Depuis 2001, il s’est rendu 2 à 3 fois par an à Gaza pour opérer des PMR (personnes à mobilités réduites) victimes de blessures de guerre, et former des chirurgiens palestiniens à la chirurgie réparatrice.
Il a écrit en 2020 le livre ’’Les Dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale’’ :
Vingt ans plus tard, tandis que la plus extrême violence continue à s'abattre sur le Proche-Orient, est annoncée une ouverture d'enquête par la procureure de la Cour pénale internationale sur les crimes commis dans l'État de Palestine. Un choc qui fait hurler la partie israélienne et américaine, et en même temps stupéfie les victimes qui ont du mal à y croire. Ainsi le fracas des bombardements couvre depuis des années le cliquetis discret du métronome du droit qui oscille imperturbablement. Les dirigeants israéliens ne sont plus les maîtres de l'horloge.