jeudi 4 septembre 2025

Après ses propos sur Gaza, l'essayiste Raphaël Enthoven n'est plus le bienvenu au festival "Livres dans la Boucle"





i24 News :

Le philosophe et essayiste Raphaël Enthoven ne participera finalement pas au festival littéraire Livres dans la Boucle, prévu du 19 au 21 septembre à Besançon, a rapporté le média Est Républicain. L’annonce a été faite mardi par Grand Besançon Métropole (GBM), organisateur de l’événement, à la suite d’une vive polémique.

En cause, une déclaration publiée le 15 août sur le réseau social X dans laquelle Enthoven affirmait : « Il n’y a aucun journaliste à Gaza. Uniquement des tueurs, des combattants ou des preneurs d’otages avec une carte de presse. »

Des propos largement contestés, notamment par Reporters sans frontières (RSF) et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), qui ont qualifié ces affirmations de fausses. L’écrivain a néanmoins maintenu sa position dans un second message publié le 17 août.

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Jérusalem :

Comme une odeur d'autodafé

La police coloniale israélienne a perquisitionné le Gateway Bookstore and Café, une librairie chrétienne palestinienne de Jérusalem occupée, arrêtant son propriétaire, Anton Sabella.

Motif officiel ? La vente de livres palestiniens, qualifiés d’"incitatifs".

Ils bombardent les mosquées, détruisent les écoles musulmanes et s’en prennent aussi aux chrétiens palestiniens. Pour eux, les lieux de culture et de mémoire sont des menaces, les libraires des criminels.

L’occupation ne distingue pas : musulmans ou chrétiens, quiconque incarne la Palestine est une cible. C’est l’identité entière d’un peuple qu’ils veulent effacer, dans les corps comme dans les esprits.

Source.



Le rôle infâme joué par l'Institut Tony Blair dans la planification du nettoyage ethnique et de la «reconstruction» de Gaza



Tony Blair is back

"Tony Blair is a war criminal. He cannot even walk the streets of the UK, such is the depth of public contempt he faces among the British people." Sulaiman Ahmed, Journalist.


Le Financial Times a révélé que deux membres du Tony Blair Institute (TBI) avaient participé à des discussions avec le Boston Consulting Group (BCG) au sujet de projets de nettoyage ethnique des Palestiniens de Gaza et de construction d'une « Riviera Trump » et d'une « Zone de fabrication intelligente Elon Musk ». Des plans commandités par un groupe de businessmen israéliens.




Le très honorable Sir Tony Blair KG (Chevalier) a créé le Tony Blair Institute for Global Change (pour lui donner son titre complet) en 2016. Il déclara au Financial Times qu'il souhaitait qu'il devienne le cabinet de conseil de référence pour les dirigeants mondiaux: «Je veux que [l'institut] soit entrepreneurial, vif et qu'il donne aux gouvernements de bons conseils solides.»

Sa déclaration de mission dit : « Sous la direction de Tony, TBI collabore avec les dirigeants politiques du monde entier pour créer un véritable changement pour leurs populations en les conseillant sur la stratégie, les politiques et la mise en œuvre, la technologie étant un levier pour ces trois objectifs. » L’accent mis sur la technologie reflète les intérêts de l’un des principaux bailleurs de fonds de TBI, Larry Ellison, fondateur de l’entreprise de technologie informatique Oracle. L’objectif de TBI est de « contribuer à bâtir des pays plus ouverts, plus inclusifs et plus prospères pour tous ».

Ce que cela signifie concrètement peut être constaté dans un document rédigé par un membre du TBI et soumis au BCG pour examen. Il incluait un projet de « Riviera de Gaza » avec des îles artificielles au large, similaires à Palm Island à Dubaï, des initiatives commerciales basées sur la ‘blockchain’, un port en eau profonde qui assurerait la liaison avec le corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe, et des « zones économiques spéciales » à faible fiscalité, synonymes de bas salaires et de conditions de travail abusives.

Le document indique que la guerre dévastatrice de Gaza a «créé une opportunité unique dans tout un siècle de reconstruire Gaza à partir de ses principes fondamentaux… en tant que société sûre, moderne et prospère» – et, bien sûr, sans aucun Palestinien.

L'Institut Blair a d'abord tenté de nier son implication, puis a minimisé son rôle dans la proposition, plaidant qu'il n'avait pas produit ni approuvé la soumission finale de 30 pages du BCG :

"The Great Trust (la Grande confiance): From a Demolished Iranian Proxy to a Prosperous Abrahamic Ally (d’un mandataire iranien démoli à un allié abrahamique prospère)" — « Great » est l'acronyme de Gaza Reconstitution, Economic Acceleration and Transformation. Le BCG a présenté le plan au gouvernement Trump ainsi qu'à d'autres gouvernements du Moyen-Orient.

Le Boston Consulting Group (BCG) a également contribué à la création de la Fondation humanitaire pour Gaza (GHF), soutenue par Israël et les États-Unis, qui fournit une aide au compte-gouttes à Gaza, accessible uniquement au risque d'être abattu, pour légitimer le blocage de toute autre aide et le fait d’affamer systématiquement les Palestiniens.

Le GHF a selon la presse élaboré un plan de création de camps, appelés « zones de transit humanitaire », à l'intérieur et à l'extérieur de Gaza. De ces camps de concentration, les Palestiniens seraient ensuite expulsés du pays. L'ONU a qualifié le GHF de «feuille de vigne » cachant les objectifs de guerre israéliens, tandis que les organisations humanitaires ont refusé de collaborer avec lui. Depuis le lancement du GHF en mai, les forces israéliennes ont tué plus de 800 Palestiniens qui tentaient d'atteindre ses sites de distribution.

L'ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert a dénoncé le projet de «ville humanitaire», affirmant qu'il s'agirait d'un camp de concentration et que forcer les Palestiniens à y entrer serait du nettoyage ethnique.

Le travail du BCG a été commandité dans le cadre des plans plus larges et à long terme du gouvernement fasciste du Premier ministre Benyamin Netanyahou pour le nettoyage ethnique de Gaza, qui a utilisé les événements du 7 octobre 2023 comme prétexte pour mettre en œuvre cet objectif.

Si le BCG, dans une tentative de limiter les dégâts pour sa réputation, a annoncé que deux de ses principaux associés démissionnaient en raison de leur rôle dans le projet, et que le directeur général du GHF, Jake Wood, avait également démissionné, peu de choses ont été dites sur le rôle joué par le Tony Blair Institute for Global Change.

La proposition du BCG est l'un des nombreux plans d'après-guerre pour Gaza élaborés par des gouvernements et des groupes indépendants, parmi lesquels le programme de reconstruction de 53 milliards de dollars de la Ligue arabe, présenté par l'Égypte en mars, ainsi que ceux de groupes de réflexion tels que Rand.

Ensemble, ils mettent en lumière le rôle joué par les grandes sociétés, qui se cachent derrière les groupes de réflexion, les cabinets de conseil et autres, dans les négociations et les discussions sur l’avenir de Gaza, maquillées en «pourparlers de paix» et largement invisibles au grand public...


