mardi 12 novembre 2024

L'ONU a adopté la résolution annuelle sur la lutte contre la glorification du nazisme.


Incroyable de constater que 54 Etats ont voté contre. Ces 54 pays, l'ensemble de l'Occident américanisé et quelques satrapies exotiques, sont presque tous impliqués dans la guerre en Ukraine et le soutien (explicite ou tacite) d'un Etat génocidaire.

Brainless Partisan :

La Troisième Commission de la 79e session de l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution traditionnelle initiée par la Russie pour lutter contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d'autres pratiques qui contribuent à l'escalade des formes modernes de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l'intolérance qui y est associée. .» 40 pays étaient co-auteurs.

116 pays ont voté pour, 54 contre et 11 se sont abstenus.

Liste de ceux qui se sont prononcés contre la condamnation du racisme et pour la glorification du nazisme :

États-Unis, Canada, Ukraine, Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie, Espagne, Pologne, Moldavie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Autriche, Australie, Albanie, Belgique, Bulgarie, Danemark, Grèce, Chypre, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Slovaquie , Slovénie, Finlande, Croatie, République tchèque, Suède, Japon, Andorre, Bosnie et Herzégovine, Hongrie, Géorgie, Nouvelle-Zélande, Islande, Irlande, Kiribati, Liechtenstein, Luxembourg, Malawi, Malte, Norvège, Saint-Marin, Macédoine du Nord, Monaco, Îles Marshall, Micronésie, République de Corée, Palaos, Tonga, Fidji et Monténégro.



"Des cadavres gisent dans les rues et les chiens les mangent" : Youssef raconte la situation "horrible" dans le nord de Gaza




Des Palestiniens marchent au milieu des décombres dus à des frappes à Jabalia, dans le Nord de Gaza, le 10 novembre 2024. (OMAR AL-QATTAA / AFP)


Alors qu'Israël empêche toujours les journalistes étrangers d'entrer à Gaza, France info a pu recueillir le témoignage de cet habitant qui a fui le nord de l'enclave où il assure qu'un "nettoyage ethnique" est à l'œuvre.

Que se passe-t-il dans le nord de Gaza ? L'ultimatum que les Etats-Unis ont donné à Israël pour améliorer la situation humanitaire dans la région s'achève mercredi 13 novembre, alors que l'Etat hébreu avait 30 jours. Difficile de savoir ce qu'il se passe précisément dans cette région : les journalistes étrangers sont toujours interdits d'accès dans la zone. France info a toutefois pu recueillir le témoignage rare d'un habitant, Youssef, qui a quitté le Nord de l'enclave il y a peu, en fuyant sous les bombes.

Témoignage de Youssef à France info

C'est l'histoire d'un exil forcé. "C'était difficile. Quand on a atteint la place Zayed, ils ont commencé à nous tirer dessus. Ils ont visé des terrains vagues avec de l'artillerie. Des éclats ont blessé des gens. On est partis à pied. C'était terrifiant. Terrifiant !", s'exclame-t-il.

"Je suis parti à cause des frappes aléatoires."

Cet exil a commencé il y a un peu plus d'un mois, en octobre 2024, quand l'armée israélienne a accéléré son offensive sur le camp de réfugiés de Jabalia, au nord de la bande de Gaza. Youssef est alors parti avec sa femme et ses trois enfants. Le quatrième est mort dans un bombardement, il y a presque un an. Youssef a fui la ville, la peur au ventre, avec tous ses voisins.

"On est partis à pied. Ils ont vidé nos sacs et nous ont demandé de nous déshabiller, de rester en caleçon. En cas de doute sur une personne, elle est prise à part et elle est soumise à une fouille intégrale."

"S'ils décident de l'arrêter, ils la mettent en combinaison blanche, lui bandent les yeux et ensuite elle est emmenée... On ne sait pas ce qui lui arrive", poursuit-il.

Plus que l'absence d'aide humanitaire, ce sont les tirs incessants d'artillerie qui ont fait fuir Youssef, bien pires, dit-il, que les bombardements de l'aviation. Des immeubles sont anéantis et il n'y a plus de secouristes depuis déjà plusieurs semaines pour aller sauver les victimes, rapporte-t-il. "Je suis parti à cause des frappes aléatoires. Il n'y a plus d'endroits sûrs dans la région. Les maisons, les hôpitaux… Des cadavres gisent dans les rues et les chiens les mangent."

"La situation à Jabalia est catastrophique. C’est horrible. Ce qu’ils font c’est du nettoyage ethnique. C’est ça qu’on appelle un génocide."





Les habitants de Beit Hanoun doivent abandonner leurs biens et leurs maisons



L'armée israélienne a intensifié ses opérations, obligeant les habitants de Beit Hanoun à évacuer leurs maisons. Sous la pression incessante de bombardements lourds et continus, les familles sont contraintes de laisser derrière elles la vie qu'elles connaissaient autrefois.

En fuyant, ces familles se dirigent vers des destinations incertaines, sans savoir où elles trouveront la sécurité. Les scènes d'évacuation sont marquées par un sentiment accablant de peur, de chaos et de tristesse.

Les gens abandonnent leurs biens, les fragments de leur vie dispersés dans le sillage des destructions. Nombreux sont ceux qui se demandent s'ils reviendront un jour ou si leurs maisons survivront à l'assaut. L'incertitude du voyage à venir pèse lourdement sur tout le monde.


The Israeli army has intensified its operations, compelling residents of Beit Hanoun to evacuate their homes. Under the relentless pressure of heavy and continuous bombardment, families are being forced to leave behind the lives they once knew.

As they flee, these families are heading toward uncertain destinations, with no clear idea of where they will find safety. The evacuation scenes are marked by an overwhelming sense of fear, chaos, and sorrow.

People are abandoning their belongings, the fragments of their lives scattered in the wake of destruction. Many are left wondering if they will ever return or if their homes will survive the onslaught. The uncertainty of the journey ahead weighs heavily on everyone.

Source : Gaza Notifications.



Les Palestiniens du nord de Gaza meurent sous les bombes et de famine



Taoufiq TAHANI
, président d'honneur de l'Association France Palestine Solidarité :

Pendant que les fachos d'"Israël is Forever" et du Bétar 
(mouvement de jeunesse juif sioniste radical) se donnent RDV à Paris pour un Gala, avec Smotrich, et un match de foot, avec la présence honteuse d'Emmanuel Macron, les Palestiniens du nord de Gaza meurent sous les bombes et de famine.

Leurs morts se comptent en centaines...



Bonus

Le Bétar

Le but du Bétar est "de préparer ses membres à leurs devoirs de futurs citoyens israéliens" et le mouvement se propose "l'éducation d'un nouveau type de Juif, la création d'un État juif sur la terre d'Israël dans ses frontières historiques et le rassemblement des exilés sur leur terre ancestrale". 

Le Bétar est en effet un mouvement haloutsique. A l'opposé des groupes "diasporiques" ou "bundistes", il récuse l'idée d'une vie juive à l'extérieur d'Israël et s'oppose violemment à l'idéologie socialiste."

Le Bétar (...) est aujourd'hui pour la jeunesse la structure militante du parti Hérout. Les plus anciens dépendent du Tagar, organisation qui se charge, entre autres, d'assurer la protection souvent musclée des lieux communautaires. "Le Bétar ne s'est jamais embarrassé de subtiles arguties, comme l'explique un de ses responsables nationaux, ltshak Mopsik : 

"Notre but est de faire retourner les Juifs de France en Israël (...) Nous répondons au coup par coup. Nous sommes les pionniers de la violence politique (...) Dites bien que toutes les matraques, toutes les alertes à la bombe ne sont pas toutes du Betar." On appréciera le "toutes du Bétar". (...)

