiévale sous le jour le plus sombre, afin de mieux exalter les temps "démocratiques" : Au XIIIe siècle, frère Etienne arrive dans un village pour y débusquer l' hérésie. Elda, une jeune femme qui a le pouvoir de guérir par les plantes, est accusée d'être une sorcière. L'inquisiteur la fait transférer dans les prisons du comte de Vilars, qui exploite aussi férocement ses paysans. Il ne faisait manifestement pas bon vivre à cette époque, au moins selon la réalisatrice, Suzanne Schiffman.

Le film de Peter Webber, "Hannibal Lecter, les Origines du mal" (2007), dévoile l'enfance du célèbre Hannibal Lecter, le tueur psychopathe cannibale du "Silence des Agneaux" : Alors qu'il était un petit enfant, pendant la guerre, en Lituanie, il a vu sa petite sœur se faire dévorer sous ses yeux par des soldats russes affamés. Devenu adolescent, Hannibal cherche à se venger et retrouve les criminels, un par un, pour leur manger la cervelle. L'un d'eux est devenu restaurateur dans une province française, et Hannibal se délecte à l'avance du sort qu'il lui réserve. Il est assis à une table et épie sa victime. On apprend ici que le patron de l'établissement, cet assassin d'enfant, est aussi un bon chrétien qui tient à ce que ses enfants aillent à l'église.

Hervé Ryssen, "Cinéma sans frontières".


La civilisation islamique est celle qui se rapproche le plus de la civilisation européenne traditionnelle






Selon l'historien juif D. 
Lindenberg :

René Guénon rejette la Révolution française et tous ses héritiers. Il  dénonce le détournement anti-traditionnel des loges judéo-maçonniques révolutionnarisées. 

René Guénon voit dans le judaïsme un des fauteurs principaux de la déviation occidentale. "Il faut ajouter, écrit-il, que dans l'Occident nous comprenons aussi le judaïsme, qui n'a jamais exercé d'influence que de ce côté, et dont l'action n'a même peut-être pas été étrangère à la formation de la mentalité moderne en général." 

Tout comme Nietzsche, Guénon identifie dans le prophétisme hébreu un ferment de dissolution. Il reconnaît l'action néfaste des juifs empiriques. 

Ainsi pour son appréciation de la révolution jeune-turque, René Guénon suggère que l'"origine israélite" de nombre de chefs bolcheviks est, pour les musulmans, une raison supplémentaire, non négligeable, de se méfier de cette idéologie. 

Il démontre que les civilisations orientales traditionnelles sont en fait ce qu'il y a de plus approchant dans le monde d'aujourd'hui à l'ordre chrétien médiéval perdu. René Guénon écrit : 

"La civilisation islamique est celle qui se rapproche le plus de la civilisation européenne du Moyen Age." 

René Guénon, dans "La crise du monde moderne" : 

"Ce qui est tout à fait extraordinaire, c'est la rapidité avec laquelle la civilisation du moyen âge tomba dans le plus complet oubli ; les hommes du XVIIe siècle n'en avaient plus la moindre notion, et les monuments qui en subsistaient ne représentaient plus rien à leurs yeux, ni dans l'ordre intellectuel, ni même dans l'ordre esthétique ; on peut juger par là combien la mentalité avait été changée dans l'intervalle. Nous n'entreprendrons pas de rechercher ici les facteurs, certainement fort complexes, qui concoururent à ce changement, si radical qu'il semble difficile d'admettre qu'il ait pu s'opérer spontanément et sans l'intervention d'une volonté directrice dont la nature exacte demeure forcément assez énigmatique ; il y a, à cet égard, des circonstances bien étranges, comme la vulgarisation, à un moment déterminé, et en les présentant comme des découvertes nouvelles, de choses qui étaient connues en réalité depuis fort longtemps, mais dont la connaissance, en raison de certains inconvénients qui risquaient d'en dépasser les avantages, n'avait pas été répandue jusque là dans le domaine public. Il est bien invraisemblable aussi que la légende qui fit du moyen âge une époque de « ténèbres », d'ignorance et de barbarie, ait pris naissance et se soit accréditée d'elle-même, et que la véritable falsification de l'histoire à laquelle les modernes se sont livrés ait été entreprise sans aucune idée préconçue ; mais nous n'irons pas plus avant dans l'examen de cette question, car, de quelque façon que ce travail se soit accompli, c'est, pour le moment, la constatation du résultat qui, en somme, nous importe le plus.

(...) il est essentiel d'insister : l'opposition de l'Orient et de l'Occident n'avait aucune raison d'être lorsqu'il y avait aussi en Occident des civilisations traditionnelles ; elle n'a donc de sens que s'il s'agit spécialement de l'Occident moderne, car cette opposition est beaucoup plus celle de deux esprits que celle de deux entités géographiques plus ou moins nettement définies. A certaines époques, dont la plus proche de nous est le moyen âge, l'esprit occidental ressemblait fort, par ses côtés les plus importants, à ce qu'est encore aujourd'hui l'esprit oriental, bien plus qu'à ce qu'il est devenu lui-même dans les temps modernes ; la civilisation occidentale était alors comparable aux civilisations orientales, au même titre que celles-ci le sont entre elles. Il s'est produit, au cours des derniers siècles, un changement considérable, beaucoup plus grave que toutes les déviations qui avaient pu se manifester antérieurement en des époques de décadence, puisqu'il va même jusqu'à un véritable renversement dans la direction donnée à l'activité humaine ; et c'est dans le monde occidental exclusivement que ce changement a pris naissance. [...]

Il y a donc, en ce qui concerne les sciences, deux conceptions radicalement différentes et même incompatibles entre elles, que nous pouvons appeler la conception traditionnelle et la conception moderne ; nous avons eu souvent l'occasion de faire allusion à ces « sciences traditionnelles » qui existèrent dans l'antiquité et au moyen âge, qui existent toujours en Orient, mais dont l'idée même est totalement étrangère aux Occidentaux de nos jours. [...]

L'art des constructeurs du moyen âge peut être mentionné comme un exemple particulièrement remarquable de ces « arts traditionnels »."


Didier Hamoneau


Durant le Moyen Âge classique européen (Xe au XIIIe s.), la France fut le premier pays à bénéficier du voisinage de la brillante civilisation arabo-musulmane d’Espagne. De François Ier jusqu’à la Révolution, l’entente franco-ottomane permit à ces deux puissances de contenir la pression de l’empire Germanique. Puis, lors des trois dernières guerres franco-allemandes (débutées en 1870, 1914 et 1939), le secours des soldats musulmans des colonies françaises permit une nouvelle fois à notre pays de subsister dans le concert des nations. Sans l’Islâm, la France serait une province allemande depuis des siècles. 