Cette nuit à Gaza


Une pluie de bombes incendiaires s'est abattue sur les tentes des personnes déplacées dans le quartier de Sheikh Radwan à Gaza.

Pour la énième fois, des personnes sont brûlées vives dans leurs tentes, dans un silence mondial honteux. [...]

Cette photo a été prise cette nuit à Gaza. Les forces terroristes israéliennes ont largué des bombes incendiaires sur des tentes pendant que les gens dormaient.




Taoufiq Tahani.

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Overnight, Israeli occupation forces killed:

- three people after bombing their house in Al Sabra neighbourhood of the Gaza City

- four displaced persons after bombing their tents in Al Sheikh Ridwan neighbourhood of the Gaza City

- two displaced persons after bombing their tents in Tal al Hawa neighbourhood of the Gaza City

- two displaced persons after bombing their tents in Khan Younis!

Sensitive scenes


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Israeli forces bombed a tent belonging to the Al-Taramsi family in Sanabel camp, behind the Italian Complex in Gaza, leaving several killed and injured.






L’Américain d’Israël infiltré à la CIA n’était qu’un traître à la patrie




par Kit Klarenberg et Wyatt Reed


Le célèbre espion de la CIA, James Angleton, a secrètement façonné les relations entre les États-Unis et Israël. Des documents récemment déclassifiés révèlent qu’il a trahi son pays pour aider Israël à voler du matériel nucléaire américain et à mener des opérations d’espionnage à l’échelle mondiale.

Selon des documents récemment déclassifiés publiés dans le cadre de l’engagement de l’administration Trump à divulguer toutes les informations disponibles sur l’assassinat du président John F. Kennedy, James Angleton, un vétéran du contre-espionnage de la CIA, a secrètement supervisé un réseau d’espionnage d’élite impliquant des émigrés juifs et des agents israéliens, sans aucune autorisation du Congrès ou de Langley lui-même.

Ces documents offrent un regard nouveau et souvent troublant sur un espion décrit par l’historien Jefferson Morley comme «l’un des principaux artisans des relations stratégiques entre les États-Unis et Israël». Ils détaillent le rôle d’Angleton dans l’émergence du Mossad en tant qu’agence d’envergure mondiale, ainsi que son aide à Israël pour voler du matériel nucléaire américain et protéger des terroristes sionistes.

C’est Angleton qui a mis en place le réseau d’espionnage des émigrés juifs, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dans le but apparent d’infiltrer l’Union soviétique. Cependant, comme en témoignent les dossiers, le maître espion considérait que sa mission la plus importante consistait à maintenir l’afflux d’immigrants juifs en provenance de l’URSS vers l’État d’Israël en pleine expansion.

Selon lui, ses agents juifs ont rédigé 22 000 rapports sur l’URSS, qui ont donné lieu à plusieurs «coups de maître» des services du renseignement.

Le plus important d’entre eux fut la publication, en 1956, du célèbre discours secret du Premier ministre soviétique Nikita Khrouchtchev dénonçant Staline, discours dont le maître espion prétendait qu’il avait «provoqué les révolutions en Hongrie et en Pologne». Il s’est par ailleurs vanté que son arrangement avec Israël a contribué à recruter

«500 agents des services secrets polonais juifs qui en savaient plus sur les services secrets polonais que les Polonais eux-mêmes».

D’autres passages semblent montrer qu’Angleton s’attribue le mérite d’avoir obtenu la «libération» de plusieurs terroristes sionistes affiliés à la milice Irgoun avant qu’ils ne soient condamnés pour l’attentat à la bombe contre l’ambassade britannique à Rome. Bien que le groupe ait été capturé par les autorités italiennes, les dossiers récemment divulgués indiquent que la cellule terroriste a été libérée sur ordre de la CIA.

Cette information a initialement été divulguée en 1975 à des sénateurs membres de la commission Church, qui enquêtait sur les abus commis par les services du renseignement américain au cours des décennies précédentes. Le Congrès s’était particulièrement intéressé aux affirmations de Tad Szulc, correspondant étranger du New York Times, qui avait témoigné sous serment que selon Angleton, les États-Unis avaient fourni des informations techniques sur les dispositifs nucléaires à Israël à la fin des années 1950. Les nouveaux documents montrent qu’Angleton a menti lors de son audition et a éludé les questions sur les tentatives d’espionnage nucléaire d’Israël.

D’autres documents déclassifiés du FBI, qui désignent le Mossad comme la «principale source» d’Angleton, confirment que le chef du contre-espionnage de la CIA comptait fortement sur Tel-Aviv pour asseoir sa position au sein de l’Agence. Ces documents viennent s’ajouter à la liste de plus en plus longue des preuves suggérant qu’Angleton n’a peut-être pas toujours agi dans l’intérêt des États-Unis au cours de ses 21 années de service.

De nouveaux dossiers déclassifiés du FBI ont révélé qu’Angleton entretenait une relation très instable avec le Bureau, dont les agents se sont tournés vers le chef du contre-espionnage de la CIA après l’avoir surpris en train de surveiller la correspondance d’un grand nombre d’Américains. Ces documents révèlent qu’Angleton a admis qu’il aurait été licencié si Langley avait découvert ses fuites au sein du Bureau.

Une analyse comparative des dossiers de la commission Church, dans leur version non expurgée et celle publiée en 2018, montre que, même plus de 70 ans plus tard, Washington a jugé nécessaire de dissimuler les détails de ses relations avec les fondateurs d’Israël. Plus d’une douzaine de références à «Israël», «Tel-Aviv» ou à des personnalités décrites comme «juives» ont été supprimées de la publication de 2018 et peuvent désormais être consultées sur le site des Archives nationales.

Les documents figurant sur ce site révèlent qu’Angleton a menti à plusieurs reprises à divers organes du Congrès, notamment à la commission Church, qui a enquêté sur les abus de la CIA, et à la commission spéciale de la Chambre des représentants sur les assassinats qui enquêtait sur les meurtres de John F. Kennedy et de Martin Luther King, Jr. Angleton s’est montré tout aussi évasif lorsqu’il a été interrogé sur le programme d’armement nucléaire d’Israël et sur la connaissance ou la complicité de la CIA dans ce projet.

Ces documents révèlent également que les services du contre-espionnage de la CIA dirigés par Angleton ont ordonné le retrait de Lee Harvey Oswald des listes de surveillance fédérales six semaines avant l’assassinat de Kennedy, alors qu’il était catalogué comme présentant un risque élevé pour la sécurité. La surveillance d’Oswald était personnellement supervisée par un membre du réseau de renseignement d’Angleton composé d’émigrés juifs, Reuben Efron, un espion de la CIA originaire de Lituanie. Angleton avait chargé Efron d’un programme de l’Agence appelé HT/Lingual qui interceptait et lisait la correspondance entre Oswald et sa famille.

