Selon une nouvelle étude de Ci Marketing publiée mercredi 14 mai, environ 40 % des « Israéliens » vivant encore dans les territoires occupés envisagent activement de partir, citant la peur et l'insécurité suite à l'attaque surprise du 7 octobre par le mouvement de résistance palestinien Hamas et la guerre génocidaire qui a suivi du régime occupant dans la bande de Gaza comme raisons derrière cette tendance.
Le quotidien en hébreu Maariv a également rapporté que près de 60 000 « Israéliens » ont quitté l'entité sioniste en 2023 et ne sont jamais revenus, soit plus du double du nombre de l'année précédente.
Selon les derniers chiffres publiés par le Bureau central des statistiques (CBS), l'écrasante majorité — 81 % — étaient des jeunes et des familles, principalement âgés de 25 à 44 ans.
Il s’agit d’une augmentation significative par rapport à 2024, au cours de laquelle environ 40 000 colons israéliens ont quitté définitivement les territoires occupés.
Les chiffres montrent que le nombre de colons illégaux, qui ont quitté l'entité sioniste l'année dernière, a connu une augmentation spectaculaire après l'opération Al-Aqsa Flood et la guerre génocidaire du régime israélien à Gaza
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