Les « bienfaits de la colonisation » chers à M. Sarkozy l’ont été surtout pour la France. L’Émir Abd El-Kader d’Algérie, le Cheikh Ahmadou Bamba du Sénégal, le Cheikh Ahmad al-‘Alawî de Mostaganem et enfin le Cheikh Abd El-Wâhîd Yahya (René Guénon) furent de nouveaux traits d’union entre l’Islâm et notre pays, et à ce titre, ils ont des enseignements méconnus et importants à nous délivrer. 

Ignorants de notre dette envers l’Islâm, les « national-populistes » modernes ont remplacé l’antijudaïsme d’hier par l’islamophobie d’aujourd’hui. Mais la vraie France n’est pas ce pays étriqué qu’ils voudraient réduire à une race ou à une religion. La France est une civilisation respectable fondée sur des valeurs universelles auxquelles l’Islâm a apporté sa contribution.


Didier Hamoneau, d’origine catholique, est converti à l’islam depuis 1987 et il est rattaché à la voie soufie non violente du cheikh Ahmadou Bamba, sur lequel il a écrit une biographie (1998). Il a également écrit quelques autres essais, notamment sur le dialogue des religions. Il signe ses livres du nom de El-Hajj ̀Alioune M'Backé.



vendredi 29 novembre 2024

"Si je meurs, je ne veux pas qu’on regarde les photos dans mon téléphone"

 


Claude El Khal :

"Si je meurs, je ne veux pas qu’on regarde les photos dans mon téléphone."

Elle riait. Elle plaisantait. L’humour face à l’horreur. La politesse du désespoir… Mais son rire s’est étreint. Elle a été assassinée par Israël à Beyrouth avec toute sa famille.


Un effroyable désastre humanitaire

 


Emma Fourreau, députée européenne :

"Israel détruit, massacre les femmes, affame les enfants, assèche les ressources vitales aux palestiniens pour les regarder mourir à petit feu.

"Le boucher Netenyahou veut couper la dernière main tendue à la Palestine et porter le coup fatal à une population plongée dans un effroyable désastre humanitaire…

Israël interdit les activités de L’UNRWA."



Marie Marysieńka, auteure :

"Les sacs de sucre destinés à l'aide humanitaire sont remplacés par des sacs de sable... Une société sadique et démente."






Israël : le pire de ce dont l’humanité est capable





"Israël – le pire de ce dont l’humanité est capable."

"Un jour, quelqu’un déterrera les enregistrements de nos témoignages, plaidant depuis 14 mois. Ils déterreront les archives des Palestiniens qui ont couvert leur propre génocide."

Le Dr Tania Hassan est une pédiatre qui a fourni des soins médicaux aux patients à Gaza. Elle s'est exprimée à l'occasion de la « Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien »


Nations Unis : 


29 novembre
Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien


En 1977, l’Assemblée générale des Nations Unies a prié le Secrétaire général de l’ONU d’organiser chaque année, en consultation avec le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, une Journée de solidarité avec le peuple palestinien (résolution 32/40 B, du 2 décembre 1977). La date du 29 novembre a été retenue en raison de sa signification particulière pour le peuple palestinien. En effet, ce jour-là en 1947, l’Assemblée générale a adopté, la résolution A/RES/181 (II), qui prévoyait le partage de la Palestine en deux États. 


"La lâcheté d'un monde occidental décadent"

 


"Un homme joue "La liste de Schindler" dans les ruines de sa maison. Quel témoignage pour la postérité ! La lâcheté d'un monde occidental décadent face à la barbarie de l'un des siens." Doctor Who.


Israël a tué le professeur Hassan Shreim et sa famille



"Lors de l’attaque israélienne de la nuit dernière, les corps de l’épouse et des enfants du professeur Hassan Shreim, tués dans l’assaut, ont été récupérés ce matin par les équipes de secours. 

Après l’attaque, les soldats israéliens ont ouvert le feu sur les ambulances qui tentaient de secourir les blessés (vidéo)."





Israël contrôle les USA, la France, et les autres pays occidentaux




Par le Général DELAWARDE


La relation « fusionnelle » entre les États Unis et Israël est mieux connue, plus ouverte, mais rares sont ceux qui en identifient tous les ressorts et connaissent la véritable ampleur de l’influence de l’état hébreu sur la politique étrangère US.

Il faut se souvenir que le vote de la résolution 181 des Nations Unies sur le plan de partage de la Palestine et la reconnaissance d’un État juif n’a été obtenu le 29 novembre 1947 qu’après plusieurs tentatives infructueuses dont la première datait de septembre 1947. Les votes favorables n’étant pas suffisants en septembre et toujours pas le 25 novembre, le Yichouv représentant le mouvement sioniste en Palestine, a fait appel à la riche communauté juive américaine et en particulier à la « Zionist Organization of America (ZOA) » pour faire pression sur le gouvernement US afin qu’il incite certains états, en situation de dépendance, à changer leur vote.

Cet appel a porté ses fruits puisque 8 états (dont la France, fortement dépendante du plan Marshall) ont changé leur vote en 4 jours, entre le 25 et le 29 novembre 1947 permettant enfin la reconnaissance de l’état d’Israël. Notons, pour l’anecdote, que Staline, croyant que Ben Gourion allait faire du nouvel état un état communiste, a fait voter en faveur du plan de partage.

A la suite de cette première réussite dans l’instrumentalisation de la communauté juive américaine, l’état hébreu a compris tout l’intérêt d’organiser et de cultiver sa relation avec les États Unis, pays surpuissant, membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto.

Dès 1951, l’AIPAC (American Israeli Public Affairs Comittee), principal outil d’influence d’Israël sur le gouvernement des États-Unis, est créé. Il se donne six objectifs principaux :

• Faire du lobbying auprès du Congrès américain et de la Maison Blanche pour préserver les intérêts israéliens,

• S’assurer du veto des États-Unis contre toute résolution de l’ONU condamnant les actions israéliennes,

• Assurer une aide financière et militaire généreuse envers Israël,

• Préparer la future génération de leaders US pro-Israéliens,

• Surveiller les votes et les propos des élus américains concernant les affaires liées de près ou de loin à Israël,

• Coordonner et orienter les donations des juifs américains pour les candidats aux élections, notamment présidentielles.