De nombreux historiens se sont interrogés sur les raisons qui ont poussé le chef du contre-espionnage de la CIA à insister pendant des décennies pour superviser personnellement ce qu’il appelait le «dossier israélien». Bien que plusieurs interactions officieuses soient impossibles à analyser, les documents montrent que lorsqu’il a été interrogé sur ses liens «inhabituellement intenses» avec le Mossad israélien, Angleton a reconnu avoir conclu un «accord» selon lequel «en termes très simplistes, les Israéliens savaient que nous ne travaillerions pas avec eux contre les Arabes, mais plutôt contre les services du renseignement du bloc soviétique et le communisme».
Libération des terroristes sionistes

L’un des premiers exemples de la collaboration d’Angleton avec des éléments sionistes remonte à la campagne terroriste lancée par des militants sionistes pour contraindre les autorités coloniales britanniques à quitter la Palestine mandataire.

En octobre 1946, soit trois mois après le bombardement du quartier général administratif britannique à l’hôtel King David, à Jérusalem, des membres de la milice d’extrême droite Irgoun ont placé des explosifs dans l’ambassade britannique à Rome, dans le but avorté d’assassiner l’ambassadeur du Royaume-Uni en Italie.

Selon Angleton, la CIA serait intervenue pour s’assurer que les membres de l’Irgoun puissent quitter l’Italie sans être poursuivis, après avoir fait sauter l’ambassade britannique à Rome en 1946.

«Nous tenions les membres du groupe et nous nous sommes de nouveau trouvés face au dilemme de savoir s’il fallait les remettre aux autorités britanniques», a déclaré Angleton, qui a été chef du contre-espionnage de la branche italienne de l’Office of Strategic Services, le prédécesseur de la CIA.

«Nous pouvions prendre la décision qui nous semblait la plus appropriée. Finalement, nous avons décidé de les libérer».
Un accord secret avec le Mossad

Alors que Washington cherchait à gérer les tensions politiques suscitées par la création d’Israël et à surveiller l’afflux de migrants soviétiques vers l’État juif autoproclamé, Angleton présenta sa prise de contrôle du «dossier israélien» comme un moyen pratique pour les services du renseignement américains de faire d’une pierre deux coups.

«L’autre aspect du problème israélien concernait les milliers de personnes qui arrivaient de l’Union soviétique. Les Soviétiques se servaient de l’immigration pour envoyer des agents secrets en Occident tout en démantelant les dispositifs de contrôle des voyages et les systèmes d’identification. Il y avait donc à la fois un problème de sécurité et un problème politique».

Pour gérer ces «problèmes», les États-Unis et Israël ont conclu un accord prévoyant l’échange secret de «documents, de messages, de renseignements sur les communications et d’autres informations issues des services du renseignement», a déclaré Angleton.

Le chef des services secrets a affirmé que les seules traces de l’accord de 1951 détenues par les États-Unis se trouvaient en possession de l’Agence. Il a également admis que le Congrès américain n’avait pas été mis au courant et a déclaré aux sénateurs :

«Je ne pense pas que le Congrès ait donné son autorisation».

Interrogé par un élu sur la possibilité pour les directeurs successifs de l’agence de renseignement de comprendre la teneur des accords entre les services de renseignement américains et israéliens, Angleton a répondu :

«C’est très simple. Ils ont suivi le processus dès le début. Ils ont également rencontré les directeurs ou le chef des services du renseignement israéliens, tout comme les ambassadeurs et les Premiers ministres. Ils étaient très impliqués».
Il formait des espions sionistes «en dehors de la structure» de la CIA

Angleton veillait particulièrement à préserver ce qu’il appelait «la relation fiduciaire» avec Tel-Aviv, et a rassemblé une clique très soudée d’Américains juifs dont la loyauté envers les États-Unis était douteuse, à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

«J’ai commencé dans le sud avec deux hommes juifs qui ont travaillé avec moi pendant la guerre», a-t-il expliqué. Après les avoir «placés sous couverture en tant que personnes ordinaires» pour qu’ils prennent leurs marques dans le nouvel État d’Israël, il a «fait venir six autres personnes et les a soumis à plusieurs mois de formation en dehors de la structure de la CIA».

«Pour rompre cette relation fiduciaire, personnelle par nature, tous mes hommes sont restés dans le circuit, sont revenus au quartier général, sont retournés à Tel-Aviv, sont allés au Conseil national de sécurité, sont retournés à Tel-Aviv, etc.».

«C’était probablement l’opération la moins coûteuse jamais conçue par le gouvernement américain», se vantait Angleton. «Je ne pense pas qu’on ait recruté plus de dix personnes dans le cadre de ce processus».

Ayant formé ces espions «en dehors des structures» de la CIA, on ne sait pas très bien comment Angleton s’est assuré de leur loyauté aux objectifs de sécurité nationale des États-Unis, ni s’il en avait jamais eu l’intention.
Autoriser Israël à voler le nucléaire américain et espionner les États-Unis

Le rôle d’Angleton dans le vol matériel nucléaire par Israël dans une installation américaine est l’un des épisodes les plus choquants des relations entre les deux pays. Le lieu du crime était la Nuclear Materials and Equipment Corporation (NUMEC), une usine de traitement d’uranium située à Apollo, en Pennsylvanie, et appartenant à un financier sioniste nommé David Lowenthal. En 1965, Zalman Shapiro, un autre sioniste engagé par Lowenthal pour diriger l’usine, détourna illégalement des centaines de kilos de matières fissiles vers Israël. Se faisant passer pour un scientifique, le célèbre espion du Mossad, Rafi Eitan, se rendit au NUMEC trois ans plus tard pour poursuivre l’opération.

Comme le raconte Jefferson Morley dans sa biographie d’Angleton, «The Ghost», le défunt chef du contre-espionnage de la CIA a veillé à ce que la CIA ferme les yeux pendant qu’Israël construisait sa première arme nucléaire à partir des matières fissiles volées. Selon Morley, «on peut dire à coup sûr qu’Angleton considérait la collaboration avec Israël comme plus importante que la politique de non-prolifération des États-Unis».

Une enquête menée en 1977 par le Government Accountability Office (bureau de la responsabilité gouvernementale) des États-Unis a révélé que la CIA a caché au FBI et au ministère de l’Énergie des informations sur le vol nucléaire au NUMEC et «constaté que certaines personnes clés n’ont pas été contactées par le FBI près de deux ans après le début de l’enquête du FBI».

La dernière série de dossiers du comité Church complète les informations sur la compromission de la sécurité nationale américaine par Angleton au profit d’Israël, et sur ses tentatives de dissimuler sa trahison.

Lors de son témoignage devant la commission, Angleton a été interrogé sur des articles de presse alléguant un soutien technique de sa part et de celle de son unité de contre-espionnage à Israël pour le développement d’armes nucléaires. Il a vigoureusement nié ces accusations, affirmant que la CIA n’avait jamais fourni de matières nucléaires à Tel-Aviv. Cependant, lorsqu’on lui a demandé si les services de renseignement israéliens avaient déjà mené des opérations aux États-Unis visant à acquérir la technologie nucléaire, il a répondu de manière évasive.

Il a d’abord déclaré avec véhémence que «de nombreux pays ont tenté d’acquérir des connaissances techniques dans ce pays, et cela n’exclut pas les Israéliens».

Interrogé ensuite sur la possession d’informations concrètes concernant des agents israéliens tentant d’acquérir des secrets nucléaires aux États-Unis, il a répondu : «Dois-je répondre à cela ?»

