Commentaire :
La destruction n’est plus seulement une pratique de guerre, elle est érigée en trophée, en motif de fête, en valeur familiale transmise aux enfants.
Quand l’anéantissement des lieux saints devient un symbole festif à porter sur la poitrine, ce n’est plus un excès isolé : c’est la preuve irréfutable d’une société pourrie jusqu’à l’os, fascisée, qui non seulement tolère le génocide, mais le célèbre, l’esthétise et l’applaudit comme une vertu nationale.
Une société irrécupérable, qui se complaît dans sa propre dégénérescence morale.
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