"Pour ma part, je n'achète plus Marianne
depuis qu'il est sous l'emprise des lobbies israéliens."
⁃ Sa contestation des investigations du service CheckNews du journal qui enquêtait sur les fausses informations liées aux massacres du 7 Octobre(notamment celles des 40 bébés décapités), alléguant que « sur certains sujets, il faut attendre, tout simplement ».
⁃ Son opposition à une "Une" de Libération en février 2024 ayant pour titre « Gaza : 30 000 morts » en justifiant que l'« on pouvait parler de Gaza sans forcément mettre un chiffre qui, n'étant pas vérifié, pose un problème déontologique, puisque sert la propagande du Hamas ».
Les salariés de Marianne dénoncent également les prises de positions de Ève Szeftel, qui selon eux « dénaturent l’identité profonde du titre, en particulier le caractère “non-aligné” et l'indépendance d’esprit » du magazine, ainsi que « des manquements graves et répétés à l’éthique journalistique, spécialement concernant la couverture du conflit israélo-palestinien et des crimes de guerre à Gaza ». Selon Le Monde, Szeftel s'est rendu à un voyage de presse organisé par le ministère des Affaires étrangères israélien en juillet 2025 « sans qu’aucune mention du voyage de presse ne figure dans l’article », et après que le déplacement ait été refusé par plusieurs journalistes du magazine. La motion alerte aussi sur un management décrit comme "brutal".
⁃ L'AFP relève que le vote de cette motion de défiance est intervenu après celui d'une autre motion, le 9 septembre, à l’échelle de CMI France, contre la direction du groupe détenue par Daniel Kretensky magnat de la presse et propriétaire de Marianne.
⁃ Des journalistes évoquent en juin 2025 leur intention de voter une motion de défiance à la suite de l'impossibilité d'évoquer la guerre à Gaza. Le 18 septembre 2025, la motion de défiance.
⁃ Une enquête menée par Blast a dévoilé qu'Ève Szeftel en tant que directrice de Marianne, refusait toute évocation dans les pages du journal du mot « génocide » pour décrire les massacres commis par Israël à Gaza et a rejeté la publication d'un article proposant de débattre sur l'emploi de ce terme ; alléguant au rédacteur en chef adjoint du service international qu'« Israël est une démocratie et [qu'il] n'y a pas de génocide à Gaza ». Elle conteste ces accusations». En mars 2024, elle déclare sur X que le « droit légitime d'Israël à se défendre ne peut pas se transformer en pulsion incontrôlée de vengeance ».
⁃ Elle cosigne un livre avec la très contestée Barbara Lefebvre, chroniqueuse de l'émission "Les Grandes Gueules" sur RMC-BFMTv, qui pour mémoire soutient le projet de Donald Trump visant à transformer la bande de Gaza en « zone vierge ». Les propos de Barbara Lefebvre avaient provoqué on s'en souvient des contestations sur les réseaux sociaux et un rappel à l'ordre de RMC, qui l'avait écarté temporairement de ses antennes. Selon Libération, il s'agit d'un appel au nettoyage ethnique. En mai 2025, Barbara Lefebvre qui aujourd'hui a toujours son rond de serviette dans l'émission " Les grandes gueules ", avait animé le gala de l'association Diaspora Defense Forces, lobby israélien, lors duquel un jeu-concours sur le pourcentage de civils morts à Gaza avait été organisé, suscitant l'intervention du député Aymeric Caron auprès du procureur de la République pour « apologie de crimes d'atteinte à la vie, apologie de crimes de guerre, apologie de crimes contre l'humanité, voire complicité desdits crimes ».
On ne peut évidemment que soutenir les journalistes de Marianne dans leur juste combat pour la liberté de la presse et pour la défense de l'éthique journalistique.
⁃ Son opposition à une "Une" de Libération en février 2024 ayant pour titre « Gaza : 30 000 morts » en justifiant que l'« on pouvait parler de Gaza sans forcément mettre un chiffre qui, n'étant pas vérifié, pose un problème déontologique, puisque sert la propagande du Hamas ».