Le Bétar est le seul mouvement sioniste légalement déclaré en France à prôner l'autodéfense, et même l'attaque. 

Le Tagar a été fondé en France en 1986. Cette "association de la jeunesse étudiante juive" a pour but la "sensibilisation de la jeunesse étudiante juive de France à Israël et à l'Alyah (émigration en Israël". 

Le Tagar est une association paramilitaire : Chaque membre actif de l'Association a le droit de porter l'uniforme et les insignes correspondants de l'Association.

Le Bétar-Tagar peut intervenir d'autant plus facilement pour museler la liberté d'expression que nul ne souhaite évidemment dans la communauté de heurts entre juifs.

Emmanuel Ratier, "Enquête sur les milices sionistes" (extraits).




Gaza, la famine pourrait exterminer les survivants



"Ce que je vois avec mes yeux, c’est une destruction massive d’infrastructures, des gens vivant dans les conditions les plus scandaleuses.

Déplacés dans des bidonvilles, dans des tentes faites de couvertures. D’un point de vue humanitaire, la situation est absolument désespérée."

Le directeur des secours et des services sociaux de l'UNRWA, Roger Hearn, raconte à Al Jazeera English la crise à Gaza, mettant en garde contre une grande famine alors que l'aide reste bloquée et que les conditions de vie se détériorent.


Tous seront jugés par les hommes, puis par l'histoire

 



Le génocide à Gaza a été ajouté à la liste des génocides sur Wikipédia.


- Tout le monde sait depuis le début. Jamais un génocide n'avait été autant documenté en temps réel.

- Le premier génocide diffusé en direct par ceux qui le subissent.

- Bientôt, plus personne ne pourra nier l'évidence, Wikipédia n'y change évidemment rien, tout était devant nos yeux dès le début.

- La majorité des officiels israéliens ont même totalement assumé leur volonté génocidaire.

- Aucun coupable, aucun complice, aucun collaborateur ne sera oublié.

- Tous seront jugés par les hommes, puis par l'histoire.


Ce n’est pas une scène de film ! 
C'est la routine quotidienne pour les services médicaux à Gaza !

Source : The Palestinian



Sommet de Riyad, les dirigeants arabes et musulmans dénoncent le génocide en cours à Gaza





Georges Malbrunot, grand reporter pour Le Figaro :


Le nouveau Moyen-Orient de Benjamin Netanyahou devra attendre.

Les dirigeants de pays arabes et musulmans ont appelé Israël à se retirer totalement des territoires arabes qu'il occupe pour parvenir à une paix régionale "globale", lors d'un sommet en Arabie saoudite consacré à la situation au Moyen-Orient. Le message s'adresse aussi à Donald Trump.

"Une paix juste et globale dans la région (...) ne peut être obtenue sans mettre un terme à l'occupation israélienne de l'ensemble des territoires occupés" depuis 1967 - quand Israël a commencé à occuper la Cisjordanie, Jérusalem-Est et le Golan syrien - "et ce conformément aux résolutions de l'ONU et au plan de paix arabe de 2002", mentionne la déclaration finale du sommet.

Ces dirigeants de la Ligue arabe et de l'Organisation de la coopération islamique, accueillis par l'Arabie saoudite, poids lourd régional, appellent à l'unité de tous les territoires palestiniens - bande de Gaza et Cisjordanie occupée - au sein d'un Etat palestinien, dont ils réaffirment que la capitale doit être Jérusalem-Est, occupée par Israël.

Le sommet de Ryad représentait une occasion pour ses participants de fixer leurs attentes envers la future administration du président élu américain, Donald Trump.

MBS a qualifié lors de ce sommet de "génocide" la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza, un an après l'attaque terroriste du Hamas.


RFI

En sommet à Riyad, les dirigeants arabes et musulmans dénoncent le «génocide» en cours à Gaza

Les dirigeants arabes et musulmans réunis ont repris la même position vis-à-vis d'Israël, condamnant le « génocide » et les « crimes horribles et choquants » de l'armée israélienne à Gaza, « en particulier dans le nord de la bande ». Ils ont dénoncé la torture, les exécutions, les disparitions et le « nettoyage ethnique », selon le communiqué final de la réunion.


Trump élu, "Netanyahou se sent désormais libre de terroriser la région entière"







(...) le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou n’a pas attendu pour se réjouir du « retour historique » au pouvoir de son meilleur allié, alors qu’il craignait bien sûr Kamala Harris et « son souci du peuple palestinien ». Netanyahou a d’ailleurs tout fait pour mettre en difficulté l’administration Biden, dont Harris était la vice-présidente, au sujet de la guerre impitoyable qu’il mène sur 7 fronts et dont il n’était pas question que le futur ex-président américain puisse être crédité d’avoir obtenu un cessez-le-feu dans la région.

Netanyahou se sent désormais libre de terroriser la région entière au motif d’avoir fait l’objet d’une attaque terroriste le 7 octobre 2023, dont il est pourtant en partie responsable de ne pas avoir su l’éviter. L’illustration même en est le siège du camp de Jabaliya au nord de la bande Gaza, qui est attaqué pour la troisième fois en un an par l’armée israélienne et où Netanyahou a imposé que même l’aide humanitaire ne puisse pas y parvenir.

Les Etats-Unis avaient menacé – bien tardivement – de réduire leur approvisionnement en armes si Netanyahou ne levait pas ce siège « inhumain » sous 30 jours, la réponse est désormais connue, « plus tard quand tout sera terminé », soit en français « rien à foutre ».

Les Etats-Unis avaient menacé – bien tardivement – de réduire leur approvisionnement en armes si Netanyahou ne levait pas ce siège « inhumain » sous 30 jours, la réponse est désormais connue, « plus tard quand tout sera terminé », soit en français « rien à foutre ».

Netanyahou peut définitivement envoyer l’administration Biden sur les roses, celle-ci étant désormais dans l’incapacité de prendre la moindre décision qui serait battue en brèche quelques semaines plus tard, 10 à ce stade. Il faut malheureusement reconnaître que la présidence Biden, sur ces conflits, aura brillé par son indécision et qu’il est maintenant trop tard pour agir.

Pour Jabaliya, ce n’était évidemment pas avec un délai de 30 jours qu’il fallait menacer Netanyahou mais avec 3 jours pour qu’une telle injonction paraisse crédible. Au moins 70,000 Palestiniens sont encore piégés dans ce camp et meurent autant sous les bombardements que des privations. Un énième crime de guerre à l’image de ce carnage commis contre Gaza, où l’ONU décompte 70% de femmes et d’enfants parmi les victimes recensées des bombardements israéliens, probablement de dangereux terroristes en devenir du Hamas…

Limogeage du ministre israélien de la défense

Netanyahou se sent d’autant plus libre d’agir et de mentir qu’il vient de virer son ministre de la défense, Yoav Gallant : celui-ci osait affirmer la nécessité de terminer cette guerre en argumentant depuis cet été qu’il était temps d’en finir avec cette opération qui n’a plus rien de militaire, et qu’il était encore possible de sauver dans un accord les quelques otages israéliens toujours en vie (probablement moins de 30 aujourd’hui).