Il est important de noter que ce puissant lobby est riche, bipartisan et plutôt transparent.

Après plus de 65 ans d’existence, il est particulièrement efficace tant chez les Démocrates que chez les Républicains. Il ne cache pas grand-chose de ses objectifs et de ses méthodes.

C’est peut être, en partie, ce qui fait sa force.

Il est également important de noter qu’au travers des donations aux candidats aux élections, l’AIPAC « achète » évidemment le vote du parlementaire élu grâce à son aide, ou la position de politique étrangère du Président des États-Unis élu grâce aux donations de ses membres, ou des postes clefs de conseillers dans la haute administration US, notamment dans la politique étrangère, dans le secteur de la défense et dans le renseignement.

L’AIPAC peut évidemment compter sur une très forte majorité des médias qu’il contrôle et qui lui est dévouée et sur de nombreux « people » qu’il a contribué à promouvoir.

A noter que ce système qui fonctionne de manière ouverte aux USA, existe aussi, mais de manière plus occulte, dans certains autres pays de la « coalition occidentale ».

Pour compléter ce dispositif, le Mossad a mis en place, principalement aux USA mais aussi ailleurs, un dispositif très efficace facilitant le renseignement et l’action directe. Il s’agit du système unique des sayanims, individus de bon niveau et bien placés dans la société, membres de la diaspora et acceptant d’aider Israël. Ce système est parfaitement décrit par Jacob Cohen dans sa courte conférence consultable sur You Tube. S
elon lui, ils seraient environ 15.000 juifs américains aux USA :



Ce dispositif est également évoqué par Victor Ostrovsky, ancien agent du Mossad ayant fait défection, ou par Gordon Thomas, dans son livre : « l’histoire secrète du Mossad ».

Enfin l’AIPAC, outil d’influence d’Israël au cœur de la gouvernance US, est très lié à l’idéologie néoconservatrice. Ce lien apparaît clairement dans l’article de Laurent Guyenot de mars 2013.

Extrait : « Le néoconservatisme, qui est généralement perçu comme une droite républicaine extrême, est en réalité un mouvement intellectuel né à la fin des années 1960 au sein de la rédaction de la revue mensuelle Commentary, l’organe de presse de l’American Jewish Committee qui a remplacé le Contemporary Jewish Record en 1945.

The Forward, le plus ancien quotidien juif américain, écrit dans un article de 2006 : « S’ily a un mouvement intellectuel en Amérique dont les juifs peuvent revendiquer l’invention, c’est bien le néoconservatisme. Cette pensée horrifiera sans doute la plupart des juifs américains, majoritairement libéraux.

Et pourtant c’est un fait qu’en tant que philosophie politique, le néoconservatisme est né parmi les enfants des immigrants juifs et qu’il est actuellement le domaine particulier des petits-enfants de ces immigrants ». L’apologiste du néoconservatisme Murray Friedman explique cela par la bénéficience inhérente au judaïsme, « l’idée que les juifs ont été placés sur terre pour en faire un monde meilleur, peut-être même plus sacré. »

On peut effectivement constater que les principaux néoconservateurs américains qui ont fondé le PNAC ( Project for a New American Century ) en 1997, et rédigé son texte de référence « Rebuilding America’s Defenses » en 2000, sont d’ascendance juive Krauthammer, Kristol, Podhoretz, Perle, Kagan, Horowitz, Wolfowitz, etc.)

Depuis septembre 2001, ce sont bien les néoconservateurs qui ont initié la politique d’ingérence US tous azimuts et tous prétextes de Bush (Irak, Afghanistan), et qui ont continué, à un moindre degré sous Obama, à influencer la politique étrangère (printemps arabes, Libye, Syrie, Yémen, Ukraine). Si le PNAC est bien mort en 2006 suite au conflit irakien, l’idéologie néoconservatrice, elle, imprègne encore les esprits dans la politique et la haute administration US.

Obama n’a réussi à échapper à cette influence « néoconservatrice-AIPAC » qu’à trois occasions, lors de son second mandat, alors qu’il ne cherchait plus la réélection :

- le refus d’appliquer des frappes sur les forces du régime syrien du 30 août 2013,

- l’accord sur le nucléaire iranien du 14 juillet 2015,

- l’abstention US lors du vote du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant la poursuite des implantations israéliennes en Palestine occupée du 23 décembre 2016.

L’influence incontournable et la puissance de l’AIPAC se sont clairement exprimées lorsque Benjamin Netanyahu a pu se faire inviter par le président du Congrès US à prononcer un discours, devant les parlementaires, le 3 mars 2015, contre la volonté du Président Obama, ce qu’aucun autre chef d’état au monde n’est capable de faire, et ce qu’il a probablement payé le 23 décembre 2016.

(...) on peut vraiment se demander si l’action bipartisane et combinée de l’AIPAC, des néoconservateurs et des sayanims US, tous étroitement unis dans la défense des intérêts de l’état hébreu, ne décide pas souvent de la politique étrangère des États Unis et donc de la paix ou de la guerre dans telle ou telle partie du monde.

Il est aussi fascinant de constater qu’Israël, petit État de 22.000 km² (2 fois le département de la Gironde), peuplé de 8,6 millions d’habitants (30% de moins que l’Île De France) puisse exercer une telle influence au niveau planétaire.

Ce système « pro-Israël » qui fonctionne parfaitement aux États Unis existe-t-il à l’identique dans d’autres pays ? La réponse est oui.

Un tel système existe, mais plus opaque, dans une bonne dizaine de pays au moins, parmi lesquels la France, la Grande Bretagne, le Canada, l’Australie mais aussi le Brésil, l’Argentine et même la Russie où il est, aujourd’hui, maîtrisé par Poutine.

En France, il existe bien un lobby dont l’influence a été évoquée par François Mitterrand. Il existe bien des néocons qui influencent les décisions de politique étrangère et de défense. Le journaliste d’investigation Vincent Jauvert en a débusqué tout un groupe qui contrôlerait le Quai d’Orsay et serait gentiment surnommé par leurs collègues : « la secte ».

Quant aux sayanims, ils seraient environ 2000 en France selon Jacob Cohen. On les trouve évidemment dans le gouvernement et la haute administration, au parlement (60 députés franco-israéliens), aux Affaires Étrangères, à la Défense, dans le renseignement, dans la presse, dans l’audiovisuel, à la culture, dans les affaires et chez les people.