La commission a ensuite demandé aux sénateurs de lever l’obligation de confidentialité, privant ainsi les enquêteurs de tout moyen de vérifier les réponses d’Angleton.

Dans un mémorandum secret adressé au FBI en 1975, l’ancien chef du contre-espionnage de la CIA a révélé avoir «évité toute réponse directe» lors de son témoignage au Sénat concernant les espions israéliens chargés de «collecter des renseignements» pour obtenir des «informations nucléaires» aux États-Unis.

Quelques jours plus tard, un rapport du Bureau sur les «capacités de collecte de renseignements des services du renseignement israéliens» a révélé qu’Angleton avait entretenu «de fréquents contacts personnels» avec des représentants du Mossad à l’ambassade d’Israël à Washington, D.C., entre février 1969 et octobre 1972. Cette «relation spéciale» impliquait «l’échange d’informations extrêmement sensibles».

La note du FBI de 1975 fait également mention d’un «réseau du renseignement technique» mis en place sept ans plus tôt par l’ambassade d’Israël et dirigé par un scientifique ayant œuvré au programme nucléaire de Tel-Aviv. Cela pourrait expliquer pourquoi Angleton a été si évasif lors de son audition devant le Sénat.
Les «dossiers israéliens» sonnent le glas pour Angleton

Les dossiers du Comité Church révèlent qu’Angleton s’est opposé aux tentatives de William Colby, alors directeur de la CIA, d’apporter un minimum de transparence aux activités de l’agence, notamment celles liées à Israël. Angleton a averti que si l’URSS venait à apprendre que Langley utilisait l’État juif autoproclamé comme refuge pour les communistes renégats, elle mettrait très certainement fin à sa politique d’encouragement à l’émigration des juifs d’Europe de l’Est vers Israël.

«Cette idée d’ouvrir les portes et de briser le cloisonnement, de supprimer ce besoin de savoir, mettrait inévitablement en péril l’immigration si les Soviétiques venaient à découvrir l’étendue de ces activités», a déclaré Angleton.

Colby a licencié Angleton en 1974, après que le New York Times a révélé l’existence d’un programme illégal d’espionnage intérieur visant les dissidents américains opposés à la guerre, mis au point par Angleton. Dans son témoignage, Angleton a présenté leur conflit comme une querelle personnelle, décrivant Colby comme «n’étant pas sa tasse de thé, ni sur le plan professionnel, ni sur aucun autre plan».

Pourtant, Angleton a également reconnu devant le Sénat qu’un «différend lié aux questions israéliennes» l’opposant à Colby avait provoqué son départ de l’Agence. S’agissait-il d’une allusion à l’implication de l’ancien espion dans le vol par Israël de secrets nucléaires américains, permettant ainsi à l’État hébreu de se doter de l’arme atomique ?

Quoi qu’il en soit, on comprend aisément pourquoi Angleton est plus apprécié en Israël qu’aux États-Unis.

Le 4 décembre 1987, les directeurs des services du renseignement israéliens, le Mossad et le Shin Bet, se sont réunis en secret sur une colline de Jérusalem pour planter un arbre en l’honneur d’Angleton. Ils ont été rejoints par cinq anciens chefs des services du renseignement israélien et trois anciens officiers des services de renseignement militaire.

Malgré leur tentative de préserver le secret, deux journalistes locaux sont parvenus à contourner le cordon de sécurité pour filmer la cérémonie en l’honneur de l’ancien directeur du contre-espionnage de la CIA, mort sept mois plus tôt. Les agents secrets israéliens ont ensemble posé une pierre commémorative sur laquelle on pouvait lire :

«À la mémoire d’un ami cher, James (Jim) Angleton».


Source : The Unz Review via Spirit of Free Speech




https://reseauinternational.net/lamericain-disrael-infiltre-a-la-cia-netait-quun-traitre-a-la-patrie


mercredi 3 septembre 2025

Valentina Gomez : « il n’y a qu’un seul vrai Dieu, celui d’Israël »


Texas: Une candidate d’extrême droite brûle le Coran dans une vidéo de campagne

Une candidate d’extrême droite au Congrès américain, en lice pour représenter le Texas, a brûlé un exemplaire du Coran dans une vidéo diffusée mardi (26 août 2025) sur X, une séquence dans laquelle elle promet de « mettre fin à l’islam une bonne fois pour toutes ».

« Vos filles seront violées et vos fils décapités – à moins que nous ne mettions fin à l’islam une bonne fois pour toutes », déclare Valentina Gomez, influenceuse pro-Trump, dans la vidéo. Elle y apparaît vêtue d’un pantalon de camouflage et d’un tee-shirt de campagne orné du dessin d’un fusil.

Elle utilise ensuite un lance-flammes pour brûler un exemplaire du livre saint de l’islam.

The Times of Israel


Commentaire :

Dans l’Amérique d’aujourd’hui, profondément enracinée dans le christianisme sioniste, les messages comme celui de Valentina Gomez ne sont pas des dérapages isolés.

Quand une candidate politique brûle le Coran et déclare qu’« il n’y a qu’un seul vrai Dieu, celui d’Israël », elle dit à haute voix ce que d’autres murmurent : l’islam est désigné comme le seul ennemi à abattre.

Là où en Europe les discours restent encore voilés par des précautions de langage, aux États-Unis ils se révèlent sans fard. Ce n’est plus seulement la diabolisation, c’est l’appel direct à l’éradication.

Et derrière ce basculement se cache une usurpation lente, presque invisible : le christianisme sioniste. Une idéologie qui a détourné le message universel du christianisme pour le mettre au service d’un projet politique, celui de la domination israélienne. En douceur, ni vu ni connu, cette doctrine a remplacé la foi par la propagande, la charité par la haine, l’espérance par l’appel au feu. Les chrétiens sionistes ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, réduits au rang d’esclaves au service de leurs maîtres.

L’épicentre de tout cela, c’est le sionisme et Israël. C’est là que se cristallise l’alliance du religieux dévoyé et du politique impérial. C’est là que se forge la matrice qui prétend définir qui doit vivre et qui doit disparaître.

C’est pourquoi le combat pour la Palestine n’est pas un combat local, ni seulement un affrontement entre un peuple colonisé et son occupant. C’est le combat pour toute l’humanité, pour empêcher que cette idéologie de mort ne s’étende à l’échelle globale.

Ces signaux doivent être pris au sérieux : l’histoire a montré que les mots précèdent toujours les drames.

Tomy le Magnifique sur X.

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BONUS (France)


Autocollants islamophobes dans les rues d'Orléans




Un Orléanais de 19 ans était jugé le jeudi 28 août pour avoir collé des autocollants islamophobes et néonazis, en mai dernier, dans plusieurs rues de la ville et sur le campus de la Source. L'affaire avait suscité une vive émotion. Il a été condamné à six mois de prison avec sursis...