Le ministre de la défense israélien était d’autant plus déterminé qu’il était considéré comme très fiable par son homologue américain et qu’il n’était pas pour rien dans le projet de cessez-le-feu que tous les belligérants avaient accepté mi-septembre – Hamas et Hezbollah inclus –, mais que Netanyahou a volontairement fait chuter en lançant son opération « Flèche du Nord » contre le Liban.

Au passage, les Israéliens apprennent que Netanyahou a menti (une fois encore) à sa propre société en faisant fuiter de fausses informations sur un prétendu refus du Hamas de stopper les combats quand bien même il n’était pas question pour lui d’arrêter cette guerre, de risquer de perdre le pouvoir et d’être questionné : sur l’origine de ce désastre (comment l’attaque terroriste du 7 octobre a-t-elle été rendue possible ?), la conduite des opérations (pourquoi des dommages collatéraux aussi importants ?) et surtout quel objectif poursuit-il en réalité dans cette guerre.

Plus aucune limite pour Netanyahou et l’extrême-droite en Israël

De fait, Netanyahou est désormais seul avec l’extrême-droite aux commandes d’une société que la guerre a traumatisée, et il s’imagine probablement pouvoir construire désormais un « grand Israël » au détriment définitif des Palestiniens.

Netanyahou a donné l’ordre à l’armée israélienne de finir de raser le nord de Gaza, pour transformer cette zone en un no man’s land qui ne sera pas difficile à coloniser par la suite puisqu’il n’en restera rien. Et ce n’est pas Donald Trump qui l’en empêchera.

Quant à la Cisjordanie, pour laquelle Netanyahou avait détourné les forces nécessaires pour surveiller Gaza afin de renforcer sa colonisation, il n’est pas difficile non plus de deviner quel sort lui est maintenant réservé.

« Gaza va devenir un no man’s land qui ne sera pas difficile à coloniser par la suite puisqu’il n’en restera rien »

Les Palestiniens n’auront pas d’autres choix que de quitter ces territoires, s’ils veulent vivre en paix plutôt que survivre au milieu de ruines. Avec l’arrivée de Donald Trump, ils perdent tout espoir de vivre pacifiquement aux côtés des Israéliens et sont condamnés à leur tour à un exode certain, ainsi probablement qu’à une vengeance sans fin contre les enfants d’Israël.

La seule contrainte qu’imposera Donald Trump à Benyamin Netanyahou sera d’avoir « fini le job » pour ce qui est de la guerre avant son investiture fin janvier, puisque la marque de Donald Trump est de considérer que la guerre est un « Bad business » et qu’il faut par conséquent l’achever au plus vite, tant pis pour les conséquences…


Extrait de l'article de Guillaume Ancel, "Trump élu, les Palestiniens et l’Ukraine perdus ?"




L’HISTOIRE SUIT UN SCÉNARIO ÉCRIT POUR LE MESSIE DE ROTHSCHIL




Edmond de Rothschild sur le billet de 500 Shekels israéliens.

L’idéologie derrière le Nouvel Ordre Mondial relève certainement du Messianisme Juif, la vision du monde selon laquelle Dieu a choisi le «Roi des Juifs» pour diriger les nations. Ce «Messie», ou Antéchrist, sera sélectionné parmi les rangs de la famille Rothschild. 

Cet argument est exposé dans un livre rare et supprimé intitulé : "Elijah, Rothschilds and the Ark of the Covenant" (Elijah, les Rotschild et l’Arche d’Alliance) de Tom Crotser & Jeremiah Patrick, Restoration Press, 1984. Il vient confirmer les "Protocoles des Sages de Sion" (23-24) révélant qu’un descendant du Roi David, le «Roi des Juifs» sera couronné «Roi du Monde».

L’ouvrage détaille la quête des Rothschild pour la découverte de l’Arche d’Alliance, une boite recouverte d’or construite par Moïse après l’Exode pour y recueillir la canne d’Aaron et les tablettes originales des Dix Commandements. Apparemment les Rothschild avaient l’intention de la placer dans le Temple de Salomon à Jérusalem pour légitimer leur prétention à être le «Messie».

Cette vision bizarre ayant sa racine dans les prophéties bibliques, se trouve à l’origine des évènements politiques et économiques d’aujourd’hui. Le projet Sioniste voit bien au-delà d’une patrie juive. «L’espoir messianique promet la mise en place par les juifs d’un pouvoir mondial en Palestine auquel toutes les nations de la Terre rendront hommage.» (p. 29) «Cet âge glorieux ne peut être amené que par un homme, un descendant de la maison de David» qui conduira les juifs vers la «droiture» et «régénèrera» la race humaine.

D’après le Talmud, ce Messie de la lignée de David soumettra toutes les nations païennes et Israël détiendra le pouvoir mondial. 

Résumant le Talmud, le rabbin Michael Higger écrit que : «Tous les trésors et les ressources naturelles du monde deviendront la possession des vertueux.» Cela, dit-il, se fera en accomplissant la prophétie d’Isaïe : «Mais son gain et son salaire impur seront consacrés à l’Eternel, ils ne seront ni entassés ni conservés ; car son gain fournira pour ceux qui habitent devant l’Éternel une nourriture abondante et des vêtements magnifiques.» ("The Jewish Utopia", 1932) Évidemment, la majorité des juifs ne sont pas au courant de ce plan, il est donc d’autant plus aisé de les manipuler.

Les Rothschild se considèrent eux-mêmes comme des faiseurs de Messie, si ce n’est le Messie lui-même. 

Dès 1836, Anselme Meyer Rothschild recevait une lettre du rabbin Hirsch Kalischer, qui lui révéla le plan divin: «Ne pensez pas que le Messie apparaitra soudainement par un miracle et au milieu de merveilles, et conduira les israélites vers leur ancien héritage. Le début de la rédemption s’accomplira de manière naturelle, par le désir des juifs de s’installer en Palestine, et la volonté des nations de les aider à accomplir ce projet.» 

Sans l’Holocauste Juif, il n’y aurait pas eu d’état d’Israël. Si nous considérons le fait que l’Holocauste fut essentiel à l’établissement d’Israël, le messianisme donne à l’histoire moderne un éclairage tout à fait nouveau. L’Holocauste faisait probablement parti d’un plan pour amener un Messie Juif en forçant les juifs à créer Israël. 

Après que les Juifs soient retournés en Palestine et que le Temple ait été reconstruit, «Dieu leur montrera alors tous les miracles en accord avec la description donnée par les prophètes et les sages… Dieu enverra son prophète et son Roi pour qu’il reçoive l’onction sacrée», écrivait Kalischer à Rothschild. 

Albert Cohen, le tuteur d’Edmond de Rothschild, partageait les vues de Kalisher et en imprégna son pupille. Ainsi Edmond de Rothschild finança la colonisation juive de la Palestine au 19ème siècle.

Edmond de Rothschild organisa la célèbre affaire Dreyfus de manière à créer l’antisémitisme et forcer les juifs à soutenir la création d’Israël comme un refuge.

PAR LA DETTE

Les Rothschild ont soumis les nations à leur volonté grâce la dette. Moïse en décrit le principe de base dans le Deutéronome 15:6 : «Tu prêteras à de nombreuses nations, mais tu n’emprunteras pas; et tu règneras sur beaucoup de nation, mais elles ne règneront pas sur toi.»