Ceci explique que notre politique étrangère soit strictement alignée sur celle des USA depuis 2007. Ceci explique aussi que notre presse se soit strictement alignée sur la presse US [...]

Extraits de l'article "ANALYSE DES RELATIONS ÉTATS-UNIS/ RUSSIE/ ISRAEL" du Général Dominique DELAWARDE (Ancien chef du bureau Situation-Renseignement-Guerre Électronique » de l’État major Interarmées de Planification Opérationnelle).

Source :


jeudi 28 novembre 2024

La propriétaire d'un café casher à l'hôpital juif surprise en train de faire le salut nazi

 



Une femme surprise en train de faire le salut nazi et de proférer des menaces antijuives lors d'une manifestation pro-palestinienne a été démasquée comme étant la propriétaire de deux cafés casher à l'intérieur de l'hôpital général juif de Montréal, au Canada.

Mallie Mai Abdulhadi, 39 ans, a été filmée de manière choquante en train de faire le salut Sieg Heil en direction de contre-manifestants pro-israéliens lors de la manifestation de jeudi dernier à l'Université Concordia, où elle a étudié.

Elle a tenté de dissimuler son identité avec un keffieh - un foulard palestinien traditionnel - ainsi qu'un masque médical et des lunettes de soleil, mais elle a été dévoilée alors qu'elle se moquait du groupe opposant.

Abdulhadi les a avertis dans la vidéo : « La solution finale arrive. La solution finale. Savez-vous ce qu'est la solution finale ? Savez-vous ce qu'est la solution finale ? »

La solution finale était le plan nazi pour le meurtre de masse délibéré et systématique des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a eu lieu de 1941 à 1945 et a vu la grande majorité des victimes juives assassinées.

Abdulhadi a été rapidement identifiée sur les réseaux sociaux comme l'un des propriétaires des franchises Second Cup Café dans deux pavillons de l'Hôpital général juif - les deux cafés sont certifiés casher, selon le Conseil communautaire juif de Montréal.

La société de supervision du café, Second Cup Canada, a confirmé qu'Abdulhadi « a été filmée en train de faire des remarques et des gestes haineux » ...

Dans un communiqué, l'entreprise a expliqué : « En coordination avec l'hôpital, nous avons fermé le café franchisé et résilions le contrat de franchise.

L’Histoire n’oubliera pas ce qu’Israël a fait subir aux enfants palestiniens


"A child flees barefoot with her family from their home as tanks invaded the area." Sulaiman Ahmed.



"Quelles images terribles, que celles de ces enfants obligés de fuir pieds nus entre les ruines, avec juste quelques affaires dans un petit sac à dos.
L’Histoire n’oubliera pas ce qu’Israël a fait subir aux enfants palestiniens." Aymeric Caron.



"Ce qui se passe à Gaza est au delà de tout ce qu’on peut imaginer et décrire"

 



"Je travaille pour médecins sans frontières donc j’ai vécu beaucoup d’endroits de la planète qui n’étaient pas très joli à regarder. […] Ce qui se passe à Gaza est au delà de tout ce qu’on peut imaginer et décrire." Aurélie Godard, médecin MSF.


"La destruction intégrale de Gaza et son repeuplement par des juifs"





Juan Branco, avocat et docteur en droit :

Pas à pas, la stratégie de colonisation, d'envahissement et de repeuplement de Gaza prend forme.

Élaborée par les Kahanistes, elle a pour objectif final la destruction intégrale de Gaza et son repeuplement par des juifs.

Ce dessein s'inscrit dans l'objectif de la création du "Grand Israël", englobant dans sa version la plus extensive la Syrie, la Jordanie et le Liban.

Il passe par l'élimination intégrale du peuple palestinien, qualifié par certains des plus puissants membres du gouvernement d'Israël d'"Amalecks" (terminologie biblique désignant des ennemis héréditaires à exterminer), mais également de toute population arabe sur ces territoires.

Ceux-ci sont en effet considérés comme une "menace existentielle" par les alliés de Netanyahou, qui occupent désormais des postes clefs au sein de son gouvernement.

Les populations chrétiennes, historiquement implantées en Palestine, sont tout aussi haïes par les kahanistes, que Benzi Gopstein, allié de Ben Gvir n'hésitait pas à qualifier de vampires impurs.

Bezalel Smotrich l'a annoncé: le départ des palestiniens de leurs terres, et de toute population arabe d'Israël, se fera de gré ou de force.

L'évolution sur le terrain confirme le sérieux de leurs intentions, mais également des projets exposés par Netanyahou à l'Arabie Saoudite et d'autres partenaires visant à faire de Gaza, une fois celle-ci intégralement rasée, une sorte de centre offshore neutralisé sous le contrôle de son gouvernement.

Dans la suite des accords d'Abraham, le gouvernement israélien a ainsi élaboré ce projet, dont nous avions rendu publics les slides, qui consistait à offrir à l'Etat wahabbite un accès contrôlé à la Méditerranée en échange de son soutien et de ses investissements.




"La France s'est couchée"


Elodie Dievart sur X :

"David Antonelli appelle Rima Hassan à se moucher dans son "torchon" parce que Netanyahu viendra à Paris faire du shopping avec sa femme puisque la "France s'est couchée aujourd'hui". Propos honteux de bout en bout."




David Antonelli est écrivain, conférencier, président de l’association Corse-Israël, intervenant régulier sur I24 News. (Torah, Sionisme, actualité politique et géopolitique).


"M. Netanyahou ne bénéficie d'aucune immunité en France"

 


Juan Branco, avocat et docteur en droit :

Contrairement à ce qu'affirme M. Barrot, le Statut de Rome créant la Cour pénale internationale exclut explicitement toute forme d'immunité pour les dirigeants suspectés de crimes de guerre, crimes contre l'humanité et crimes de génocide.

La répression de ces crimes fait partie du jus cogens et les immunités relatives aux chefs de l'Etat d’Etat tiers mentionnées par l'article 98 ne sont pas applicables dans notre pays, la jurisprudence française considérant que ces crimes ne pouvaient faire partie des "fonctions officielles" d'un chef d'Etat.

S'il en allait autrement, M. Poutine - qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la CPI - et M. Al Assad - qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt français seraient tout aussi protégés que M. Netanyahou de toute poursuite.