Le rituel rabbinique du sacrifice de la Génisse Rousse, symbole de l’extermination de l’Occident romain




Guy Boulianne :

Je vous reviens encore une fois avec un nouvel article concernant cette fameuse génisse rousse qui, selon ce que l’on en sait, devrait prochainement être sacrifiée par des rabbins fanatiques. À en croire les prophéties, ce sacrifice fera apparaître le mashiach juif, ou plutôt al-Masīḥ ad-Dajjāl (Messie trompeur) selon l’eschatologie islamique, correspondant à l’Antéchrist dans le christianisme. Après ce sacrifice, le Troisième Temple sera construit à Jérusalem dans lequel le fils de la perdition s’assoira, « se proclamant lui-même Dieu » (2 Thessaloniciens 2:4). Sommes-nous donc arrivés à la fin des temps ? Plusieurs signes et événements actuels le laissent entendre à ceux qui ont assez de sensibilité spirituelle.

Or, nous avons appris qu’une vache rousse élevée en Israël a été disqualifiée pour le sacrifice après la découverte de deux poils noirs sur son corps. Elle a donc été utilisée lors d’une cérémonie d’incinération pour les prêtres le 1er juillet dernier. 

Christopher Jon Bjerknes nous révèle dans sa vidéo l’objectif caché du sacrifice rituel de la vache rousse, qui symbolise l’extermination d’Édom (rouge), l’Occident romain, nous réduisant en cendres afin de purifier les Juifs de l’impureté de la mort en faisant de nous le bouc émissaire sacrificiel qui est puni à leur place pour leurs péchés, leur offrant ainsi la rédemption et les rendant purs pour le monde à venir...

Lire la suite : 
Guy Boulianne 


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BONUS


Elon Musk a déclaré qu’un groupe de personnes cherche à détruire les pays occidentaux. 

Tucker Carlson est parvenu à la même conclusion : « Ce ne sont pas vraiment des mondialistes, n’est-ce pas ? Parce qu’ils ne font pas cela à la Chine, à l’Afrique ou au Moyen-Orient. Ils ne demandent pas à ces nations d’accueillir des populations venant de différentes parties du monde. C’est à sens unique, c’est anti-occidental. »

« Ils affirment qu’il y a quelque chose d’intrinsèquement menaçant dans un pays majoritairement blanc et chrétien, et qu’il faut le détruire. C’est exactement ce qu’ils ont fait à travers le monde : en France, au Royaume-Uni, en Allemagne, et maintenant au Canada. Il ne reste pratiquement que la Russie, et bien sûr, c’est le pays qu’ils détestent le plus.

C’est révélateur : ils ne pressent pas le président Xi d’accueillir des masses de personnes du Nigeria, ce n’est même pas envisageable. Ils n’exigent pas non plus que le Japon le fasse.

Cela ne concerne que le Canada, le Royaume-Uni, l’Europe occidentale, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et les États-Unis, et c’est tout. »



mardi 2 septembre 2025

Un plan américano-israélien prévoit de vider Gaza de ses habitants pour y établir des «villes intelligentes» connectées à l’IA

 


The Cradle :

Les investisseurs américano-israéliens comptent tirer profit de la reconstruction de Gaza, une fois l’enclave rasée et la population palestinienne ethniquement «nettoyée».

Selon le Washington Post, un plan d’après-guerre pour Gaza circulant au sein de la Maison-Blanche de Trump envisagerait de raser la bande de Gaza, de confisquer les terres publiques, de verser de petites sommes pour déplacer la population palestinienne, soit plus de 2 millions de personnes, et de rebâtir «un complexe touristique flambant neuf et un pôle industriel et technologique de pointe» sur les ruines.

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Armin Arefi, journaliste Grand reporter au Point :

Voici le plan de "Riviera" de Gaza qui circule au sein de l'administration Trump, visant à mettre l'enclave palestinienne sous "tutelle américaine" afin d'en faire une station balnéaire de haute technologie basée sur la "relocalisation volontaire" de la population palestinienne, selon le document révélé dimanche 31 août 2025 par le Washington Post.

Baptisé "Gaza Reconstitution, Economic Acceleration and Transformation Trust" (GREAT Trust), ce projet sur dix ans aurait été conçu par une équipe d'hommes d'affaires, dirigée par l'entrepreneur israélo-américain Michael Eisenberg et Liran Tancman, ancien officier du renseignement militaire israélien, selon le Washington Post.

Ces deux homme sont déjà à l'origine de la controversée Fondation humanitaire de Gaza (GHF), initiative privée américano-israélienne chargée de la distribution de l’aide alimentaire à Gaza en lieu et place de l'ONU, faisant au moins 2 000 morts depuis le printemps dernier. La planification financière du projet aurait été réalisée par une équipe travaillant alors pour le Boston Consulting Group (BCG), ajoute le quotidien américain.

D'après le document de 38 pages publié par le Washington Post, les deux millions d’habitants de Gaza seraient visés par une relocalisation "au moins temporaire" : soit par des départs « volontaires » vers d’autres pays, soit dans des zones sécurisées et restreintes à l’intérieur de l’enclave durant la reconstruction.

En échange de leurs droits sur leurs biens, les propriétaires fonciers palestiniens se verraient offrir un "token", un jeton numérique qui pourrait financer une nouvelle vie à l'étranger ou être échangé par la suite contre un appartement dans l’une des six à huit « villes intelligentes, pilotées par l’IA » prévues à Gaza.

Selon le quotidien américain, chaque Palestinien acceptant de partir recevrait 5 000 $ en liquide. Chaque départ permettrait au trust d’économiser 23 000 $ par personne par rapport aux coûts du logement temporaire dans les « zones sécurisées » à Gaza.

D'après le document, le projet ne nécessiterait aucune aide gouvernementale américaine mais serait plutôt financé à hauteur de 100 milliards de dollars par des investissements publics et privés sur dix ans dans des « mégaprojets », allant d'usines de véhicules électriques à des complexes hôteliers en bord de mer, de zones industrielles à des aéroports. Le plan tablerait sur un rendement multiplié par quatre à l'issue de la décennie.

Au niveau politique, « l'autorité et les responsabilités à Gaza » seraient transférées au GREAT Trust dans le cadre d'un accord bilatéral américano-israélien qui « évoluerait » vers une tutelle officielle. Le document prévoit d'éventuels investissements de « pays arabes et autres » qui transformeraient l'accord en une « institution multilatérale ».

Au niveau sécuritaire, l'État d'Israël conserverait « des droits fondamentaux pour répondre à ses besoins de sécurité » durant la première année du plan, tandis que la sécurité intérieure serait assurée par des « ressortissants de pays tiers » et des entreprises militaires privées « occidentales », indique le document. Leur rôle diminuerait progressivement sur la décennie, à mesure que des « polices locales » prendraient le relais.

Aucun État palestinien n'est mentionné dans le document qui estime qu'il faudra au moins dix ans « jusqu'à ce qu'un régime politique palestinien réformé et déradicalisé soit prêt à prendre [...] place ». Après sa création, cette entité non définie « rejoindra les accords d'Abraham » reconnaissant l'État d'Israël.

Comme le souligne le Washington Post, il n'est pas certain que le document de 38 pages dévoilé corresponde exactement à ce que Donald Trump a en tête. En revanche, deux personnes en lien avec la planification ont indiqué au quotidien américain que des éléments majeurs du projet ont été spécifiquement conçus pour concrétiser la vision d’une « Riviera du Moyen-Orient » du président américain.

