Ce chiffre se base sur des données militaires Israéliennes. Les génocidaires ont raison de remettre en cause ce qu'ils appellent "les chiffres du Hamas", ils sont bien au-dessous de la réalité.
Israël a intérêt à poursuivre ses guerres et son chaos organisé autour de lui pour éviter de devoir rendre des comptes. Mais il ne pourra pas échapper pour toujours à la justice.
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Sans les États-Unis, ce génocide n’aurait pas lieu
800 avions. 140 navires. 90 000 tonnes de matériel militaire. Des armes, du carburant, de la logistique, du renseignement. Tout a été envoyé par les États-Unis à Israël. Et cela continue.
Sans ce soutien massif — direct, constant, assumé — il n’y aurait pas de massacre d’une telle ampleur à Gaza. Pas d’impunité. Pas de chaos méthodique. Pas de feu vert aux crimes contre l’humanité en direct.
Et que font les voisins ? Ils regardent. Se taisent. Tremblent.
Mais pourquoi ? Parce qu’ils savent : si Washington retire sa main, tout s’effondre. Alors ils courbent l’échine. Et les peuples, eux, crient… dans le désert.
Aux États-Unis, peu mesurent l’ampleur de ce qu’ils cautionnent. Ceux qui dirigent le savent. Et ceux qui les manipulent l’ont voulu.
Mais le peuple américain ? Il dort. Il consomme. Il regarde des séries. Ou bien il se réveille — trop tard, trop seul, trop faible.
Sans ce soutien massif — direct, constant, assumé — il n’y aurait pas de massacre d’une telle ampleur à Gaza. Pas d’impunité. Pas de chaos méthodique. Pas de feu vert aux crimes contre l’humanité en direct.
Et que font les voisins ? Ils regardent. Se taisent. Tremblent.
Mais pourquoi ? Parce qu’ils savent : si Washington retire sa main, tout s’effondre. Alors ils courbent l’échine. Et les peuples, eux, crient… dans le désert.
Aux États-Unis, peu mesurent l’ampleur de ce qu’ils cautionnent. Ceux qui dirigent le savent. Et ceux qui les manipulent l’ont voulu.
Mais le peuple américain ? Il dort. Il consomme. Il regarde des séries. Ou bien il se réveille — trop tard, trop seul, trop faible.
Bertrand Scholler.