mardi 15 octobre 2024

Le grand Kahal




 "LE GRAND KAHAL : UN TERRIBLE SECRET" 


Par l’abbé Curzio Nitoglia


Vial, dans son précieux livre ("Le Juif sectaire ou la Tolérance talmudique"), soutient que le gouvernement secret des juifs s’appelle Kahal et est universel et absolu. « Il réunit dans ses mains le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif [le Bet-Dine, branche du Kahal, a, à proprement parler, le pouvoir exécutif, n.d.a.]. Il a le droit de vie et de mort... Il a, à ses ordres... une magistrature pour les imposer, une police pour en surveiller l’exécution, un budget pour alimenter sa police et ses fonctionnaires, et un impôt pour alimenter son budget... 

Les décisions du Kahal ne sont susceptibles d’aucun contrôle et n’ont besoin d’approbation de qui que ce soit... Ce gouvernement secret, vieux souvenir du tout-puissant Sanhédrin, ... a toujours fonctionné, depuis la dispersion d’Israël à travers le monde, dans la mesure où le lui permettait, ce qu’il appelle aujourd’hui “l’intolérance moyenâgeuse” ». 

Son code est le Talmud, qui est véritablement la Constitution fondamentale du peuple juif, dont il résume la suprême aspiration : la conquête du monde entier. Mais cette Constitution doit être, dans la pratique, interprétée par le Kahal au moyen de ses lois. Brafmann, dans son "Livre du Kahal" rapporte plus de mille prescriptions du Kahal, qui représentent ainsi le droit d’Israël, son code de jurisprudence. [...]

Le mystère entoure les actes pratiques du Kahal : ils doivent rester secrets; malheur à qui ose les révéler : on condamne à l’anathème et souvent même à la mort. Jacob Brafmann eut cette audace, mais perdit la vie.


D’après Hugo Wast, le secret du Kahal serait ceci : pour conquérir le monde l’épée n’est pas nécessaire, mais un livre suffit : le Talmud ! (
 Hugo WAST, "El Kahal", editorial Aldecoa, Burgos 1954). Au moyen de l’esprit talmudique le Judaïsme se propose d’écraser le Christianisme, unique vrai bastion qui s’oppose à la domination universelle d’Israël.

Les sentiments principaux qui animent l’esprit talmudique seraient au nombre de quatre:

1°) Une ambition démesurée de dominer le monde.

2°) Une avidité insatiable de posséder toutes les richesses des non juifs.

3°) La rancœur contre le non juif, et spécialement contre le chrétien.

4°) La haine de Jésus-Christ.

Or, pour satisfaire ces quatre passions, il faut s’approprier la richesse du monde, par laquelle on pourra tout. C’est ainsi qu’au moyen de l’or la Synagogue s’emparera de toute chose, et rendra les non juifs ses esclaves. Ou du moins cela serait son plan secret (qui arrivera à sa quasi réalisation avec le Règne de l’Antéchrist), selon Hugo. WAST. 

Mais pour pouvoir arriver à cela il est nécessaire de corrompre les chrétiens, en fomentant en eux l’amour des plaisirs, du luxe et d’eux-mêmes. Etant donné que l’unique patron de l’or qui permette d’avoir plaisirs, luxe et honneur du monde sera (selon le plan du Kahal) le Judaïsme, les non juifs une fois corrompus pourront avoir les plaisirs à condition de demander l’or au juif qui seul le possède !

« La force des juifs consiste dans le fait de savoir cacher leurs intentions propres. Le peuple juif vit encore uniquement parce qu’il a su maintenir un secret durant vingt siècles de persécutions » (
Hugo Wast). Ce secret est l’esprit talmudique de haine du Christ et des chrétiens et de désir de domination mondiale. La foi talmudique n’est pas dans l’au-delà ; mais dans la domination en ce monde ; son “paradis” est la terre.

Le Kahal aujourd’hui

Les informations sur le Grand Kahal aujourd’hui sont très rares : les plus récentes remontent à 1954, avec Hugo Wast et à 1996 avec Israël Shahak qui explique que les Juifs en Occident ayant acquis en 1780 l’égalité juridique et s’étant peu à peu émancipés, le pouvoir judiciaire que la Communauté juive détenait alla en diminuant, surtout en Occident; alors qu’en Orient l’émancipation a été très faible et que le Kahal a maintenu sa force. Cependant en Occident il y a eu des poches de résistance à l’assimilation, et avec le mouvement sioniste et la fondation du B’naï B’rith (1843), le courant anti-assimilationiste (et philo-Kahaliste) a repris l’avantage. C’est pourquoi le Kahal a maintenu un certain pouvoir même après l’émancipation des juifs et l’a recouvré complètement à partir de la montée du Sionisme, et surtout après la seconde guerre mondiale avec le (...) de l’“Holocauste”. 

Shahak écrit : « Depuis le Bas-Empire, les communautés juives possédaient des pouvoirs juridiques considérables sur leurs membres... même un pouvoir de pure coercition : la flagellation, l’emprisonnement, le bannissement, toutes sortes de peines pouvaient être infligées, en toute légalité, par les tribunaux rabbiniques... même la sentence capitale ». Et il continue : « Beaucoup de juifs d’aujourd’hui ont la nostalgie de ce monde juif [précédant l’assimilation], ce paradis perdu... Une part importante du mouvement sioniste a toujours voulu le rétablir, et cette part l’a emporté ». L’Etat d’Israël et le Sionisme semblent marquer le retour du pouvoir absolu du Kahal. (I. SHAHAK, "Histoire juive - Religion juive. Le poids de trois millénaires", La Vieille Taupe, Paris 1996.)

En 1986 Simon Schwarzfuchs a écrit un intéressant livre (pour la collection “Présence et mémoire juive”) concernant le Kahal dans l’Europe médiévale. Il y soutient que la Communauté juive du Moyen Age, appelée Kahal, apparaît en Europe au Xème siècle. « Elle est la continuation de la communauté juive de l’antiquité » (S. SCHWARZFUCHS, Kahal. "La communauté juive de l’Europe médiévale", Maisonneuve et Larose, Paris 1986).


Les origines de la Communauté juive en Europe sont très anciennes ; il y en avait une à Rome antérieure au Christianisme. « Pendant plusieurs siècles, sans doute jusqu’au début du Vème siècle, les groupements juifs d’Europe restèrent en contact avec le patriarche de Terre Sainte et continuèrent à lui verser leur tribut » (S. SCHWARZFUCHS). Le Kahal régissait et dirigeait tout. 

Le numéro 566 de l’hebdomadaire de la communauté juive de France “Actualité Juive”, du 28 mai 1998 nous parle du Kahal et du Beth Din dans 4 longues pages. Elles sont très intéressantes et surtout actuelles. 



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BONUS


Le tribunal rabbinique national
(Beth Din)

 Le Monde, 26 novembre 2005 :

Le grand rabbin de France, Joseph Sitruk, a annoncé la création d'un tribunal rabbinique national. Jusqu'à maintenant, les tribunaux religieux de ce type - les Beth Din - étaient gérés par les communautés locales. Le plus important est le Beth Din de Paris, placé sous la responsabilité du Consistoire de Paris. D'autres structures de ce genre existent à Marseille, à Lyon et à Strasbourg. Certaines communautés loubavitchs ou ultra-orthodoxes possèdent leur propre Beth Din.