L’auteur explique : «Notez qu’il ne s’agit nullement d’une suggestion donnée dans les Écritures. C’est un commandement du Dieu d’Israël. Le prêt usuraire est le moyen de s’emparer de la terre.» «Le prêt usuraire aux consommateurs et en cas d’urgence est devenu un monopole virtuel Juif en Europe Occidentale entre le 12ème et le 15ème siècle… Comme garantie, l’immobilier était le moyen privilégié. De cette manière, les Juifs ont acquis des demeures, des vignobles, des fermes, des villages, des châteaux, des villes et mêmes des provinces entières.» «L’émergence de monarchies absolues en Europe Centrale a conduit de nombreux Juifs à des positions influentes où ils furent en mesure de négocier des emprunts pour les cours royales. Le phénomène de Juifs de cour s’est prolongé en Europe. Les plus célèbres étaient Lehmann, Oppenheimer et Goldschmidt en Allemagne et en Autriche.» «Jean Izoulet, un membre de l’Alliance Israélite Universelle, a écrit en 1932: «Le sens de l’histoire du dernier siècle est qu’aujourd’hui 300 financiers Juifs, tous maitres des loges, dirigent le monde.» «La Cité du Vatican est tombée sous l’influence des Rothschild au début du 19ème siècle… Le Pape Jean-Paul II a admis que l’Église Catholique Romaine était toujours liée aux Rothschild… En septembre 1979, le Pape a révélé que l’Église détenait 50 milliards de dollars investis au sein de diverses banques Rothschild…»

 CONCLUSION 

Edmond de Rothschild a joué un rôle majeur dans un drame d’une ampleur bien plus grande, qui verra son descendant devenir finalement l’Antéchrist. Cela nécessitait que les juifs retournent en Palestine, et que Rothschild organisât un énorme pogrom en Europe.  Il avait établi sa propre administration en Palestine, décidait de ce qui devait pousser et achetait tous les produits à prix fixe. Entre 1887 et 1899, il effectua trois visites au sein de bon nombre de campements éloignés.

Henry Makow, "Illuminati 3". PDF gratuit ICI.


lundi 11 novembre 2024

La vérité sur les hooligans du Maccabi Tel Aviv, par un reporter de 14 ans

 



Cela pourrait être amusant si ça n’était pas dramatique. Un jeune reporter de 14 ans, du média en ligne hollandais Bender, a offert une leçon de journalisme à tous les médias d’Occident. Le jeune homme a courageusement suivi les hooligans du Maccabi Tel Aviv lors de leur déplacement dans sa ville, à Amsterdam. Il a donc filmé les fameuses victimes innocentes de l’atroce pogrom antisémite dont tout le monde parle.

Ses images sont édifiantes : le groupe de hooligans, déjà connu pour avoir commis des agressions racistes par le passé, se déplace de façon coordonnée et armée, récupère des barres de métal et des bâtons dans les rues, il tire des explosifs à Amsterdam et charge violemment dans le but d’en découdre. Sur les images, cette milice israélienne ultra-violente n’est quasiment pas inquiétée par la police. On découvre que le groupe a même dépavé les rues pour caillasser la police, les taxis et un immeuble affichant des drapeaux palestiniens, sans réaction des autorités.

Plus le reportage avance, plus il paraît évident qu’il s’agit d’une descente fasciste préparée pour agresser et casser, en ciblant prioritairement des habitants d’origine maghrébine. Surtout quand on sait que ces hooligans chantaient par ailleurs des slogans appelant à tuer les «arabes» tout au long de leur séjour.

S’il devait y avoir un scandale médiatique, il aurait du porter sur cette descente dans les rues des Pays-Bas, venue d’un État colonial en train de commettre un génocide. Et pas sur la réaction d’habitants qui ont riposté. Mais par un fantastique retournement du réel, ce sont les agresseurs, armés, formés au combat et ouvertement racistes, dont plusieurs sont membres de Tsahal ou du Mossad, qui sont présentés depuis 2 jours comme des victimes absolues.



AWNI ADEL ELDOUS

 

Peu de temps avant sa disparition il avait été filmé dans sa classe « Nous avons réalisé que tu es une terre de fierté, ô Palestine ! ».



AWNI ADEL ELDOUS

Jeune Youtubeur de 12 ans rêvait de battre tous les records et de devenir une légende grâce à sa chaîne de jeux vidéos.

Tué le 8 octobre 2023, lors du bombardement de la maison familiale à Gaza.


Le journal israélien Haaretz accuse Nétanyahou de mener une opération de nettoyage ethnique




Le journal israélien Haaretz a publié un éditorial accusant le Premier ministre Benjamin Nétanyahou et l’armée israélienne de « mener une opération de nettoyage ethnique » dans le nord de Gaza.

L’article cite le correspondant militaire du journal, qui, après avoir visité la région avec les forces israéliennes la semaine dernière, a conclu que la région semblait avoir été frappée par une « catastrophe naturelle ».

L’éditorial souligne que la dévastation est un « acte prémédité de destruction humaine ».

Il rapporte qu’un officier supérieur, identifié par le Guardian comme étant le général de brigade Itzik Cohen, commandant de la 162e division, a déclaré aux journalistes : « Ma tâche est de créer un espace nettoyé… Nous déplaçons la population pour sa protection, afin de créer une liberté d’action pour nos forces. »

Lorsqu'on lui a demandé si l'armée exécutait le « Plan des Généraux », qui comprend le nettoyage ethnique de la région et le massacre de tous les Palestiniens qui restent, l'officier a nié en avoir connaissance, insistant sur le fait que l'armée « agissait sur les instructions du commandement sud [de l'armée israélienne] et du chef d'état-major ».

Il a ajouté que sa division acheminait l'aide humanitaire de la « zone nettoyée » dans le nord de Gaza vers le sud.

Les forces israéliennes ont interdit l'entrée de nourriture, d'eau et de médicaments dans le nord de Gaza depuis qu'elles ont lancé une nouvelle offensive majeure dans la région - notamment à Jabalia, Beit Lahia et Beit Hanoun - début octobre.

Le Comité indépendant d’étude sur la famine (FRC) a averti samedi qu’il y avait une « forte probabilité que la famine soit imminente dans certaines zones » du nord de Gaza.

Le chef de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, a accusé Israël d’utiliser la faim comme une arme contre la population de Gaza, insistant sur le fait que la famine imminente est « d’origine humaine ».

Haaretz a imputé la responsabilité à Nétanyahou.

« Il est important d’appeler les choses par leur nom », écrit Haaretz, soulignant que l’expulsion forcée des habitants du nord de Gaza est menée sous la direction de ses commandants, qui sont « subordonnés aux directives des dirigeants politiques : le Premier ministre Benjamin Nétanyahou » et son ministre de la Défense.

« Au lieu de parler du ‘Plan des généraux’, nous devrions parler des ordres de Nétanyahou », peut-on lire dans l’éditorial.

Source : Middle East Eye.

GAZA : La journaliste Arwa Damon n’a jamais rien vu de tel





La journaliste Arwa Damon vient de rentrer d’un voyage humanitaire à Gaza en sa qualité de fondatrice de l’INARA, le Réseau international d’aide, de secours et d’assistance, une organisation à but non lucratif qui fournit actuellement des soins médicaux et psychiatriques aux enfants. 