Il n'y a, aujourd'hui, en droit français et selon ses propres juges, aucune incompatibilité entre nos obligations internationales et l'exécution du mandat d'arrêt visant M. Netanyahou. Et M. Barrot le sait.

M. Barrot a menti. Il a engagé la parole du Quai d'Orsay, son autorité et sa légitimité.

Notre personnel diplomatique doit demander des comptes. M. Netanyahou ne bénéficie, en l'état du droit actuel, d'aucune immunité en France. 

Le ministre doit être démis.

Il est effrayant de voir le Quai d'Orsay laisser un ministre de pacotille, aussi illettré que son prédécesseur, aussi prestement nommé qu'il sera démissionné, entacher ainsi sa réputation et son autorité.

Il est inconcevable que la Direction des affaires juridiques du Quai, parmi les plus réputées au monde, n'ait pas prévenu le ministre de ce que la cour d'Appel de Paris avait, le 26 juin 2024, acté que les immunités personnelles et fonctionnelles des chefs d'Etat et de gouvernement étaient sans objet concernant la commission des crimes sanctionnés par le droit international coutumier, dont évidemment tous ceux couverts par le Statut de Rome.

C'est aujourd'hui et sauf rebond jurisprudentiel - recherché par ce gouvernement qui a ordonné au PNAT de se pourvoir en cassation à cette fin - la position de la justice française.

Elle est sans ambigüité et impose à la France d'exécuter le mandat d'arrêt émis par la CPI contre M. Netanyahou.

M. Barrot le sait.

La déclaration du Quai d'Orsay - qui engage tout le ministère - est visiblement le fruit d'une pression politique maximale.

En affirmant que les immunités "devront être prises en considération si la CPI devait nous demander leur arrestation et remise", le Quai d'Orsay joue avec la vérité et tente d'alimenter un doute aujourd'hui inexistant, dans l'espoir d'un revirement de jurisprudence à venir.

Pourquoi ? Quels intérêts cherchent-ils, ce faisant, à satisfaire, tandis que jamais pareille déclaration n'a été faite concernant M. Poutine ou toute autre personne en des circonstances équivalentes ?

L'évidence aujourd'hui s'impose: M. Netanyahou, en l'état du droit français, ne pourrait invoquer ni son immunité fonctionnelle, ni son immunité personnelle, et serait arrêté s'il se rendait sur notre territoire.

Il lui appartiendrait ensuite de contester cette arrestation devant les tribunaux, et d'espérer que la Cour de Cassation, comme le demande le gouvernement français, infirme la jurisprudence de la cour d'appel de Paris.

Voilà ce qu'aurait dû déclarer le quai d'Orsay.


https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/israel-territoires-palestiniens/article/israel-cour-penale-internationale-27-11-24

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Et Emmanuel Macron veut assurer l'impunité à Netanyahu

"Cette famille palestinienne s'est installée sur les décombres de sa maison détruite à Khan Younis. La tente qui les hébergeait a été emportée par le vent et les pluies. Et Emmanuel Macron veut assurer l'impunité à Netanyahu, le responsable de cette tragédie." Taoufiq Tahani.









Les Khazars : les calottes, Magog et l’étoile à six pointes



La treizième tribu d’Arthur Koestler 

Arthur Koestler, écrivain juif bien connu, sentit vraiment toute la pression des Juifs en 1976 lorsqu’il publia ce qui allait devenir un bouquin sensationnel à propos des Khazars et des Juifs. Son livre, "The Thirteenth Tribe" (La treizième tribu), apparut en hébreu et en anglais ; or, même s’il fut mis sur la Liste des best-sellers du New York Times, les librairies juives le bannirent. 

On peut comprendre pourquoi la nation juive eut peur de la recherche explosive de Koestler quand on lit le livre. C’est un survol détaillé de l’histoire khazare et Koestler y démontre comment cette histoire se raccorde avec celle des Juifs. Koestler écrit ceci : 

« La grande majorité des Juifs survivants dans le monde est d’origine européenne de l’est — et donc sans doute principalement des Khazars. S’il en est ainsi, cela voudrait dire que leurs ancêtres ne vinrent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, considéré jadis comme le berceau de la race aryenne ; et que, génétiquement, ils sont plus étroitement reliés aux tribus des Huns, des Ulgurs et des Magyars qu’à la semence d’Abraham, Isaac et Jacob. Si cela s’avère le cas, alors le terme « antisémite » perd toute signification si l’on se fonde sur la mauvaise interprétation que partagent à la fois les tueurs et les victimes. L’histoire de l’Empire khazar, à mesure qu’il émerge du passé, commence à ressembler au canular le plus cruel que l’histoire ait jamais perpétré. » 

Koestler était un Juif sioniste et il ne pensait pas que son livre bien documenté allait faire des dommages à la capacité des Juifs — qu’il savait être, par ses recherches, de descendance khazare turco-mongole — à continuer leur domination sur la nation d’Israël. Il était incorrect à cet égard. La science de l’ADN a validé l’œuvre de Koestler et maintenant la nation juive est nue devant le monde entier, monde qui voit de plus en plus la nation d’Israël comme une aberration de l’histoire, un exemple premier de peuple brutal manipulant l’opinion publique et utilisant la violence et les mensonges pour s’accaparer un territoire qui ne lui a jamais appartenu.

Les Khazars : les calottes, Magog et l’étoile à six pointes 

Dans le livre de Koestler, nous découvrons que les Khazars furent des experts en gestion de monnaie et de finance. Nous voyons qu’ils unirent leur marque du judaïsme à leurs coutumes païennes. L’adoption de la calotte (yarmulke) par les Juifs vient des Khazars de Pologne, comme d’ailleurs l’utilisation par cette nation d’autres atours, particulièrement le chapeau en fourrure de renard, le shtreimel. La passion des Khazars pour les boulettes de poisson est également mentionnée. 

Koestler explique que les Khazars se déclaraient descendants de Magog, et nous avons ainsi un lien avec les références à Gog et Magog dans la Bible.

D’autres sources parlent de l’adoption par les Khazars de l’étoile à six pointes en tant que leur écusson et symbole national. 

Neturei Karta, groupe de Juifs opposé au sionisme, rapporta, dans son bulletin de nouvelles, l’utilisation par les Khazars de l’étoile à six pointes que les Juifs appelent faussement aujourd’hui « l’étoile juive de David ». 