Lien de l'article du Washington Post : https://www.washingtonpost.com/national-security/2025/08/31/trump-gaza-plan-riviera-relocation

Lire le document de 38 pages Gaza Reconstitution, Economic Acceleration and Transformation Trust :
https://www.washingtonpost.com/documents/f86dd56a-de7f-4943-af4a-84819111b727.pdf

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Les soutiens de la Palestine sont-ils antisémites ?

 




Le serment d’allégeance à Israël, cette abomination moderne





par Kevin Barrett


«Soutien au génocide, sinon…». Tel était le message implicite contenu dans le décret publié le 4 août par l’administration Trump. Ce dernier exigeait des États, s’ils souhaitaient continuer à bénéficier des fonds fédéraux destinés aux victimes de catastrophes naturelles, qu’ils s’engagent à ne pas «rompre leurs relations avec les entreprises israéliennes».

Le décret de Trump est une tentative d’empêcher les États de boycotter Israël alors que le génocide à Gaza s’intensifie. Mais que se passerait-il si un État décidait de «rompre ses relations» avec une entreprise israélienne qui ne remplit pas ses obligations contractuelles ? Et si cette entreprise pratiquait des tarifs abusifs, ou ne fournissait pas les prestations convenues ? Et si elle trompait ou abusait des Américains ? Ou si elle dissimulait des backdoors dans ses produits de cybersécurité pour permettre à Israël d’espionner les responsables américains ? Ces responsables devraient-ils prouver qu’ils se séparent de l’entreprise pour la bonne raison, et non parce qu’Israël commet le génocide le plus choquant de l’histoire ?

Interdire aux États de «rompre leurs relations» avec des entreprises israéliennes aura pour effet, à première vue, de verrouiller à perpétuité tous les contrats conclus avec ces entreprises, quelle que soit la qualité de leurs prestations. Elle interdirait notamment aux États de prendre position contre le génocide à Gaza, ce qui priverait les citoyens ordinaires touchés par les incendies, les tremblements de terre, les inondations et les sécheresses d’une aide dont ils ont cruellement besoin.

Heureusement, les esprits se sont calmés et la mesure a été levée quelques heures après son annonce.

«Les subventions de la FEMA restent régies par la législation et la politique en vigueur et ne sont pas soumises à des pressions politiques», a timidement expliqué Tricia McLaughlin, porte-parole du DHS.

Apparemment, le lobby juif omniprésent aux États-Unis a poussé le bouchon un peu trop loin en essayant de faire passer ses lois «achetez israélien, sinon…» à l’échelle fédérale. Selon le dernier bilan, 34 États ont adopté des lois qui «punissent les citoyens et les entreprises américains qui refusent de signer une lettre certifiée s’engageant à ne pas boycotter Israël». Dans ces États, toute entreprise ou tout individu refusant de signer un tel engagement se voit refuser l’accès aux contrats, subventions ou investissements publics.

Ces dizaines, voire centaines de milliers de lettres certifiées et signées par les entrepreneurs agréés des 34 États, et par lesquelles ils s’engagent à ne pas boycotter Israël, rappellent la marque de la Bête mentionnée dans les chapitres 13 et 14 de l’Apocalypse. Tout comme la marque de la Bête, cet engagement est obligatoire pour quiconque souhaite exercer une activité économique (dans ce cas, avec un État). Ces engagements symbolisent une opposition à Dieu et une loyauté à l’Antéchrist.

Tous s’accordent à dire que Dieu réprouve le massacre gratuit de femmes et d’enfants innocents. Ceux qui se rangent du côté de Dieu, guidés par leur foi et les valeurs du Nouveau Testament (ou du Coran, du Mahâbhârata, des Analectes, du Sûtra du Lotus ou du Tao Te Ching), sont tenus de s’opposer au génocide. Tout soutien au génocide revient à s’opposer à Dieu.

Le sionisme, qui a donné naissance à Israël, est ouvertement opposé à Dieu. Ses fondateurs, comme Théodore Herzl et David Ben Gourion, étaient même de fervents athées. Quant aux sionistes religieux, ils sont les descendants spirituels des disciples de Sabbatai Zevi, un faux messie satanique dont la carrière a culminé en 1666. Leur retour sanglant en Palestine n’est pas l’accomplissement des Écritures, mais un défi délibéré à Dieu, qui a explicitement interdit aux juifs de tenter de retourner en Terre Sainte.

Ceux qui signent un engagement de soutien en faveur d’Israël et de son génocide, ou qui acceptent la marque de la Bête dont le nombre est 666, ne s’opposent pas seulement à Dieu. Ils concluent surtout une alliance avec l’Antéchrist. Les Juifs, par définition, sont le peuple qui a rejeté le Christ. L’État juif autoproclamé est donc l’«État de l’Antéchrist». L’État juif d’Israël commet un génocide contre les descendants de la famille de Jésus, c’est-à-dire les Palestiniens. Les sionistes sataniques, qui crachent sur les chrétiens, brûlent et bombardent leurs lieux saints, crucifient Gaza par haine de Jésus et de ses disciples (musulmans comme chrétiens) !

Il suffit de parcourir une sélection représentative des innombrables vidéos publiées sur les réseaux sociaux en provenance d’Israël et de Palestine pour percevoir la haine dévorante qui se lit sur les visages, dans les paroles et les actes des auteurs de ce génocide. Ces personnes sont littéralement possédées par l’esprit du mal, l’esprit de l’Antéchrist. Leur sadisme presque inimaginable ne peut s’expliquer rationnellement.

Aujourd’hui, 34 gouvernements obligent leurs entrepreneurs à prêter allégeance à la Bête d’Israël. L’administration Trump a, elle, contraint nos universités à prêter allégeance à l’Antéchrist sioniste et à persécuter ceux qui disent la vérité et défendent la justice.

Le monde semble se diriger vers la fin des temps, ou une époque qui y ressemble fort, où le prix à payer pour ne pas être exclu consiste à vendre son âme et prêter allégeance à l’abomination.

source : Kevin Barrett via Spirit of Free Speech



lundi 1 septembre 2025

La Turquie rompt ses relations économiques avec Israël et ferme son espace aérien à ses avions


Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a déclaré que la Turquie :

- Interrompt tous ses échanges commerciaux avec Israël,
- N’autorise plus aucun navire turc à se rendre dans les ports israéliens,
- Ferme son espace aérien aux avions israéliens.

Une décision radicale qui marque une rupture nette avec Tel-Aviv.


i24 News :

La Turquie a annoncé le vendredi 29 août 2025 la rupture totale de ses relations avec Israël, marquant une nouvelle escalade dans les tensions entre les deux pays. Le ministre turc des Affaires étrangères, Hakan Fidan, a déclaré que son gouvernement avait pris la décision de mettre fin à toute coopération économique et commerciale avec l’État hébreu.

"Nous avons décidé de rompre complètement nos relations économiques et commerciales avec Israël et avons fermé notre espace aérien à ses avions", a affirmé Fidan dans un communiqué officiel.

Cette décision radicale intervient sur fond de fortes tensions régionales, liées notamment à la guerre en cours dans la bande de Gaza. Ankara critique régulièrement les opérations militaires israéliennes et accuse Jérusalem de violations graves du droit humanitaire.