Damon décrit le besoin impérieux d’aide dans le contexte du siège israélien du territoire. « Rien n’entre et ne sort de Gaza sans l’approbation d’Israël. Cela inclut l’aide, et cela inclut les personnes », dit-elle, qualifiant les règles de l’armée israélienne sur ce qui est autorisé d’« illogiques » et d’arbitraires. « La zone doit recevoir, non seulement de l’aide, mais aussi de nombreux travailleurs humanitaires », conclut Damon. 

Nous discutons également de la crise de santé mentale qui frappe la population, de l’aide militaire américaine à Israël et du racisme anti-arabe...



Dénoncer l’injustice n’est pas de l’antisémitisme




Clara Tyler :

"Ils auront beau crier à l’antisémitisme autant qu’ils le veulent, nous n’oublierons pas et nous ne nous tairons pas.

Dénoncer l’injustice n’est pas de l’antisémitisme."



Israël commet un nouveau massacre à Gaza

 

Agence France-Presse :

Gaza : la Défense civile palestinienne a annoncé qu'au moins 25 Palestiniens, en majorité des enfants, ont été tués ce dimanche dans une frappe israélienne qui a touché une maison familiale dans le nord de la bande de Gaza, dévastée par plus d'un an de guerre.


Cerfia :

Un MASSACRE a eu lieu à Gaza ce dimanche matin
(10 novembre 2024). Israël a COMPLÈTEMENT RASÉ la maison d'une famille qui s'apprêtait à prendre son petit déjeuner, faisant au moins 25 morts, DONT 13 ENFANTS et PLUSIEURS FEMMES, laissant des corps "déchiquetés".

Vidéo mise en ligne par Cerfia.


Gaza est en train de disparaître. La famine, la maladie, l’épuisement, les blessures, les bombardements, les disparus et les morts s’emparent depuis l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Face à cette attaque, la réponse israélienne est démesurée et destructrice. Le monde reste silencieux face à ces atrocités, filmées et diffusées sous nos yeux. Des milliers d’innocents ont perdu la vie, dont une grande majorité de femmes et d’enfants.

Les déclarations des politiciens de chaque pays n’ont absolument rien changé. La Palestine est bombardée encore plus intensément. Combien de temps allons-nous regarder ces scènes d’horreur ? Quand Israël et la Palestine pourront-ils vivre côte à côte en paix ?

Les grandes puissances de ce monde doivent agir et mettre fin aux souffrances.

Où est le cessez-le-feu qui protègerait les civils ? Doit-on attendre que Gaza soit rayée de la carte ?

Israël a le droit de se défendre, mais a le devoir d’épargner les innocents, majoritairement des enfants. Aujourd’hui, ce n’est aucunement le cas.

Ne fermons pas les yeux sur ce qui se passe en Palestine, dans le monde et ce qui touche la plupart du temps des civils innocents, que ce soit à Gaza, en Ukraine, au Congo, au Soudan, et dans d’autres territoires par ailleurs.

Une vie humaine reste une vie humaine. Quelle que soit la religion, l’origine ou la culture.

Vous pouvez compter sur Cerfia pour toujours relayer ces images que l’on ne voit pas assez souvent dans les grands médias. Et cela malgré les menaces qui persistent sur notre média.

L’équipe Cerfia.

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Cerfia est un média hybride visant à partager l'actualité politique, économique, sociétale et géopolitique de manière condensée et sourcée auprès des jeunes.

La déportation des Palestiniens




« J'ai mal aux jambes à force de marcher et je saigne. Nous ne savons pas où nous allons. »

Ce sont les mots d'une enfant de 4 ans, déplacée avec sa famille en raison des frappes aériennes brutales israéliennes dans le nord.

Source : Nour Naim, Executive Director of AI Minds Academy.


Hala Abou-Hassira, ambassadrice de la Palestine en France :


L’utilisation délibérée par Israël de la famine comme arme dans le nord de Gaza doit conduire à une déclaration officielle de famine.
Plus de 50 jours de blocus et de bombardements ont laissé des dizaines de milliers de personnes sans nourriture, sans eau ou sans fournitures médicales. Une action mondiale immédiate est cruciale.

La crise humanitaire dans le nord de Gaza est catastrophique :

- 1 900 assassinés, 4 000 blessés dans les bombardements incessants.

- Des dizaines de milliers de déplacés, ceux qui restent risquent la famine et les attaques de drones s'ils tentent de fuir. Le monde doit agir pour mettre fin à ce génocide.

Une déclaration de famine à Gaza aurait dû être déclarée depuis longtemps. Le blocus imposé par Israël prive les populations de biens de première nécessité, détruisant l’ordre public et la distribution de l’aide. La communauté mondiale doit exiger des couloirs d’aide, mettre fin au blocus et demander des comptes à Israël pour ses crimes.


Wikipédia :

La déportation est l'action pour un pouvoir politique de contraindre une catégorie ou un groupe de personnes à quitter son habitat (territoire ou pays), soit pour l'obliger à s'installer autre part (déplacement forcé, regroupement forcé ou purification ethnique), soit pour le retenir dans des camps. »



La doctrine « Samson », l’Holocauste nucléaire d’Israël




Le Dr Zelda Schitz (doctorat de Zoologie), journaliste israélienne,  écrit sur X :

"Israël doit bombarder Amsterdam et tous ses habitants.

Lâcher toutes les armes biologiques de nos installations à travers l'Europe. 

Les non-Juifs doivent subir la colère des Juifs pour cette vague de comportement antisémite.

Cela ne restera pas sans réponse.

Les Juifs afflueront en Israël et regarderont le monde brûler."



Zelda Schitz fait allusion à la doctrine « Samson », l’Holocauste nucléaire d’Israël.


Doctrine « Samson »
l’Holocauste nucléaire d’Israël


Et si l’apocalypse nucléaire venait de la seule puissance nucléaire au monde qui se refuse toujours à se déclarer comme telle ? Et si des habitants de ce pays étaient à ce point travaillés par un tel complexe de persécution qu’ils considèrent la plus petite nuance d’irrévérence comme une menace existentielle ?

David Ben-Gourion, le fondateur de l’État d’Israël, était, dit-on, « quasi obsédé » par l’idée qu’Israël devait posséder l’arme atomique pour éviter un nouvel Holocauste. Il écrivait ainsi en1956 :


« Ce qu’Einstein, Oppenheimer et Teller, tous trois juifs, ont fait pour les États-Unis, les scientifiques israéliens pourraient aussi le faire pour leur propre peuple ».

Dans une lettre adressée en avril 1963 à John F. Kennedy, Ben-Gourion insiste sur le fait que le conflit au Moyen-Orient menace Israël d’ « un nouvel Holocauste ».

D’après Seymour Hersh, auteur en 1991 de "The Samson Option : Israel’s Nuclear Arsenal and American Foreign Policy", la légende veut que les mots « Plus jamais ça » aient été gravés en anglais et en hébreu sur la première ogive nucléaire produite par Israël.

Au cas où vous ne seriez pas féru de récits bibliques, Samson, c’est ce Nazir [avec un « r » !] enchaîné les yeux arrachés aux colonnes du temple par les Philistins et qui préféra faire s’écrouler tout l’édifice sur ses bourreaux et sur lui-même plutôt que de souffrir une mort lente et sans gloire.