« Des gravures ressemblant à l’Étoile juive de David furent déterrées dans deux sites khazars, l’une le long de la rivière Donets dans l’est de l’Ukraine, et l’autre le long de la rivière Don dans le sud de la Russie. Celle-ci est un disque circulaire en métal que le professeur Bozena Werbart, de l’Université Umea, interpréta comme étant juive, mais d’autres le considèrent comme shamanique ou païen. La nature circulaire du disque pourrait représenter le soleil. Des érudits tendent à attribuer le disque au shamanisme tengri dû au fait qu’il y a des exemples connus de disques solaires khazars avec 5 ou 7 pointes plutôt qu’invariablement 6. Certains des tombeaux turco-juifs à Chelarevo, dans ce qui était d’habitude la Hongrie, contient des gravures d’Étoile qui appartiennent aux migrateurs khazars kabars. » [...]

Les Juifs viennent de la Khazarie 

"The Thirteenth Tribe" d’Arthur Koestler est, en fait, l’histoire des Juifs avant qu’ils ne deviennent juifs — quand ils étaient des Khazars. Et il remarque que les preuves cumulatives disent que la contribution khazare au composé génétique de la juiverie mondiale d’aujourd’hui est substantielle, sinon dominante, assertion d’ailleurs corroborée par la science moderne de l’ADN : 

« La ration numérique des Khazars à la contribution sémitique et autres est impossible à établir. Mais les preuves cumulatives nous inclinent à être d’accord avec le consensus des historiens polonais qui disent que « dans les débuts, la masse principale tira son origine du pays des Khazars, » et que, par conséquent, la contribution khazare au composé génétique des Juifs doit être substantielle et, selon toute probabilité, dominante. » 

Le site DNA Consultants (Consultants en ADN), site spécialisé pour les professionnels et les recherchistes en ADN, firent récemment à Koestler le compliment ultime, quoique tardif, dans un article intitulé Khazarian Hypothesis or European Jewish Origins Vindicated (L’hypothèse khazare ou les origines juives européennes justifiées). L’article dit que les recherches génétiques définitives sur l’ADN du Dr Eran Elhaik de l’Université médicale Johns Hopkins montrent que la théorie de la « Treizième tribu » de Koestler est exacte. Puis, on poursuit en disant :

« Une nouvelle étude d’Eran Elhaik (Genome Biology and Evolution (La biologie du génome et l’évolution, vol. 5.1, pp. 61-74), confirme notre pensée avec des preuves rigoureuses qui semblent très probablement régler une fois pour toute cette question débattue avec rancœur… 

« Selon le Science News (16 janvier 2013), la nouvelle étude dissipe les rapports contradictoires précédents à propos de l’ascendance juive. Les découvertes d’Elhaik supportent fortement l’Hypothèse khazare… 

« C’est une version de l’histoire complètement différente, beaucoup plus proche du récit d’Arthur Koestler, une théorie pour laquelle il a été fustigé par ses frères juifs et spécialement les sionistes… »

D’après DNA Consultants et Science News, les découvertes d’Elhaik sont scientifiquement valides et fortement convaincantes à cause de sa méthodologie supérieure : 

« La nouvelle étude n’était pas possible jusqu’à tout récemment quand de nombreuses brèches dans la génétique caucasienne et juive furent colmatées pour la première fois en employant des approches autosomiques plutôt que des vues d’ensemble d’haplo type relié au sexe. Le chef-d’œuvre d’Elhaik examine une série de données complète sur 1 287 individus sans lien de parenté, ce dans 8 populations juives et 74 non juives génotypiques sur un éventail d’un demi million de polymorphies nucléotides simples (PNS) ou marqueurs. Ces données furent adaptées d’une étude d’il y a trois ans de Doron Behar et ses collègues. 

« Le rôle central de la Khazarie ne fut pas non plus voulu ou désiré chez les érudits eurocentristes qui avaient tendance à dénigrer les Ostjuden ou Juifs de l’Est. Peu d’historiens allèrent jusqu’à concéder le fait que la Khazarie fut un état juif ayant duré près d’un millénaire, où l’on y parlait hébreu, préférant penser qu’il s’agissait d’une sorte de fable de voyageurs ou d’un pays de fiction religieuse. 

« Elhaik employa sept mesures d’ascendance, de parenté, de mélange, de distances partagées d’allèle, d’origines géographiques et de modèles de migration pour identifier les signatures ancestrales européennes et orientales près du Caucase dans le génome juif européen ainsi qu’un génome moyen-oriental plus petit mais substantiel. Les résultats dépeignirent de manière cohérente l’ascendance caucasienne (khazare) de tous les Juifs d’Europe. »

Donc, Koestler et les autres avaient raison. La vaste majorité des « Juifs » d’aujourd’hui viennent de l’émigration de la Khazarie vers l’Europe de l’Est. Ils ne sont pas la descendance d’Abraham. Il n’y eut pas de migration massive (le concept du « Juif errant » est une fraude) à partir de la Palestine à aucun moment. Les gens du Proche-Orient qui s’appellent maintenant Palestiniens, prétend Shlomo Sand, étaient originalement des Judéens (ou Juifs). Au fil des ans, ces Judéens furent assimilées par les populations locales et devinrent musulmans. Voilà pourquoi le Dr Ariella Oppenheim découvrit en 2001 qu’un si grand nombre de Palestiniens modernes ont au moins une petite portion d’ADN juif.

Flash ! Les Palestiniens ont plus de sang des anciens Israélites que ceux qui se disent aujourd’hui Juifs. Et certains ont le chromosome Y « Cohen » en plus !

Texe Marrs, "DNA Science and the Jewish Bloodline" (La science de l’ADN et le sang de la lignée juive).


Texe Marrs

Who are the Jews? What is their ancestry? Are the Jews a homogenous race? Are Jews descended from Abraham, Isaac, and Jacob? 

Today, DNA science reveals that almost all the Jews in the world come from Khazaria. They are not of the blood lineage of Abraham and the prophets, but of King Bulan and the pagan peoples of the Caucasus. The ancestors of today's Jews are not Israelites but are Khazarians. Khazaria's people, in the 8th century, converted from paganism to Judaism. In the 10th century, these Khazarian "Jewish" converts emigrated to Eastern Europe, and especially Poland and Lithuania. 

In 1948, the Khazars, erroneously believing themselves to be "Jews," arrived in the territory of Palestine and set up the state of Israel. The people of Israel today are virtually all of Khazar (Turk/Mongol stock) extraction. The "Jews" have no genetic claims to the land of Israel and no family connection whatsoever to historical Israel. 