Les salariés de Marianne dénoncent également les prises de positions de Ève Szeftel, qui selon eux « dénaturent l’identité profonde du titre, en particulier le caractère “non-aligné” et l'indépendance d’esprit » du magazine, ainsi que « des manquements graves et répétés à l’éthique journalistique, spécialement concernant la couverture du conflit israélo-palestinien et des crimes de guerre à Gaza ». Selon Le Monde, Szeftel s'est rendu à un voyage de presse organisé par le ministère des Affaires étrangères israélien en juillet 2025 « sans qu’aucune mention du voyage de presse ne figure dans l’article », et après que le déplacement ait été refusé par plusieurs journalistes du magazine. La motion alerte aussi sur un management décrit comme "brutal".
⁃ L'AFP relève que le vote de cette motion de défiance est intervenu après celui d'une autre motion, le 9 septembre, à l’échelle de CMI France, contre la direction du groupe détenue par Daniel Kretensky magnat de la presse et propriétaire de Marianne.
⁃ Des journalistes évoquent en juin 2025 leur intention de voter une motion de défiance à la suite de l'impossibilité d'évoquer la guerre à Gaza. Le 18 septembre 2025, la motion de défiance.
⁃ Une enquête menée par Blast a dévoilé qu'Ève Szeftel en tant que directrice de Marianne, refusait toute évocation dans les pages du journal du mot « génocide » pour décrire les massacres commis par Israël à Gaza et a rejeté la publication d'un article proposant de débattre sur l'emploi de ce terme ; alléguant au rédacteur en chef adjoint du service international qu'« Israël est une démocratie et [qu'il] n'y a pas de génocide à Gaza ». Elle conteste ces accusations». En mars 2024, elle déclare sur X que le « droit légitime d'Israël à se défendre ne peut pas se transformer en pulsion incontrôlée de vengeance ».
⁃ Elle cosigne un livre avec la très contestée Barbara Lefebvre, chroniqueuse de l'émission "Les Grandes Gueules" sur RMC-BFMTv, qui pour mémoire soutient le projet de Donald Trump visant à transformer la bande de Gaza en « zone vierge ». Les propos de Barbara Lefebvre avaient provoqué on s'en souvient des contestations sur les réseaux sociaux et un rappel à l'ordre de RMC, qui l'avait écarté temporairement de ses antennes. Selon Libération, il s'agit d'un appel au nettoyage ethnique. En mai 2025, Barbara Lefebvre qui aujourd'hui a toujours son rond de serviette dans l'émission " Les grandes gueules ", avait animé le gala de l'association Diaspora Defense Forces, lobby israélien, lors duquel un jeu-concours sur le pourcentage de civils morts à Gaza avait été organisé, suscitant l'intervention du député Aymeric Caron auprès du procureur de la République pour « apologie de crimes d'atteinte à la vie, apologie de crimes de guerre, apologie de crimes contre l'humanité, voire complicité desdits crimes ».
On ne peut évidemment que soutenir les journalistes de Marianne dans leur juste combat pour la liberté de la presse et pour la défense de l'éthique journalistique.
Pour ma part, je n'achète plus Marianne depuis qu'il est sous l'emprise des lobbies israéliens.
Patrick Champagnac sur X.
*******
Opération de blanchiment des génocidaires israéliens avec la complicité active d’une partie de la presse française
« L’ambassade » d’Israël en France a invité tous frais payés cinq titres de presse français au mois de juillet en Israël pour écouter des hauts gradés de l’armée récuser la responsabilité israélienne dans la famine à Gaza.
Leurs noms : Le Journal du dimanche, Le Figaro, La Croix, L’Express et Marianne.
Le JDD, Le Figaro et Marianne n’ont pas jugé utile de préciser que leurs articles avaient été rédigés dans le cadre d’un voyage concocté par l’ambassade israélienne.
Opération de blanchiment des génocidaires israéliens avec la complicité active d’une partie de la presse française.
Thomas Portes.