Quant à l’option Samson, c’est cette doctrine officieuse, forcément officieuse, puisque même si certains hauts responsables ont déjà eu l’occasion de vendre la mèche « par inadvertance », le pays n’a jamais reconnu posséder l’arme nucléaire, et selon laquelle, si la nation élue se trouvait au bord de l’anéantissement militaire, elle pourrait, selon les termes de Ron Rosenbaum dans son livre How the End Begins (2011): The Road to a Nuclear World War III, « faire tomber les piliers du monde (attaquer Moscou et les capitales européennes par exemple) …. [et] les lieux saints de l’Islam ». En d’autres termes, « si nous ne pouvons pas avoir le monde, personne ne l’aura ».

Dans un éditorial de 2002 du Los Angeles Times, David Perlmutter écrivait :


« Ça fait 30 ans qu’Israël produit des armes nucléaires. Les Juifs ont bien compris où les conduisait l’acceptation docile de la fatalité. Ce n’est pas Massada l’exemple à suivre, mais Gaza,…

[FG : A Massada, les Juifs s’étaient suicidés, ce qui n’a pas gêné les Romains, au contraire, par contre, à Gaza, où s’est déroulé selon la Bible l’épisode de Samson et Dalila, Samson, en faisant s’écrouler le temple, a entraîné ses ennemis dans sa perte]

…quoi de mieux qu’un bon petit hiver nucléaire pour venger des siècles de persécutions, si on doit y passer, alors tous ces hommes d’État et militants pacifistes européens nous suivrons dans la fournaise.

Pour la première fois dans l’histoire, un peuple menacé d’extermination sous le regard indifférent ou narquois du monde, a le pouvoir – justice suprême – de détruire le monde. » (Perlmutter, David (7 avril 2002), « Israël : pensées sombres et désespoir tranquille » , The Los Angeles Times)

Un an plus tard, l’historien militaire israélien Martin van Creveld était cité dans The Sword and the Olive :

« Nous possédons plusieurs centaines d’ogives atomiques – et les missiles pour les lancer, potentiellement jusqu’à Rome. En fait, c’est la plupart des capitales européennes qui sont atteignables par notre armée de l’air. Permettez-moi de citer Moshe Dayan : « doit être comme un chien enragé, trop dangereux pour qu’on y touche ». Heureusement, nous n’en sommes pas encore là et je considère que nous devons tout faire pour éviter d’y arriver. Cependant, nos forces armées ne sont pas les trentièmes plus puissantes du monde, mais plutôt les deuxièmes ou troisièmes. Nous avons la capacité d’entraîner le monde dans notre chute et je peux vous assurer que c’est ce qui se produira le cas échéant ».

Ce scénario peut sembler excessif, sauf qu’il pourrait bien expliquer, mieux que les proclamations d’un devoir sacré d’origine plus ou moins bibliques, pourquoi les États-Unis se laissent perpétuellement entraîner dans les guerres d’Israël et pourquoi ils s’en prennent à tout pays qui fait mine de chercher à posséder sa propre bombe au Moyen-Orient : parce qu’Israël n’hésiterait pas à déclencher le feu nucléaire.

On estime qu’Israël possède entre 75 et 400 ogives nucléaires, mais aucun pays n’a le courage de le lui faire reconnaître. Du reste, étant donné que les États-Unis interdisent officiellement le financement des pays qui possèdent des armes de destruction massive, cela signifierait pour Israël la perte de deux à trois milliards de dollars par an d’aide de l’oncle Sam.

On estime en outre qu’Israël possède un arsenal nucléaire depuis au moins le milieu des années 1960 et que le pays avait envisagé de faire exploser, à titre de coup de semonce, une bombe dans le désert du Sinaï durant de la guerre des Six Jours en 1967, cela n’a finalement pas été nécessaire.

En mai 1973, lors d’une interview accordée à la BBC et menée par le journaliste Alan Hart, le Premier ministre israélien Golda Meir, à l’allure inénarrable, a laissé entendre qu’Israël chevauchait une sorte de machine de l’apocalypse. Selon Hart :

« À un moment je l’ai interrompue pour lui demander : « Madame le Premier ministre, je veux être sûr d’avoir bien compris ce que vous êtes en train de nous dire… Vous dites que si jamais Israël se trouvait au bord de la défaite, le pays serait prêt à entraîner la région et le monde entier dans sa chute ? Et Golda de répondre sans la moindre marque d’hésitation, de cette voix rocailleuse qui pouvait charmer ou intimider les présidents américains selon les besoins : « Oui, c’est exactement ce que je dis ».

Quelques mois plus tard, c’était la guerre du Kippour et Meir aurait menacé d’arrimer 13 bombes atomiques sur des missiles et des avions si les États-Unis n’envoyaient pas immédiatement de quoi faire la guerre. Nixon s’est empressé d’obtempérer, se comportant de fait comme ce « géant pitoyable et impuissant » qu’il avait prédit que « la nation la plus puissante du monde » pourrait un jour devenir si elle s’inclinait devant « les forces du totalitarisme ». Sauf que Nixon pensait en l’occurrence aux communistes, jamais il n’avait songé au totalitarisme sioniste.

Au cours du premier mandat de Nixon, Henry Kissinger, conseiller à la sécurité nationale, préconisait que les États-Unis adoptent une politique d’« ambiguïté nucléaire » à l’égard des armes de destruction massive d’Israël. En d’autres termes, fermez les yeux et faites comme si vous ne saviez rien de la façon dont cette minuscule nation, née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et entourée de musulmans hostiles dont le livre saint méprise tout ce qui est juif, possède des armes nucléaires et ne voit absolument aucun inconvénient à les utiliser, au risque de précipiter le monde entier dans le gouffre, dans l’éventualité où elle se retrouverait elle-même acculée à la défaite.

Comme on le voit, un plan infaillible pour la paix et la sécurité dans le monde !

C’est pourtant ce même Kissinger qui, dans une note datée du 19 juillet 1969, lançait cet avertissement :

« Les Israéliens, qui sont l’un des rares peuples dont la survie est réellement menacée, sont aussi les plus susceptibles d’utiliser leurs armes nucléaires. Il n’est pas possible d’ignorer cette terrible menace. »

Jim Goad 26 octobre 2023. Traduction : Francis Goumain

Source : Counter Current | https://counter-currents.com/2023/10/israels-suicide-solution/



dimanche 10 novembre 2024

Gaza : Massacre de la famille Shaheibar




Massacre de la famille Shaheibar : l'enquête d'Euro-Med Monitor révèle que l'armée israélienne a tué 70 Palestiniens dans une rue de Gaza.


Le rapport d’Euro-Med Monitor souligne que le massacre s’est produit lors d’une attaque militaire à grande échelle de l’armée israélienne contre le bloc résidentiel de la famille Shaheibar dans le quartier de Sabra à Gaza. 

L’attaque, qui s’est déroulée sur deux jours – les 17 et 18 novembre 2023 – a vu l’utilisation d’avions et de drones pour cibler des bâtiments résidentiels, des civils à l’intérieur de leurs maisons et ceux qui tentaient d’enterrer des proches tués lors d’attaques précédentes. 

Euro-Med Monitor a pu vérifier l’identité de 61 victimes, toutes de la famille Shaheibar. Les victimes comprenaient 27 enfants, 16 femmes (dont trois étaient âgées) et 18 hommes, dont deux hommes âgés. L’identité de certaines victimes reste inconnue en raison de la grave fragmentation de leurs corps.