DNA science joins recent discoveries in history and archaeology to present the world with a correct and remarkable picture of the Jewish people. Now, everything changes!

Texe William Marrs (July 15, 1944 - November 23, 2019) was an American writer and radio host, who ran two fundamentalist Christian ministries, Power of Prophecy Ministries and Bible Home Church, both based in Austin, Texas.


mercredi 27 novembre 2024

L'horreur en Cisjordanie longtemps avant le 7 octobre

 



"Les horreurs de Tsahal sur les Palestiniens depuis des décennies.
Images tournées en Cisjordanie, c'était bien avant le 7 octobre 2023."


(Vidéo relayée par "Mon doigt dans ton œil" sur X)


 

« l’immunité d’impunité du génocide » pour Netanyahu

 


France 24 :

Mandat d'arrêt de la CPI : Benjamin Netanyahu bénéficie d'une "immunité", selon le Quai d'Orsay

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu bénéficie d'une "immunité" qui "devra être prise en considération" en dépit du mandat d'arrêt émis contre lui par la Cour pénale internationale, a estimé mercredi la diplomatie française.

Commentaire du député Louis Boyard :

"Ce Gouvernement de lâches qui a perdu les élections vient d’inventer « l’immunité d’impunité du génocide » pour Netanyahu.

Encore une fois la honte à l’international. La honte devant l’Histoire.

Le peuple français n’a pas voté pour ça.

Qu’ils dégagent tous."




Le député Aymeric Caron insulté et menacé, son documentaire sur Gaza dérange




Aymeric Caron sur X :

"Insulté par des pro-Netanyahou alors que je marchais dans la rue avec ma famille. C’est arrivé souvent depuis plusieurs mois.

L’agressivité des pro-génocide n’a pas de limites. Oser m’agresser devant un enfant. La justice doit passer."

La Dépêche :

Aymeric Caron annule sa venue à Toulouse : le député menacé alors qu'il devait présenter son documentaire "Gaza après le 7 octobre".

News.DayFR :

Déjà reporté, le documentaire « Gaza après le 7 octobre » sera projeté samedi 30 novembre au cinéma Utopia Toulouse mais sans son auteur, le journaliste et député Aymeric Caron, victime de menaces.

Prévue en septembre puis finalement reportée pour des raisons évoquées par l’agenda du député et journaliste Aymeric Caron, la projection du documentaire « Gaza après le 7 octobre » a été annoncée samedi au cinéma Utopia Toulouse mais sans son réalisateur. “Ayant fait l’objet de nouvelles menaces, Aymeric Caron annule sa venue à Toulouse en fin de semaine” communique le cinéma Utopia à Toulouse. 

“En accord avec son équipe et les Mutins de la Pangée, nous maintenons la projection prévue le samedi 30 novembre à 10h30”. 

Arnaud Clappier, directeur du cinéma Utopia Borderouge, précise également : « La tourmente ne vient pas de Toulouse mais de Paris. Il n’y a pas ici l’ombre d’une remarque ou d’une plainte.»


CinéMutins par Les Mutins de Pangée :

"Gaza après le 7 octobre", le film de montage d'Aymeric Caron a été diffusé à l'Assemblée nationale le 29 mai 2024 (avant la dissolution)


"Ce film est écrasant, effroyable… Voilà ce qu’est vraiment la supposée 
« guerre contre le Hamas ». Cette réalité terrible doit être montrée crûment. Il est bon que ce film puisse être vu. On aimerait qu’il soit vu en Israël." Rony Brauman (Médecin, essayiste, ex-président de Médecins Sans Frontières).

Tuffah neighborhood of Gaza City

 

"In an attack by the Israeli army on a family residence in the Tuffah neighborhood of Gaza City, 6 Palestinian civilians, most of them children, lost their lives.

After prolonged efforts, rescue teams managed to pull Hassan Harb, a child, alive from the rubble of the bombed building."

Gaza Notifications



La 1ère page du New York Times

 



"La 1ère page du New York Times (du lundi 25 novembre 2024). L'horreur israélienne est indéfendable. L'échelle des enfants morts ou amputés est inexplicable, en dehors de l'intentionnalité du génocide. Il n'y a aucune autre explication recevable que la volonté génocidaire de Israël." Vanneur.


DÉPÔT D’UNE PLAINTE POUR COMPLICITÉ DE GÉNOCIDE CONTRE DES FRANCO-ISRAÉLIENS



 

Communiqué de presse :

Les associations EuroPalestine et AJPO (Avocats pour la Justice au Proche-Orient) annoncent le dépôt d’une plainte visant plusieurs complices présumés de complicité de génocide à Gaza.

La plainte, avec constitution de partie civile, cite notamment Nili Naouri-Kupfer.

Cette personne, responsable de l’association française Israel is Forever, a revendiqué son implication dans l’organisation et la mise en œuvre, avec des dizaines d’autres émeutiers, du blocage des camions d’aide humanitaire destinés à la population de la bande de Gaza, sous l’œil bienveillant de l’armée israélienne. Elle s’en est vanté, vidéos à l’appui, car pour ces gens-là, tous les Palestiniens, hommes, femmes et enfants, sont à éliminer.

À l’heure où la justice internationale vient d’émettre des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant, il est indispensable que leurs complices, ressortissants français compris, soient amenés à répondre de leurs actes.


CAPJPO - EuroPalestine


L’avocate Nili Kupfer-Naouri milite pour un Etat d’Israël « de la mer au Jourdain » avec son association Israël is Forever.


Une domination sans partage de la mer au Jourdain.




Sexualité talmudique




Dans le Talmud (textes des lois religieuses judaïques), le juif ne sera pas puni par Dieu s'il sodomise une fille de moins de 3 ans ou un garçon de moins de 9 ans

Dans Yebamoth 60b, il est écrit :

"Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : 'Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte (et qui était mariée à un prêtre) qui n’avait pas encore trois ans et un jour, et Rabbi a déclaré : 'Elle peut vivre avec ce prêtre'."

Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si quelqu'un sodomise un enfant moins âgé, aucune culpabilité n'est encourue.

Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s'en prendre à celles de moins de 3 ans. Ce sont des extraits du Talmud (Édition Soncino).

Il faut savoir que le Talmud, qui est l'un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique et la base de sa loi religieuse, est utilisé pour former les rabbins !
Debunker News.