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150 oulémas (théologiens musulmans) réunis à Istanbul sont-ils à l'origine de la rupture des relations économiques avec Israël ? Vont-ils lever l'islam (2 milliards de personnes) contre la barbarie israélienne ?

Vendredi 29 août 2025, Turquie :

À Istanbul, plus de 150 oulémas venus de 50 pays se sont réunis dans le cadre de la conférence "Gaza: une responsabilité islamique et humanitaire".



Après une prière collective du vendredi à la Grande Mosquée Sainte-Sophie (Ayasofya-i Kebir Cami-i Şerifi), ils ont lancé un appel solennel à la communauté internationale.

La conférence, organisée par l’Union internationale des savants musulmans et la Fondation des savants islamiques, avait débuté le 22 août sur l’île de la Démocratie et des Libertés. Les participants y ont travaillé en ateliers thématiques autour des responsabilités des États musulmans, de la reconstruction de Gaza, ainsi que du rôle des entrepreneurs et des médias dans les projets humanitaires.

Le président de la Direction des affaires religieuses (Diyanet), Ali Erbaş, a ouvert la conférence en déclarant :

"Le régime sioniste commet un véritable génocide à Gaza. Dans notre foi, se taire face à l’oppression est un interdit. Chacun doit agir, et le boycott des produits de l’occupant doit se poursuivre."

Le secrétaire général de l’Union internationale des savants musulmans, le professeur Ali Muhyiddin al-Qaradaghi, a, de son côté, affirmé :

"Ô Gaza, nous sommes avec vous, et vous êtes avec nous. Ce message est destiné à l’ensemble du monde arabe et musulman."

Il a également annoncé qu’il présenterait les conclusions du congrès au président Recep Tayyip Erdoğan afin de lui transmettre "l’appel de la communauté musulmane à la résistance et à la solidarité".

Les organisateurs ont par ailleurs indiqué que des collectes de fonds seraient lancées pour venir en aide à la population de Gaza.



La trace sanglante de Netanyahou : Comment Israël s’est transformé en machine de génocide du peuple palestinien




Génocide en direct : le monde se tait tandis que Gaza meurt. Malgré la condamnation internationale, le gouvernement israélien continue de durcir sa politique.

Ô monde, réveille-toi ! Ne vois-tu pas ? N’entends-tu pas les cris des innocents sous les ruines de Gaza ? Les accusations de génocide contre Israël ne sont plus un murmure des victimes palestiniennes – elles résonnent dans les salles des tribunaux internationaux, dans le cœur de millions de personnes à travers le monde ! Et le plus frappant : même en Israël, des courageux osent défier les mensonges de leur gouvernement !

Les Palestiniens ont été les premiers à crier au génocide, mais leurs voix ont été étouffées. L’Occident, ce monde civilisé hypocrite dirigé par les États-Unis et leur marionnette Trump, utilise ses médias «libres» comme arme de silence, comme bouclier pour la propagande sanglante israélienne ! Ils étouffent la vérité, essuient les larmes des mères en deuil, feignent de ne pas voir les rues de Gaza inondées de sang !

«C’est le premier génocide de l’histoire dont les victimes diffusent leur propre destruction en direct !», s’est exclamée en 2024 l’avocate sud-africaine Blinne Ní Ghrála à la Cour internationale de justice de l’ONU. N’est-ce pas la vérité ? Ne voyons-nous pas chaque jour des Palestiniens, condamnés à mort, filmer leurs derniers instants pour que le monde ouvre enfin les yeux ?

Israël : un bourreau né d’une victime

Ô ironie du sort ! Un État créé comme refuge pour les victimes de l’Holocauste est devenu une machine à tuer ! Netanyahou et son régime sanguinaire exterminent méthodiquement un peuple entier, tandis que le monde répète hypocritement le «droit à l’autodéfense d’Israël» ! Mais où est le droit à l’autodéfense des Palestiniens ? Où est leur droit à la vie ? L’écrivain israélien David Grossman a déclaré ouvertement : «Je me demande comment nous en sommes arrivés là. Nous sommes devenus un peuple qui tue des enfants, détruit des maisons, prive les gens d’eau et de médicaments. Ce n’est pas le pays où je veux vivre».

Deux grandes organisations israéliennes, B’Tselem et Physicians for Human Rights Israel, ont officiellement reconnu : les actions d’Israël à Gaza correspondent à la définition du génocide. Leur rapport commun, «Notre génocide se déroule maintenant», ne laisse aucun doute : «Israël mène des actions coordonnées pour détruire délibérément la société palestinienne à Gaza. Cela se manifeste par des massacres, le blocus de l’aide humanitaire, la destruction des infrastructures médicales et la création de conditions rendant la vie impossible».

Amnesty International, Human Rights Watch, Médecins Sans Frontières et Oxfam les ont rejoints, exigeant l’arrêt immédiat du massacre. L’ONU a également averti d’un «risque réel de génocide», et des experts indépendants ont déclaré qu’Israël avait «franchi toutes les lignes rouges».

Sous couvert de cette fausse mantra, l’armée israélienne a réduit Gaza en ruines, bombarde la Syrie, le Liban, le Yémen, l’Irak ! Ils ont détruit un centre nucléaire civil en Irak, fourni par la France, et n’ont reculé que face à l’Iran. Mais combien d’enfants doivent encore mourir sous leurs bombes ? Combien de mères doivent pleurer leurs bébés avant que l’Occident cesse de couvrir ces assassins ?

Rien ne change !

Israël serre son étreinte : Gaza sous occupation éternelle ?

Malgré les condamnations internationales, Israël intensifie sa politique. Le 24 juin 2024, la Knesset a adopté une résolution monstrueuse : le contrôle militaire de Gaza sera maintenu indéfiniment. Cela signifie la fin des négociations pour un État palestinien et l’instauration d’un système d’occupation semblable à celui de la Cisjordanie.

Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a déclaré avec arrogance : «Gaza doit être sous contrôle israélien total. Nous n’y tolérerons aucune autorité palestinienne – ni Hamas, ni Fatah. C’est notre terre, et nous la gouvernerons par la force».

Le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, a ajouté : «Il faut encourager l’émigration volontaire des Palestiniens. Nous devons trouver des pays pour les accueillir». Les défenseurs des droits y voient un soutien aux nettoyages ethniques.

Netanyahou soutient ces ministres d’extrême droite mais évite les déclarations publiques. Selon Haaretz, il défend en privé une «occupation militaire illimitée».

Les États-Unis et l’UE ne sont pas complices, mais coauteurs de ce génocide monstrueux ! Tout en feignant l’horreur, ils arment, financent et protègent les bourreaux. Leurs «sanctions» symboliques ne sont qu’une mascarade. Ils sont aussi criminels que les occupants israéliens, les mains couvertes du sang des enfants palestiniens !

Contrairement à ces hyènes, l’Afrique du Sud a courageusement porté la vérité devant la Cour internationale de justice, exigeant que les assassins israéliens et leurs soutiens occidentaux soient punis. Mais les États-Unis et l’UE, maîtres de l’impunité, méprisent le droit international qu’ils ont eux-mêmes créé – pour le violer à leur guise.