L’enquête détaille le massacre : vers 4h10 du matin le vendredi 17 novembre 2023, l’armée israélienne a lancé une attaque sur la rue Shaheibar, près de la rue Thalathini à Al-Sabra et adjacente au quartier Zaytoun dans la ville de Gaza. Un immeuble résidentiel de cinq étages appartenant à Maher Shaheibar a été touché par au moins deux missiles tirés par des avions de guerre, sans avertissement préalable. Le premier missile a touché le cinquième étage, et le deuxième le troisième, détruisant complètement trois étages résidentiels et tuant environ 40 personnes. Une vingtaine d’autres personnes ont été blessées à l’intérieur du bâtiment au moment de l’attaque. Seule une famille déplacée de dix personnes, résidant au rez-de-chaussée, a survécu à l’attaque.

Intégralité du rapport :
https://euromedmonitor.org/en/article/6537/Shaheibar-family-massacre:-Euro-Med-Monitor-investigation-reveals-Israeli-army-killed-70-Palestinians-in-Gaza-street



L'Euro-Mediterranean Human Rights Monitor (en français : « Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme »), communément appelé Euro-Med Monitor et parfois Euro-Med HRM, est une organisation indépendante à but non lucratif pour la protection des droits de l'homme, basée à Genève en Suisse.


Le député belge Nabil Boukili dénonce les crimes d'Israël






Lambdactu :

- "Le député Nabil Boukili, membre du PTB belge, met l'ambassadrice d'Israël face aux atrocités qu'elle soutient, en Palestine et au Liban, preuves à l'appui."

rtbf.be :

22 octobre 2024, l'ambassadrice d'Israël en Belgique, Idit Rosenzweig-Abu, est en commission des Relations extérieures de la Chambre pour un "échange de vues" avec les députés sur la guerre au Proche-Orient. [...]

Nabil Boukili (PTB) s'offusquant d'une "tribune" offerte "à un Etat génocidaire", car la représentante israélienne avait pu s'exprimer 20 minutes avant que les élus ne puissent l'interroger. 


Rashida Tlaib dénonce le génocide, elle est réélue à 77% au Congrès

 



Jérôme Legavre, député français :

- "Rashida Tlaib est élue démocrate au congrès. Elle n’a cessé de dénoncer la complicité de Biden dans le carnage des palestiniens. Elle a refusé de soutenir Kamala Harris. Elle a écrasé son adversaire républicain et a été réélue à 77%."

Très instructif…




Aujourd'hui, en entrant dans la ville de Gaza



Aujourd'hui, en entrant dans la ville de Gaza.
 
Les ruines de la vie. 
Un âne gisant mort attaché à une charrette avec les biens de quelqu'un.
Des groupes de personnes traversant vers le sud, avec trop de choses à porter sous le soleil et durant une longue marche. 
Un homme portant un drapeau blanc devant sa famille. 
Des femmes sur le point de s'effondrer, traînant des sacs sur le sol, marchant à reculons, s'arrêtant et fermant les yeux. 
Un homme par terre en sous-vêtements, avec des soldats près du poste de contrôle. Une femme, probablement avec lui, bloquée, désemparée, désespérée. 

Philippa Greer



Gaza : 70% des victimes d'Israël sont des enfants ou des femmes, selon un rapport de l'ONU





RFI avec AFP :

Les femmes et les enfants représentaient « près de 70% » des morts dans la bande de Gaza sur la période novembre 2023 à avril 2024, affirme l'ONU, le vendredi 8 novembre, après une minutieuse vérification d'un décompte partiel des victimes de la guerre menée par Israël contre le Hamas.

Le nouveau rapport du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme détaille également un large éventail de violations du droit international qui, pour beaucoup, pourraient être assimilées à des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité et peut-être même à un « génocide ».

Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a vérifié 8 119 des plus de 34 500 personnes qui auraient été tuées au cours des six premiers mois de la guerre, constatant que « près de 70% étaient des enfants et des femmes ». « Nous pensons que cela est représentatif de la répartition du nombre total de morts. Une proportion similaire à celle donnée par les autorités de Gaza », a souligné auprès de l'AFP Ravina Shamdasani, porte-parole du Haut-Commissariat.

Le nombre et la nature des victimes à Gaza fait l'objet d'un débat récurrent et très animé depuis le début de la guerre menée par Israël en représailles des attaques du mouvement islamiste Hamas le 7 octobre 2023. L'ONU et de nombreux pays estiment que le bilan quotidien donné par le ministère de la Santé du Hamas est fiable. Israël le conteste depuis le début du conflit.

Selon le Haut-Commissariat, la proportion de femmes et d'enfants indique « une violation systématique des principes fondamentaux du droit international humanitaire, notamment la distinction et la proportionnalité ». Sur les décès vérifiés, 3 588 étaient des enfants et 2 036 des femmes, précise le rapport.

Un niveau de morts et de blessés « sans précédent »

« Ce niveau sans précédent de morts et de blessés parmi les civils est une conséquence directe du non-respect des principes fondamentaux du droit international humanitaire », a accusé le Haut-Commissaire aux droits de l'homme, Volker Türk, dans un communiqué. « Tragiquement, ces violations documentées se poursuivent sans relâche, plus d'un an après le début de la guerre », a-t-il ajouté.

Selon ses services, environ 80% de tous les décès vérifiés avaient eu lieu lors d'attaques contre des immeubles résidentiels ou des logements similaires, et près de 90% des personnes avaient été tuées dans des incidents ayant coûté la vie à cinq personnes ou plus. Le rapport indique que la grande proportion de décès vérifiés dans des immeubles résidentiels pourrait s'expliquer en partie par la « méthodologie de vérification » du Haut-Commissariat qui nécessite au moins trois sources indépendantes. Il souligne également qu'il est plus difficile de collecter et vérifier les informations sur les personnes tuées dans d'autres circonstances.

Israël a insisté sur le fait que ses opérations à Gaza visent les combattants du Hamas. Mais le rapport publié vendredi souligne que les décès vérifiés reflètent largement la composition démographique de la population générale de Gaza, plus que celle des combattants.



260 personnalités pour un cessez-le-feu à Gaza : « Depuis un an, nos consciences sont ébranlées »

 

L’horreur absolue se déroule sous nos yeux à Gaza, sans qu’aucune des grandes puissances internationales n’intervienne pour y mettre un terme. Pire, elles offrent au gouvernement israélien un blanc-seing pour continuer de perpétrer des crimes et des destructions en toute impunité, visibles aujourd’hui en boucle via les chaînes et les supports numériques du monde entier.

Personne ne pourra dire qu’on ne savait pas !

Des dizaines de milliers de tués et de disparus. Une situation humanitaire hors de contrôle. Des dizaines de milliers de blessés, de handicapés, de déplacés. Une population entière traumatisée durablement. Une génération sacrifiée.

Les Libanais.es subissent depuis le 23 septembre dernier, à leur tour, d’effroyables frappes aériennes, tuant des centaines de civils aveuglément et jetant des centaines de milliers d’autres sur les routes.

À cette ignoble barbarie, succède la volonté du gouvernement israélien de briser les institutions internationales. La Knesset et ses élu.es au pouvoir, en adoptant deux textes visant à l’interdiction de l’intervention de l’UNRWA (office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugié.es de Palestine dans le Proche-Orient qui fournit assistance, protection et qui plaide en faveur des 4,7 millions de réfugié.es palestinien.nes) ont franchi une nouvelle étape dans l’abject en frappant directement celles et ceux qui permettent la survie immédiate des populations. Rappelons que l’UNRWA apporte l’aide humanitaire dont dépend la survie de 2 millions de Gazaouis sous blocus israélien, et fait fonctionner les services indispensables de santé et d’éducation dans l’ensemble des territoires de la Palestine occupée.