Rabbin : M. Mamouch Fenech, synagogue KLC de Marseille.




(...) pour le Talmud, livre ô combien sacré, les choses sont très claires : l’enfant n’est pas une personne et peut donc être utilisé comme objet sexuel. 

Voici un extrait du livre de Elizabeth Dilling, "The Jewish Religion ; Its Influence Today", chapter 5, Talmudic Immorality, Asininity and pornography: the reprobate mind, page 2. Je précise qu’Elizabeth Diling a écrit son livre se référant point par point aux textes juifs, que j’ai moi-même vérifié point par point, dont d’une version du Talmud, en grande partie non expurgée, "The Soncino Talmud", disponible en anglais. Toutes les autres versions ont été assainies de leurs insanités. Les seules versions originales ne sont disponibles qu’aux disciples des yeshivas et en hébreu :

"Les bébés peuvent être utilisés comme sujets de sodomie par des hommes adultes, selon le Talmud. Le subterfuge pharisien ici est qu’un enfant jusqu’à ce qu’il ait atteint la maturité sexuelle, capable d’avoir des relations sexuelles, n’est pas considéré comme une personne, en conséquence, la loi Biblique contre la sodomie ne s’applique pas. Tout au long du Talmud, ‘neuf ans et un jour’ est l’âge fictif."

Un peu plus loin, Elizabeth Dilling nous dit encore : 

"Lorsqu’un homme adulte a une relation sexuelle avec une petite fille, c’est rien, parce que alors la fille est moins que rien - cela correspond à moins de trois ans - c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil - des larmes coulent de ses yeux encore et encore, mais la virginité revient à une petite fille avant l’âge de trois ans."

Page 4 du même chapitre, Elizabeth Dilling nous cite cet intéressant passage de la Bible qui dit l’exact contraire du Talmud : 

"Moïse donna ordre aux prêtres que : ‘Ils ne peuvent pas prendre pour femme une prostituée ni une profane... car il est saint selon son dieu’ (Lévitique 21:7). 

Les lois sur l’inceste sont encore plus véhémentes ‘La nudité de ta mère tu ne dois pas découvrir: elle est ta mère...’(Lévitique 18:7). 

Et dans le Talmud les ‘sages’ pharisiens inversent les injonctions bibliques. ‘Si une femme a batifolé impudiquement avec son jeune fils (un mineur) et qu’il est engagé dans la première étape de relation sexuelle avec elle - Beth Shammai dit, il la rend inapte pour le Clergé (elle est déclarée comme prostituée et ne peut épouser un homme de religion). 

Mais Beth Hillel (Talmud) la déclare apte... Tous sont d’accord pour dire que la relation sexuelle d’un garçon âgé de neuf ans et un jour est une vraie relation ; tandis que celle d’un garçon de moins de huit ans n’en est pas une (une note de ce passage précise : donc si il a neuf ans et un jour, Beth Hillel est d’accord pour dire que la femme est disqualifiée pour se marier avec un homme de religion alors que Beth Shammai est d’accord qu’elle ne l’est pas s’il a moins de huit ans)."

Finalement le désaccord se situe au niveau de l’âge du garçon et non pas du tout sur le principe de la relation sexuelle d’une mère avec son fils. On est là à l’opposé des enseignements bibliques qui comme je l’ai dit et le répète ont été conçus à l’intention des seuls Goyim. 

Ces rabbins ont donc joué le rôle de protecteur, censeur, et moralisateur alors qu’eux-mêmes pratiquent la pédophilie depuis la nuit des temps, ont des mœurs en général plus que critiquables et perverses. 

C’est déjà révélateur de la nature de cette soi-disant religion, qu’ils osent qualifier de spirituelle. 

Le respect, le cœur, la sensibilité, l’humanité et la conscience sont des vertus ignorées des Juifs et tout particulièrement des rabbins et autres religieux. 

Comme d’habitude, ils veulent donner une image qui ne correspond en rien à la réalité. 

Comme d’habitude, il y a toujours la vitrine et l’arrière boutique. La première étant à l’opposé de la seconde. 

Inverser, intervertir les rôles est la base de la stratégie juive : traiter l’autre de ce qu’ils sont eux -mêmes. Principe à garder en mémoire et à appliquer pour tout. 

Aussi, tout un traité du Talmud a été dédié à la manière dont les Juifs doivent considérer les Gentils et sur les lois gérant leurs relations. Ce livre a donné les horreurs que beaucoup d’entre vous connaissent déjà. [...]

En fait, la religion juive est basée sur la Loi. Des lois pour les Juifs qui générèrent celles des Gentils pour les Gentils puisque dès le début de leur histoire, les Juifs n’eurent qu’une obsession ; codifier, réglementer, légiférer sur ce que devaient être les relations entre Juifs et Gentils. 

Leur Loi leur fut donnée par leur dieu. Or pour se conformer à la Loi de leur dieu, il y eut nécessité de l’imposer aux hommes, à tous les hommes, donc à tous les non Juifs. Cet aspect juridique eut le double avantage, d’une part d’édicter les règles légales, juridiques qui se mettraient progressivement en place dans toutes les nations non juives et d’autre part de travailler, de préparer, de collecter au fur et à mesure une argumentation de fond qui serait mise à jour et utilisée selon les besoins et les époques. Puisque l’histoire et le statut de cette religion ne sont que pure imposture, il fallait être prêt à se défendre sans pour autant en avoir l’air.

Ainsi une argumentation juridique serrée, compliquée et tordue se mit en place afin que les Juifs aient toujours un moyen légal, historique ou religieux, de retomber sur leurs pattes. "Tel passage de tel texte dit ceci ou cela". Ensuite, au fur et à mesure que les Juifs gagnèrent les postes de pouvoir partout dans le monde, la civilisation occidentale fut influencée par le judaïsme, comme le confirme la Jewish Virtual Library, en commençant par les Etats-Unis.

 Aujourd’hui cette Loi juive, le Talmud, est en passe de devenir la Loi de la planète : le processus de "talmudisation" de la planète est en cours. Et tout qui sera hors la Loi sera puni. Punition allant jusqu’à la mort puisque nous connaissons la teneur du Talmud concernant les Gentils. Même si la Bible n’est pas le Talmud, nous avons déjà un avant-goût de ce qui attend les réfractaires : 

"Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront..." Genèse 12:3.




"The Jewish Religion: Its Influence Today" by Elizabeth Dilling :
http://www.come-and-hear.com/dilling/index.html