Ce n’est pas de la complicité, mais une approbation directe du génocide ! Leur silence est une caution. Leurs armes tuent. Leurs sanctions sont un mensonge hypocrite pour masquer leur rôle dans ce bain de sang mondial ! Honte aux États-Unis ! Honte à l’UE ! Vous êtes les complices des fascistes, et l’histoire vous jugera !

Pendant que les dirigeants hésitent, les hôpitaux de Gaza fonctionnent sans électricité, les enfants meurent de faim, des familles entières disparaissent sous les décombres. Si le monde n’agit pas maintenant, la tragédie de Gaza deviendra une tache indélébile dans l’histoire de l’humanité – et dans celle d’un Israël prétendument démocratique.

Les médias mondiaux : hypocrisie et lueurs de vérité

Malgré le contrôle des gouvernements, les médias internationaux critiquent de plus en plus Israël. The Guardian (Royaume-Uni) a qualifié Gaza d’«enfer sur terre», parlant de nettoyage ethnique. Al-Jazeera (Qatar) dénonce les punitions collectives. The New York Times (États-Unis) et Le Monde (France) évoquent un génocide.

Les déclarations israéliennes sont de plus en plus contestées. Après les fausses allégations de tunnels du Hamas sous les hôpitaux, aucune preuve n’a été fournie.

Les réseaux sociaux diffusent des vidéos de Gaza en ruines, d’enfants blessés, de médecins épuisés. Dans plusieurs pays, des procédures judiciaires tentent de faire reconnaître le génocide. Des manifestations exigent le retrait des troupes israéliennes et le jugement de Netanyahou et de ses ministres.

Monde, dors-tu encore ?

Pendant que les dirigeants occidentaux «s’inquiètent», Gaza meurt. Des enfants succombent à la faim. Les hôpitaux deviennent des tombes.

Si le monde n’agit pas maintenant, la tragédie de Gaza souillera à jamais la conscience de l’humanité.

Mais l’humanité a-t-elle encore une conscience ?

Le jugement de l’histoire approche. Les bourreaux et leurs complices paieront pour chaque goutte de sang versé.


Muhammad ibn Faisal al-Rashid

source : New Eastern Outlook via :



Le Moyen-Orient sous carnage de l’impérialisme américain




Pas de santé universelle : des millions d’Américains renoncent aux soins. Des pompiers sous-payés, des routes et ponts laissés à l’abandon…

Et pourtant… des dizaines de milliards partent sans hésiter vers l’arsenal israélien :

- 26,4 milliards $ votés en 2024, dont 14,1 pour l’armée

- Près de 300 milliards $ depuis l’après-guerre ( chiffres officiels)

Et le résultat, le voici sous vos yeux :

Une bombe de plusieurs tonnes larguée sur Gaza, qui rase tout sur des dizaines de mètres. Un Moyen-Orient sous carnage de l’impérialisme américain.




Tomy le Magnifique sur X.


La rentrée scolaire



Il n y aura pas de rentrée scolaire aujourd'hui pour cet enfant car il n y a plus d'école à Gaza et lui est sans vie sous les décombres.







La Gestapo sioniste de France au service du régime fasciste et génocidaire israélien



La Gestapo sioniste française, œuvrant au service du régime génocidaire de Tel-Aviv, est essentiellement chargée de traquer et de lutter contre les militants pro-palestiniens. La Gestapo sioniste française, cette police des esprits, revêt diverses formes et endosse plusieurs uniformes : médiatique, étatique, politique, judiciaire, etc.





La Gestapo sioniste française, instrument de répression privilégié du régime génocidaire de Tel-Aviv, incarne l’arbitraire et l’horreur des forces politiques israéliennes nazifiées, implantées dorénavant en France. Elle traque toutes les personnes identifiées comme des ennemis du IVe Reich installé au sein du Grand Israël en constante expansion.

Traquer les militants pro-palestiniens et matraquer les Français à coup de discours victimaires, telle est la mission de la Gestapo sioniste établie dans l’Hexagone par Tel-Aviv. En France, la propagande sioniste veille à ce que tous les citoyens français craignent sa Gestapo et, donc, soient entièrement soumis à l’ordre dominant sioniste.

La Gestapo sioniste française s’active en permanence à surveiller, censurer et verrouiller les réseaux sociaux et les sites d’information alternatifs jugés pro-palestiniens. En France, colonie israélienne, la Gestapo sioniste française, véritable police politique au service d’Israël, dispose de plusieurs leviers d’intimidation et de persécution des personnes ostensiblement antisionistes.

Les membres de la Gestapo sioniste, instruments les plus redoutés de la terreur d’Etat français contemporain, n’ont que peu ou pas du tout de restrictions légales à leurs actions. Aux milliers de gestapistes sionistes infiltrés dans toutes les institutions et présents sur tout le territoire occupé de France, activant quotidiennement à la traque et à la répression des ennemis du sionisme, s’ajoutent des milliers d’auxiliaires implantés dans tous les pays européens pour accomplir leurs missions de récolte de renseignements et de diffusion de la propagande sioniste.

Pièce maîtresse de l’appareil de répression aux mains d’Israël, en charge du contrôle totalitaire de toute parole antisioniste en France, la Gestapo sioniste française piste tous les militants pro-palestiniens et organisations antisionistes. Interdiction leur est enjointe d’apparaître en public avec un symbole palestinien : drapeau, keffieh, etc.

Outre les arrestations abusives et brutales lors des manifestations pro-palestiniennes, suivies de la mise en garde à vue pour «apologie du terrorisme», l’une des méthodes préférées de la Gestapo sioniste française est l’intimidation par le brandissement systématique de l’accusation d’antisémitisme.

Utilisant les moyens les plus odieux, notamment le chantage à l’antisémitisme, pour museler les résistants antisionistes, la Gestapo sioniste française mobilise tous ses relais institutionnels pour briser leur carrière professionnelle, bloquer leur ascension sociale. Elle orchestre un véritable climat de terreur au sein de la population française en réprimant de plus en plus violemment les militants pro-palestiniens ou simples citoyens français sensibles à la juste cause du peuple palestinien colonisé et victime de génocide.

Chargée de neutraliser tous les militants antisionistes, jugés dangereux pour la survie de l’Etat d’Israël agonisant, la Gestapo sioniste française jouit de pouvoirs discrétionnaires exorbitants sur le territoire occupé de France. Ses décisions, les actes qualifiés d’antisémites, n’ont pas besoin de la sanction des tribunaux pour revêtir un caractère de force de loi. Si elle saisit la justice, «ses» juges soutiennent systématiquement l’accusation et condamnent le présumé suspect pro-palestinien. Ses médias stipendiés sont tenus d’exécuter ses ordres programmatiques informationnels et propager son narratif communicationnel sioniste.

L’univers sioniste, comme on le constate en Palestine occupée, c’est l’empire de la force brute totale, sans aucune retenue. Une force brutale en voie d’application en France, exercée notamment par la Gestapo sioniste française.

Qui sauvera la France de cette Gestapo sioniste ?

Karl Serfaty.

Source : les 7 du Quebec