L’UNRWA est le poumon de la Palestine occupée et c’est précisément cet organe vital que le gouvernement israélien veut frapper !

Ne nous y trompons pas, la stratégie du pouvoir israélien et ses opérations menées à Gaza et en Cisjordanie, sous couvert d’un « droit à se défendre », visent un objectif global d’effacement des revendications légitimes des Palestiniens par la force. Il s’agit de détruire tout ce qui peut concourir à favoriser le droit inaliénable du peuple palestinien à l’autodétermination, à l’indépendance, à la souveraineté et au droit au retour. Au-delà de l’aide humanitaire aux populations, l’UNRWA revêt une dimension éminemment politique : sa présence à Jérusalem renvoie inévitablement au système d’occupation illégitime de l’État israélien. L’UNRWA symbolise aussi l’engagement international en faveur du droit au retour des réfugié.es. Interdire ses activités représente une escalade folle sans précédent, c’est un défi flagrant à toutes les chartes et traités et à tous les États membres de l’Organisation des Nations Unies.

Cette décision bafoue l’accord Comay-McLemore de 1967 qui a permis à l’agence des Nations Unies d’opérer à l’intérieur des territoires palestiniens occupés.

Elle menace encore davantage le statut de la ville de Jérusalem Est d’où officie l’agence des Nations Unies, le but du gouvernement israélien étant la poursuite totale et finale de l’annexion de Jérusalem Est.

Nos partenaires palestinien.ne.s des camps de réfugié.e.s expriment leur écœurement vis-à-vis des États, partout dans le monde, qui contribuent au financement de l’UNRWA et qui, dans le même temps, n’exercent aucune pression envers l’État d’Israël pour qu’il rende des comptes. Ils ne comprennent pas pourquoi toutes les tentatives de déstabilisation des institutions internationales par Benyamin Netanyahou restent sans effet. L’État d’Israël se comportant comme un état hors-la-loi, nous devons exiger sa suspension de l’ONU !

Notre action doit continuer à porter la voix des Palestiniens, nous, peuples libres, ne reconnaissant que le droit et une organisation internationale légitime à intervenir pour garantir le maintien de la paix et de la sécurité. En ce sens, la France s’honorerait de reconnaître l’État de Palestine comme 146 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies.

Notre association et à travers elle, les parlementaires, maires, élu.e.s, citoyen.n.e.s engagé.e.s des villes de notre réseau, défendons le droit des réfugié.e.s palestinien.ne.s depuis plus de 35 ans. Nous nous tiendrons aux côtés des milliers de personnes qui font vivre l’UNRWA au quotidien et aux côtés réfugié.es palestinien.nes dans cette nouvelle épreuve et nous organiserons une mobilisation d’envergure dans ce sens dans les mois qui viennent.

Nous réaffirmons notre soutien inaltérable à l’UNRWA, notre soutien aux peuples palestinien et libanais. Nous portons haut et fort leur voix pour que nos pays, la France et l’Europe, exercent leur pouvoir pour déployer toutes les sanctions possibles contre l’État israélien, inverser le rapport de force pour permettre à la justice et au droit international de s’applique
r.


Le réserviste franco-israélien Hillel Botella


Selon "Israel Genocide Tracker :

- Le réserviste franco-israélien Hillel Botella, médecin de combat dans la brigade Nahal, a participé au génocide.

- Bottela est actuellement dans la ville de Rafah, dans le sud de Gaza.



Israel Genocide Tracker est un compte X créé en mai 2024. Il analyse les réseaux sociaux et collecte des données sur les génocidaires israéliens à partir des publications vantant leurs crimes à Gaza.

Israel Genocide Tracker crée ensuite un profil pour chaque soldat génocidaire, comprenant des informations personnelles telles que leur nom, leur âge, leur origine familiale et leur unité militaire.

Selon Israel Genocide Tracker, qui cite la chaîne d'information israélienne Channel 12, plusieurs soldats impliqués dans des crimes de guerre ont exprimé leurs inquiétudes concernant le compte. « J'ai peur qu'ils ne recherchent mon nom sur Google et qu'ils le trouvent », a déclaré un soldat à Channel 12.


Le camp de réfugiés d'Al-Shati



"7 novembre 2024, l'agence de défense civile de Gaza a annoncé qu'au moins 12 personnes avaient été tuées et de nombreux autres blessées lors d'une attaque contre une école du camp de réfugiés de Shati, dans la ville de Gaza.

Les raids israéliens à Gaza ont fait 27 morts depuis l'aube, dont 19 dans le nord de la bande de Gaza, ont indiqué des sources médicales à Al Jazeera."


Le camp de réfugiés d'Al-Shati.


Sarah Wilkinson :

- "Une scène cruelle... du ciblage israélien de l'école al-Shahibar dans le camp d'Al-Shati, à l'ouest de la ville de Gaza : des civils palestiniens pulvérisés et méconnaissables"




Les critiques légitimes d’Israël sont criminalisées


"Israël œuvre partout où il dispose d'un puissant lobby avec des instructions pour faire taire toute critique même les plus banales envers Israël." Desertup.


Eric Archambau :

- "Le Bundestag allemand a adopté une motion assimilant la critique d'Israël à de l'antisémitisme. Des dizaines d'universitaires juifs se sont opposés à la résolution, estimant qu'elle mettrait en danger les Allemands juifs en les associant aux actions du gouvernement israélien."

MSN France :

Les députés allemands ont adopté une résolution visant à renforcer la lutte contre l’antisémitisme, notamment dans la sphère éducative et culturelle. [...]

Non contraignant, le texte a pour but de «protéger, préserver et renforcer la vie juive en Allemagne. [...]

Des voix critiques s’inquiètent néanmoins que certaines dispositions du texte, négocié durant près d’un an, puissent permettre de restreindre la liberté académique et culturelle et adoptent «une rhétorique qui divise».

Le document parlementaire appelle à garantir «qu’aucune organisation ou projet qui propage l’antisémitisme, remet en question le droit à l’existence d’Israël, appelle au boycott d’Israël ou soutient activement le mouvement BDS («Boycott, désinvestissement, sanctions contre Israël») ne bénéficie d’un soutien financier».

Dans les établissements d’enseignement, la résolution recommande «l’exclusion des cours voire le renvoi dans des cas particulièrement graves».

«Cette résolution ouvre la voie à des abus, criminalise les critiques légitimes de la politique gouvernementale israélienne et sert le récit raciste de l’antisémitisme importé», déplore l’organisation de défense des droits humains Amnesty international.



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En France :

"Israël œuvre partout où il dispose d'un puissant lobby avec des instructions pour faire taire toute critique même les plus banales envers Israël." Desertup.


Sous couvert de lutter contre les "nouvelles formes d’antisémitisme", la députée Caroline Yadan a déposé un texte qui cible les expressions de solidarité à la Palestine et la critique de la politique de Tel-Aviv.

Selon Rabah Madjer, "vous serez trainé devant les tribunaux si vous faites des choses comme :

1. Dire le slogan "From the river to the sea" ;

2. Comparer les crimes israéliens avec la Shoah ;

3. Publier une carte du Moyen-Orient sans le drapeau israélien ;

4. Afficher un drapeau nazi avec une étoile de David".