Texas: Une candidate d’extrême droite brûle le Coran dans une vidéo de campagne
Une candidate d’extrême droite au Congrès américain, en lice pour représenter le Texas, a brûlé un exemplaire du Coran dans une vidéo diffusée mardi (26 août 2025) sur X, une séquence dans laquelle elle promet de « mettre fin à l’islam une bonne fois pour toutes ».
« Vos filles seront violées et vos fils décapités – à moins que nous ne mettions fin à l’islam une bonne fois pour toutes », déclare Valentina Gomez, influenceuse pro-Trump, dans la vidéo. Elle y apparaît vêtue d’un pantalon de camouflage et d’un tee-shirt de campagne orné du dessin d’un fusil.
Elle utilise ensuite un lance-flammes pour brûler un exemplaire du livre saint de l’islam.
The Times of Israel
Commentaire :
Dans l’Amérique d’aujourd’hui, profondément enracinée dans le christianisme sioniste, les messages comme celui de Valentina Gomez ne sont pas des dérapages isolés.
Quand une candidate politique brûle le Coran et déclare qu’« il n’y a qu’un seul vrai Dieu, celui d’Israël », elle dit à haute voix ce que d’autres murmurent : l’islam est désigné comme le seul ennemi à abattre.
Là où en Europe les discours restent encore voilés par des précautions de langage, aux États-Unis ils se révèlent sans fard. Ce n’est plus seulement la diabolisation, c’est l’appel direct à l’éradication.
Et derrière ce basculement se cache une usurpation lente, presque invisible : le christianisme sioniste. Une idéologie qui a détourné le message universel du christianisme pour le mettre au service d’un projet politique, celui de la domination israélienne. En douceur, ni vu ni connu, cette doctrine a remplacé la foi par la propagande, la charité par la haine, l’espérance par l’appel au feu. Les chrétiens sionistes ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, réduits au rang d’esclaves au service de leurs maîtres.
L’épicentre de tout cela, c’est le sionisme et Israël. C’est là que se cristallise l’alliance du religieux dévoyé et du politique impérial. C’est là que se forge la matrice qui prétend définir qui doit vivre et qui doit disparaître.
C’est pourquoi le combat pour la Palestine n’est pas un combat local, ni seulement un affrontement entre un peuple colonisé et son occupant. C’est le combat pour toute l’humanité, pour empêcher que cette idéologie de mort ne s’étende à l’échelle globale.
Ces signaux doivent être pris au sérieux : l’histoire a montré que les mots précèdent toujours les drames.
Dans l’Amérique d’aujourd’hui, profondément enracinée dans le christianisme sioniste, les messages comme celui de Valentina Gomez ne sont pas des dérapages isolés.
Quand une candidate politique brûle le Coran et déclare qu’« il n’y a qu’un seul vrai Dieu, celui d’Israël », elle dit à haute voix ce que d’autres murmurent : l’islam est désigné comme le seul ennemi à abattre.
Là où en Europe les discours restent encore voilés par des précautions de langage, aux États-Unis ils se révèlent sans fard. Ce n’est plus seulement la diabolisation, c’est l’appel direct à l’éradication.
Et derrière ce basculement se cache une usurpation lente, presque invisible : le christianisme sioniste. Une idéologie qui a détourné le message universel du christianisme pour le mettre au service d’un projet politique, celui de la domination israélienne. En douceur, ni vu ni connu, cette doctrine a remplacé la foi par la propagande, la charité par la haine, l’espérance par l’appel au feu. Les chrétiens sionistes ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, réduits au rang d’esclaves au service de leurs maîtres.
L’épicentre de tout cela, c’est le sionisme et Israël. C’est là que se cristallise l’alliance du religieux dévoyé et du politique impérial. C’est là que se forge la matrice qui prétend définir qui doit vivre et qui doit disparaître.
C’est pourquoi le combat pour la Palestine n’est pas un combat local, ni seulement un affrontement entre un peuple colonisé et son occupant. C’est le combat pour toute l’humanité, pour empêcher que cette idéologie de mort ne s’étende à l’échelle globale.
Ces signaux doivent être pris au sérieux : l’histoire a montré que les mots précèdent toujours les drames.
Tomy le Magnifique sur X.
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BONUS (France)
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