La DDF (organisation de soutien à Israël » dans la guerre à Gaza) a organisé un gala, jeudi 29 mai, avec des ministres israéliens et des personnalités françaises, qui ont appelé à continuer le génocide à Gaza.
Lors de la soirée, « Diaspora Defense Force », Frank Tapiro, a récompensé les principaux soutiens médiatiques parisiens du génocide, perpétré par Israël Gaza.
Des prix ont été attribués à de nombreuses personnes :
Laurence Ferrari,
Mona Jafarian,
Celine Pina,
Franz-Olivier Giesbert,
Arthur,
Bernard-Henri Levy,
Philippe Lellouche,
Gilles William Goldnadel,
etc.
Barbara Lefebvre a annoncé qu’un « School Tour » se déroulera dans les écoles et universités françaises. Ce tour vise à tester les connaissances des élèves sur Israël, avec un voyage à Jérusalem offert au grand gagnant.
Le parrain du gala, Olivier Rafowicz, porte-parole de l’armée israélienne, a été ovationné par l’assistance.
Une intervenante a qualifié les soldats de l’armée israélienne à Gaza de « héros ».
La journaliste de CNews, Laurence Ferrari a été félicitée d’avoir relayé la propagande du gouvernement israélien.
Gilles-William Goldnadel :
« Nous avons perdu la guerre médiatique, mais nous avons gagné la guerre sur le terrain. »
Franz Olivier Giesbert a appelé à s’opposer à ceux qui dénoncent le génocide à Gaza.
« On doit beaucoup à Israël. Les jeunes qui sont debout auprès de Tsahal nous montrent qu’ils sont les vrais héros et nous inspirent tous les jours pour mener ce combat. Nous menons le combat ici, mais eux sont sur le front là-bas et nous devons être solidaires avec eux ! » [...]
Occuper le « cerveau vide des jeunes »
Le mépris est le même, mais là nous avons affaire à des gens qui veulent profiter de la situation pour faire avancer les intérêts du suprémacisme occidental. Ils appellent cela la « vérité historique ». Et parions qu’ils trouveront quelques cibles consentantes. Des privilégiés, que l’on recrutera pour animer la section française de l’Internationale Suprémaciste Occidentale. Tandis que le reste de la jeunesse sera renvoyée dans ses « quartiers », avec une interdiction toujours plus draconienne d’en sortir.
Edouard Husson.